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Gestion du stress

Note tes émotions pour mieux les maîtriser

Aujourd’hui, sur Réussir Mes Études, je te parle de comment noter ses émotions quotidiennement et de pourquoi c’est une habitude particulièrement utile.

Depuis un mois environ, je note mes émotions et un petit résumé de chacune de mes journées le soir avant d’aller me coucher. En dehors des avantages que ça apporte à ma thérapie (je me souviens de ce dont il faut que je parle à ma psy !), ça m’aide beaucoup dans mon quotidien, alors je me suis dit que j’allais partager cette expérience avec toi.

À quoi ça sert, de noter ton humeur ?

Noter ses émotions et son humeur au quotidien a de nombreux avantages. En notant ton humeur chaque soir, tu peux regarder ce qui a eu une influence dessus : le sport, le fait de passer du temps avec des ami·es, une bonne nuit de sommeil ou un traitement à prendre ont-ils changé ta journée, en bien ou en mal ? De cette façon, tu peux identifier ce qui améliore ta vie et en profiter quand ça ne va pas ; tu peux aussi éviter les choses qui te rendent triste ou irritable.

Avec cet outil, tu peux aussi regarder si tu as des cycles d’humeur particulier : si tu te rends compte, par exemple, que tu es très sensible au manque de lumière l’hiver, ou que tu devient très agressif·ve trois jours d’affilée chaque mois à la même date, tu sauras t’y préparer pour éviter d’être victime de tes émotions. Pareil si tu constates que ta productivité est bien supérieure le mardi, tu pourras organiser ton planning de révisions autour de ça !

Comment noter ton humeur ?

Si tu oublies un jour de temps en temps, ne stresse pas. Un journal d’humeur est censé améliorer ta vie : s’il te cause du stress ou de la culpabilité, alors il vaut mieux lâcher l’affaire après quelques semaines, mais même sur le plus long terme, ce n’est pas grave du tout si tu oublies un jour ou deux. Ne t’inquiète pas !

Personnellement, j’utilise l’application mobile gratuite Moodflow, mais ça peut complètement se faire sur papier ! Le mieux c’est de prendre un petit code couleur pour pouvoir facilement visualiser ton humeur sur le long terme.

N’hésite pas, si tu es une personne créative, à ajouter des petits dessins et détails qui rendront la feuille jolie et plus agréable à remplir !

Si tu veux faire les choses vraiment bien, ne te limite pas à attribuer une couleur à tes émotions. Ajoute un petit paragraphe pour chaque jour : des mots-clés suffisent, le but est de suivre tes activités et de voir s’il y a une corrélation. Par exemple, si tu es de mauvaise humeur à chaque fois que tu vois une personne particulière, peut-être vaut-il mieux moins la voir !

J’aime beaucoup cet exemple, qui inclut plein de paramètres différents. On voit bien que cette personne est beaucoup plus heureuse quand elle se plie bien à son régime, par exemple – ce qui n’est pas le cas de tout le monde, d’où l’intérêt de le noter !

Quand faut-il NE PAS noter son humeur ?

Noter son humeur pour y revenir facilement, c’est super pour la grande majorité de la population. Mais pour certaines personnes, c’est un peu contre-indiqué. Par exemple, si tu sais que tu vas mal et que tu n’as pas envie de regarder des pages et des pages d’humeurs basses, c’est compréhensible, ça te ferait plus de mal que de bien ! Dans ce cas, un journal de gratitude pourra sûrement mieux t’aider à retrouver du positif dans ta vie. Cela dit, le plus utile sera de consulter un·e psychologue qui t’accompagnera mieux et t’aidera à atteindre un certain bien-être.

Si tu commences à tenir ce journal et que tu te rends compte que tu passes tout ton temps à regarder les variations de ton humeur, à les analyser, au point que tu en oublies de vivre : c’est le moment d’arrêter. C’est un cas assez rare, mais qui existe, donc ne prenons pas ce risque-là !

