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Challenge organisation

Les objets à valeur sentimentale

Dans le premier article de cette série Organisation, je vous demandais lors de la septième question de me citer un objet qui ne vous sert à rien, mais dont vous aurez du mal à vous séparer. (Si vous n’avez pas encore répondu aux 7 questions du premier jour du challenge organisation, c’est à faire le plus rapidement possible ! Vous pouvez garder vos réponses pour vous si vous le souhaitez, mais je vous conseille plutôt de les partager avec la communauté de Réussir Mes Études.) Dans mon cas, c’était un panda en peluche. Cet objet n’est probablement pas le seul dans ce cas : réfléchissons donc ensemble à comment réagir face à des objets qui ont une valeur sentimentale, mais dont on ne se sert pas.

La première étape de ce tri sera de différencier les objets à valeur sentimentale dont vous ne vous servez pas du tout (ceux qui sont au fond d’un carton, mais dont vous n’osez pas vous séparer) et ceux que vous utilisez régulièrement (les bijoux d’une ancêtre, par exemple, ou des coupes sportives qui trônent fièrement au-dessus de votre bureau). On ne parlera pas de cette catégorie dans ce challenge.

Posez-vous donc les questions suivantes :

Pourquoi gardez-vous cet objet ?

  • Parce qu’il vous rappelle un moment de votre vie : vous pouvez vous en souvenir et le graver dans votre cœur sans avoir besoin d’un objet !
  • Il vous rappelle une personne en particulier : une photo prendrait moins de place.
  • Il vous rappelle un moment heureux : alors montrez-le, ne le gardez pas au fond d’un carton.
  • Vous ne voulez pas vexer la personne qui vous l’a offert : ils ne s’en rendront probablement même pas compte. Un bon test est de garder l’objet dans un carton pendant six mois, et s’ils n’ont pas remarqué, vous pouvez donner l’objet à une association caritative.

Êtes-vous fier de cet objet ?

Si un objet est important pour vous, alors il mérite d’être affiché aux yeux de tous. Si vous le gardez dans un sac ou un placard, c’est qu’il n’en est pas digne et dans ce cas, vous feriez probablement mieux de vous en débarrasser aussi.

Par Lexane Sirac

J'ai grandi au Québec puis à Grenoble. Après avoir obtenu mon bac à 15 ans, j'ai arrêté mes études pour faire du sport à haut niveau jusqu'à ce qu'une blessure me renvoie sur les bancs de l'école. J'ai fondé Réussir Mes Études en janvier 2012, avant d'intégrer l'emlyon et de décider de faire de l'écriture mon métier.

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