Et toi, est-ce que tu tiens un journal ? Et dans ce journal, est-ce que tu notes ton humeur et tes activités, est-ce que tu préfères noter une réussite de ta journée, ou est-ce que tu rédiges tes pensées comme dans un journal intime ? Viens en discuter dans le groupe Facebook Réussir Mes Études ou sur mon compte Instagram !

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L’ASMR peut-il t’aider à réussir ?

J’ai déjà dit de nombreuses fois, et j’insiste, que pour réviser correctement, il ne faut pas avoir des chansons. De la musique, pourquoi pas, mais l’essentiel c’est qu’elle n’ait pas de paroles !

Aujourd’hui, allons un cran plus loin : on va parler d’ASMR, pour « autonomous sensory meridian response ». C’est un ensemble de sons légers, à écouter à volume bas ou moyen. En fait, n’importe quoi peut être un ASMR ! Mais encore une fois : fuis les voix humaines.

C’est quoi l’ASMR ?

L’ASMR, en gros, ça ressemble à ça :

(Et oui, cette vidéo est ma vidéo préférée d’ASMR. En plus, elle dure plus longtemps que mes séances de révision.)

L’ASMR c’est donc un ensemble de sons assez répétitifs et plutôt faibles, qui sert de bruit de fond reposant. Fun fact : c’est aussi ce qu’on ressent quand on fait certaines activités, par exemple se masser le crâne ou se mettre de la crème sur le visage !

Pourquoi ça marche ?

Une étude de 2012 a montré qu’un son à niveau modéré (jusqu’à 70 décibels) en fond sonore aide les performances créatives de la plupart des gens. L’ASMR a un volume plutôt bas en général, donc à moins de le mettre à fond dans tes écouteurs, c’est exactement dans la catégorie des sons qui augmentent nos performances !

Et comme ça, tu peux stimuler ton cerveau et être plus efficace.

Les bénéfices ne s’arrêtent pas là : l’université de Sheffield et l’université de Manchester ont montré que les personnes qui écoutent de l’ASMR voient leur rythme cardiaque s’abaisser (ça veut dire qu’on est plus relaxé·es) et vivent des émotions plus positives, y compris dans leurs relations sociales ! Alors évidemment, si tu écoutes un truc qui te déstresse… ben oui, tu stresseras moins et ça augmente tes performances en cours.

Tu veux essayer ?

Il y a de nombreux types d’ASMR, trouve celui qui te correspond ! (Et si aucun ne te correspond, c’est pas bien grave, tu t’en rendras vite compte et tu pourras passer à autre chose.)

Tu en trouveras plein là :

Ensuite, tu pourras trouver les mots clés qui te correspondent ! (Par exemple, j’adore le « scratching » et le « tapping », mais les « liquids » me font fuir !)

Et tiens, en bonus, une vidéo de « tapping » qui dure très longtemps et me repose très bien :

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Gestion du stress

7 conseils pour gérer ton stress à l’approche des partiels

Personne sur Terre ne peut dire qu’il ou elle n’a jamais stressé. Le stress touche tout le monde. Mais il y a des gens qui sont meilleurs que d’autres pour gérer l’impact du stress sur nos vies. La seule personne qui peut contrôler les conséquences du stress, c’est toi. C’est aussi à toi de voir ce qui te stresse. Voici 7 conseils pour t’aider à gérer le stress, en période de partiels ou non.

Ce que tu ne savais pas à propos du stress

Le stress est un état de tension. C’est une partie essentielle de nos vies : il peut nous aider à gérer notre vie correctement (et à fuir un animal sauvage, s’il le faut), mais il peut aussi nous paralyser. Il est généralement causé par tes attentes personnelles, tes croyances et tes valeurs : on appelle ça les sources internes du stress. Il y a aussi, bien sûr, des sources externes du stress, surtout quand on dépend de nos parents.

Ton corps réagit à ce stress de façon physique, mentale et émotionnelle. Tu peux par exemple avoir du mal à dormir, perdre l’appétit ou te désintéresser des activités qui te plaisent d’habitude. Tu peux être de mauvaise humeur, avoir mal au ventre ou à la tête, ou encore subir des crises de larmes.

Il faut apprendre à gérer le stress pour garder ton bien-être physique, mental et spirituel.

Transforme ton stress en une force positive

La bonne nouvelle, c’est que le stress peut aussi t’aider. Dans le bon contexte et à la bonne intensité, il va te permettre de faire un meilleur travail ! Quand tu peux gérer ton stress et le transformer en une force positive pour toi, il peut s’agir du catalyseur dont tu as besoin pour trouver des solutions à tes problèmes.

Voici donc 7 techniques de gestion du stress que tu peux utiliser à tout moment quand tu te sens stressé·e et que tu as besoin d’un petit coup de main pour te sentir à nouveau à l’aise. Et surtout, n’oublie pas : il vaut mieux avoir 10/20 et te sentir bien qu’avoir 20/20 et être au bout du rouleau !

Écris 5 choses qui arriveront quand tu sauras gérer ton stress

C’est important de savoir pourquoi tu essaies de changer ta façon de penser : comme pour tout, il te faut des objectifs pour changer. Écris 5 avantages à savoir gérer son stress et demande-toi :

  • Quels objectifs aimerais-je atteindre ?
  • En quoi ma vie va-t-elle s’améliorer quand j’aurai atteint mon objectif ?

Et comme tu sais déjà que je suis une grande fan des messages à lire en se brossant les dents : écris tes objectifs sur un post-it, colle-les sur ton miroir et lis-les à chaque brossage de dents !

Ne te mets pas encore plus la pression

Parfois, on veut combattre le stress et on finit par stresser à l’idée d’être stressé·e, un cercle vicieux qui n’en finit plus. Avec cet exercice, tu vas pouvoir te comprendre un peu mieux et identifier ce qui te stresse, et comment tu peux te libérer au moins partiellement de ces sources de stress.

En sachant ce qui compte pour toi, tu peux prendre des actions qui t’aideront à gérer la pression. Plus tu te connais, plus tu vois ce qui doit être travaillé : est-ce que tu stresses parce que tu as peur de ne pas être à la hauteur des attentes de tes parents ? Est-ce que tu as des lacunes à combler qui t’aideront à te sentir à l’aise en examen ? Beaucoup de problèmes ont une solution simple.

Si tu as la possibilité de voir un·e psychologue, c’est son métier de t’aider : profites-en ! Beaucoup de campus proposent des services de psychologie à très bas prix, voire gratuits.

Fais du sport !

C’est une solution pratique, et ça marche. Une routine sportive régulière aide ton corps à mieux combattre le stress, c’est scientifiquement prouvé. Alors la prochaine fois que tu te sens mal, fais quelques pompes ; essaie de faire du sport trois fois par semaine, de manger et de dormir sainement. Tes problèmes ne se régleront pas tout seuls, mais tu sauras beaucoup mieux les gérer.

Fais de la méditation

Une autre stratégie qui marche si tu en fais un peu tous les jours, mais aussi si tu as besoin d’une relaxation d’urgence, par exemple pendant la distribution des copies.

Mon application préférée pour ça, c’est Headspace, qui propose des méditations guidées de 3, 5 ou 10 minutes à faire tous les matins.

Si tu n’es pas fan de méditation, tente un sport de pleine conscience, comme le yoga ou le tai chi : il te permet de mélanger activité physique et repos de l’esprit.

Passe du temps avec les gens que tu aimes

Quand on stresse, on a souvent tendance à s’isoler. Au contraire, il vaut mieux se rapprocher des gens qu’on aime et passer du temps avec eux : ça aide vraiment à se sentir mieux ! En t’entourant de personnes qui t’apportent du bonheur, tu améliores ta vie en général, ce qui te permet de mieux tenir le coup face aux imprévus.

Écris ce qui a fait une bonne journée

Prends-toi un cahier et chaque jour, écris une chose qui s’est bien passée ou un bon moment. Le fait d’y réfléchir consciemment, de l’écrire, et de pouvoir le relire, ça t’aidera à avoir une vision plus optimiste et positive de ta vie.

Pour gérer le stress, l’optimisme et l’espoir sont des éléments clé. Sans eux, c’est presque impossible de s’en sortir dans les moments difficiles, donc construis ces deux belles qualités au quotidien !

Agis !

Si tu autorises le stress à s’immiscer dans ta vie, il va te faire du mal, physiquement, mentalement et spirituellement. N’oublie pas d’aller voir un·e psychologue si tu en as la possibilité, cette personne est là exprès pour t’aider ! Et ne t’enferme pas dans ta routine : combats activement le stress en essayant de toujours empêcher ses causes.

Je crois en toi. Tu peux croire en toi. Bon courage.

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Comment et pourquoi écrire un journal ?

Te rends-tu compte du stress, de la fatigue que tu endures juste parce que tu ne prends pas le temps d’accepter et d’exprimer tes émotions ? En écrivant ce que tu ressens, tu peux libérer ton esprit et ton coeur et mettre de côté tes pensées négatives. Tu peux aussi écrire tes pensées positives pour qu’elles restent à jamais dans ta mémoire et pour leur donner plus de poids. Ecrire un journal, c’est libérer des pensées et des émotions qui s’accumulent dans nos vies.

Mais pour ça, il faut prendre l’habitude de tenir un journal. Et c’est une habitude difficile à prendre, parce qu’écrire ne libère pas toujours. Parfois, c’est une corvée plus qu’une libération. Et souvent, tu as l’impression de ne rien avoir à dire. Mais même quand on a l’impression qu’on n’a rien à dire, il faut écrire dans son journal, sinon l’habitude se perd très rapidement.

Est-ce que tu veux commencer à tenir un journal ? Tu hésites mais tu te dis que ça ne te ferait pas de mal ? Tu as déjà commencé, mais tu voudrais aller plus loin ? Quel que soit le scénario qui te correspond, j’ai des conseils pour toi.

Comment prendre l’habitude de tenir un journal ?

person writing on white paper

Facilite-toi la tâche

Plus tu organises ton écriture à l’avance, plus elle sera facile. Par exemple, en écrivant tous les jours à la même heure, tu crées une routine (du matin ou du soir) qui rend tes journées plus structurées et qui fait faire moins d’efforts à ton cerveau.

Ecrire tous les jours est très important, parce qu’il ne faut pas que tu aies besoin de compter les jours. Par contre, la quantité que tu écris ne dépend que de toi. Est-ce que tu préfères te fixer un objectif de temps ou un objectif de quantité ? N’oublie pas que ton journal ne sert qu’à toi : écrire dans le vide n’est pas un problème, personne ne viendra te reprocher d’avoir utilisé trop de mots. Avant, j’utilisais le nombre de mots et je me disais que j’allais écrire 500 mots par jour et ne pas arrêter tant que je ne les avais pas écrits (bien sûr, ça n’empêche pas de les dépasser). Depuis que je tiens mon journal sur papier plutôt que sur ordinateur, j’utilise une limite de temps : je mets mon minuteur (qui me sert aussi à la méthode Pomodoro !) sur cinq minutes et j’écris jusqu’à ce qu’il sonne. Si je n’ai rien à dire, je me force pendant cinq minutes. Si je suis lancée au bout de cinq minutes (c’est généralement le cas), parfait : je n’ai plus qu’à continuer quand ça sonne.

En plus, mon minuteur ressemble à un pingouin, ce qui est un avantage non négligeable.

Trouve une action à effectuer

Ton journal ne doit pas se transformer en to-do list à rallonge. Chaque jour, cherche quand même une action que tu peux prendre et écris-la. Le fait de l’écrire t’aidera à t’engager à la faire. Et puis ce n’est pas forcément quelque chose à faire : tu peux écrire quelque chose que tu veux arrêter de faire. Tu peux aussi écrire une affirmation positive qui va te remotiver si tu as une baisse d’énergie.

Reviens sur ce que tu as écrit

Une fois de temps en temps, relis des anciennes entrées de ton journal. Prends le temps de te demander ce qui a changé dans ta vie depuis. Vois si tu as fait des progrès dans ton caractère, dans tes notes, dans ton attitude de travail. Et surtout, prends le temps de profiter des beaux souvenirs que tu as créés !

Quelques idées pour trouver l’inspiration

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Il y a des jours où l’inspiration vient plus difficilement. Pas d’inquiétude, j’ai ce qu’il te faut : des idées de thèmes à explorer ! Mais sur le fond, il y a aussi des choses à garder à l’esprit. En particulier, le fait de ne pas te mettre la pression. Tu n’écris que pour toi. Personne ne viendra juger tes fautes d’orthographe, tes tournures de phrase bancales ou le ton sur lequel tu t’exprimes. Tu es entièrement libre d’écrire comme tu en as envie. Le simple fait de te débarrasser de cette pression devrait t’aider à avancer.

Voilà maintenant les idées !

  1. Comment s’est passée ma journée en cours ?
  2. Qu’est-ce que je voudrais améliorer dans ma façon de travailler cette semaine ?
  3. Quelle est ma plus grande fierté de la journée ? (Et oui, ça peut être des toutes petites choses, du moment que c’est une chose positive de ta journée.)
  4. Qui m’a fait plaisir cette semaine ?
  5. Qu’est-ce que j’ai fait de bien cette semaine ?
  6. Comment est-ce que je me sens par rapport au semestre dernier ?
  7. Qu’est-ce qui a changé récemment dans ma façon de vivre ?
  8. Pourquoi est-ce que j’ai envie de réussir ?
  9. Qui peut m’aider à réussir ?
  10. Qu’est-ce que je devrais changer dans ma vie pour atteindre mes objectifs ? (Essaie de te concentrer sur les actions que tu peux faire.)

Bon courage et bonne tenue de journal !

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Gestion du stress

Comment faire pour trouver un métier qui vous rend heureux ?

Qu’est-ce qui vous tient à coeur ?

Trouver un travail qui nous permette de nous épanouir demande en tout premier lieu de réaliser une introspection pour savoir ce que nous adorons faire. Adorons-nous prendre la parole de manière improvisée devant un public ? Ou encore, attendons-nous avec la plus grand impatience le moment de cuisiner le repas ?

Je parle ici de réelle passion ! De quelque chose qui vous fait frissonner, perdre la notion du temps, dont l’idée vous met en joie, vous motive au plus haut point.

Quel est le lien entre épanouissement personnel et professionnel ?

Maintenant que vous savez ce que vous aimez faire, je dois vous faire part de la citation suivante de Jim Rhon :

Votre niveau de succès dépassera rarement votre niveau d’épanouissement personnel car le succès est une chose que vous attirez selon la personne que vous devenez.

Aussi, je vous encourage à lire et à mettre en application le livre d’Hal Elrod qui vous donne une méthode pour réussir à se développer personnellement et à prendre le contrôle de sa vie.

Connaissez-vous vos croyances limitantes ?

Dernier point et non des moindres, sachez qu’il existe plein de choses que vous ne connaissez pas ! Par exemple, le Docteur Bob Childs exerce à la fois les métiers de luthier et de psychologue. Vous pouvez donc exercer plusieurs métiers à la fois.

Dans la même veine, le métier idéal n’existe pas ! Il existe plein de métiers qui peuvent vous correspondre. Plein de métiers dans lesquels vous pourrez faire ce que vous adorez. À ce sujet, je vous conseille vivement de regarder le TEDx talk de Celeste Headlee.

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3 conseils pour être une personne plus calme

Détente et sérénité. Voilà quelques mots qui ne vous viennent pas forcément à l’esprit quand on vous parle de vie étudiante… et c’est bien dommage. Rester calme, c’est un moyen efficace d’être plus productif, mais également d’améliorer vos relations amicales, professionnelles, ou encore amoureuses. Et en période de partiels, ça vous aidera vraiment d’être une personne plus calme !

L’effort se fait tout au long de l’année et de la journée. Par exemple, je vous recommande cette routine quotidienne pour être une personne plus détendue en quatre minutes par jour.

Accordez-vous de la liberté

Si quelque chose vous prend de court et vous force à changer de plans ou à reconsidérer une situation, ne paniquez pas. Prenez le temps de prendre du recul plutôt que de réagir immédiatement. Faites quelque chose qui vous change les idées, par exemple du sport.

Très très peu de situations exigent qu’on y réagisse immédiatement. On s’inflige un stress supplémentaire en essayant de trouver une solution rapide, quand on peut généralement faire une petite pause, étudier la situation au calme, puis résoudre le problème. Alors marchez, méditez, regardez une vidéo marrante, écoutez une chanson ou faites une partie d’un jeu que vous aimez, et ensuite, revenez régler votre problème.

Ne mettez pas toutes vos idées en oeuvre

Pour travailler sur votre réaction et votre stress face aux problèmes, je vous recommande (encore) la méditation. Non, la méditation ne consiste pas à ne penser à rien. En réalité, son objectif, c’est de vous aider à ne pas réagir aux pensées que vous avez. Quand on pense à quelque chose, notre instinct est d’y réagir immédiatement, ou pire encore, de l’ajouter à une to-do list interminable.

La méditation va vous apprendre à penser à quelque chose, et à ne pas ressentir une obligation d’agir. On ne va pas se mentir : souvent, nos pensées ne valent pas la peine d’être mise en oeuvre. Faites le tri et vous gagnerez du temps et de la tranquillité.

Ancrez-vous dans le moment présent

Encore de la méditation ? Ben oui. J’ai déjà parlé de méditation pleine conscience, et voilà encore un nouvel exercice très facile pour quand vous commencez à paniquer ou à vous sentir dépassé par les événements. Pensez à :

  • 5 choses que vous pouvez voir
  • 4 choses que vous pouvez toucher
  • 3 choses que vous pouvez entendre
  • 2 choses que vous pouvez sentir
  • 1 chose que vous pouvez goûter

Bien sûr, s’il vous manque l’usage d’un de ces sens, n’hésitez pas à adapter l’exercice : l’intérêt de la chose est seulement de vous ancrer dans le monde qui vous entoure et dans la place que vous y avez.

Essayez, la prochaine fois que vous avez du mal à gérer un coup de stress ou beaucoup de choses à faire à la fois. Et n’oubliez bien sûr jamais que je ne suis qu’une blogueuse : si votre problème d’angoisse n’est pas ponctuel, mais commence à toucher tous les domaines de votre vie, une aide professionnelle sera toujours plus utile que la mienne.

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Que sont les pensées parasites et comment les contrôler ?

Ceci est un article invité. Voici une rapide biographie de l’auteure : Sandrine Perez, coach et préparatrice mentale, enseignante pendant 12 ans, j’accompagne les personnes souhaitant réussir leurs examens et concours.

En tant qu’enseignante, j’ai souvent eu des étudiants paniqués à l’approche des examens ou d’autres qui perdaient complètement leur moyen lors d’un oral. A chaque fois, les mêmes remarques : « je n’y arriverai jamais », « qu’est-ce que je fais là ? », « c’est trop dur pour moi ».

Ces petites voix dans notre tête, ces pensées, sont des pensées dites parasites. C’est ce fameux dialogue interne qui vient nous perturber, nous déstabiliser.

Alors comment faire pour les contrôler ?

Pour arriver à les contrer, il faut d’abord bien les identifier. D’ailleurs, ces pensées ne sont pas toujours négatives et être positives. Mais il faudra les contrôler et ne pas triompher trop vite !

Les pensées parasites peuvent être par exemple « que vont dire mes parents… », « si je réussis / si j’échoue… », « de toute façon, je n’y arriverai jamais »…

Ces petites voix sont des pensées qui déconcentrent en parlant du futur (« si je réussis cet examen, je serai pris dans telle école et je vais pouvoir faire tel métier), qui inhibent (être complètement crispé lors d’un oral). Typiquement, les « il faut », « je dois » sont des pensées parasites qui entrainent une pression supplémentaire.

Comment tenir ses bonnes résolutions ?

Pour les parents, les enseignants… bref pour l’entourage d’un lycéen, d’un étudiant, le choix des mots, la prise de recul seront particulièrement importants pour ne pas renforcer ces pensées parasites mais au contraire les bloquer.

On ne peut pas supprimer les pensées parasites, elles finiront par revenir. Toutefois, en les ayant identifiées, elles seront contrôlables et pourront être mises de côté.

Tout d’abord, il me parait important et intéressant d’écrire ces pensées parasites, de façon très concrètes, en les décrivant le plus possible. Plus la description de la pensée sera poussée et plus la parade à mettre en place sera simple à trouver et efficace.

Une parade est une pensée qui rassure, qui fait revenir à ce que l’on fait et qui aide à rester centré et concentré sur ce qui dépend de soi. La mise en place des parades va être plutôt rassurante puisque le lycéen ou l’étudiant saura que, s’il est « parasité » il aura une pensée parade.

L’idéal est d’anticiper au maximum. « Je panique devant ma copie le jour de l’examen : qu’est-ce que je mets en place comme parade pour me rassurer, me re-concentrer ? » « L’oral me fait peur et je crains de perdre mes moyens : qu’est-ce que je fais ? »

Les pensées parades sont propres à chacun. C’est par exemple : « avant d’entrer dans la salle d’examen, je me concentre sur ma respiration » ; « Si je panique devant ma copie, j’ai une « image parade » celle de mes parents / copains / famille… » A chacun d’imaginer sa propre parade.

En occupant son esprit, on évite de gamberger, d’imaginer des choses, des situations qui seront déstabilisantes.

Une astuce largement utilisée par les sportifs de haut niveau est de préparer une check list avec des parades pour avant, pendant et après l’examen. Bref, soyez prêt !

Retrouvez Sandrine Perez sur son site.

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4 minutes pour vous sentir mieux

Quand j’ai commencé Réussir Mes Études, en 2012, la méditation pleine conscience était un mode un peu ridicule. La méditation tout court était un peu ridicule, en fait. Aujourd’hui, j’en entends parler en permanence, et force m’est de constater que c’est de plus en plus populaire. Même ma petite soeur a fait un tweet dessus la semaine dernière. J’en ai déduit que je pouvais me permettre d’en parler aujourd’hui sur Réussir Mes Études.

J’ai peu, très peu, d’expérience avec la méditation pleine conscience. Il faudrait vraiment que je m’y mette, mais je vous écris cet article après quelques jours de pratique à peine. C’est un article de la blogueuse anglophone Tess Brigham sur les 4 minutes pour être confiante et calme qui m’a décidée à tenter l’aventure, et je vous partage ça ici. N’hésitez pas à nous raconter vos retours sur cette expérience, on pourra faire ça ensemble !

Si je suis convaincue par cette première tentative, attendez-vous à trouver assez rapidement de nouveaux articles sur le sujet sur Réussir Mes Études. On va se retrouver pour plein de nouveaux conseils pour une vie d’étudiant plus épanouie !

Qu’est-ce que la méditation pleine conscience ?

J’en parle, j’en parle, et si vous êtes comme moi il y a quelques années, vous n’en avez jamais entendu parler. Ou alors, comme moi il y a quelques semaines, vous n’avez jamais cherché à comprendre vraiment le concept. Ne vous inquiétez pas, ça s’explique vite : la méditation pleine conscience, c’est de la méditation (ah bon), mais pas le genre de méditation à faire assis en position du lotus avec de l’encens qui brûle et Enya en fond musical.

L’avantage de la méditation pleine conscience, c’est que vous pouvez faire autre chose en même temps, et la pratiquer à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. L’exercice qu’on retrouve le plus souvent pour commencer, c’est de se concentrer sur sa respiration. J’en parle d’ailleurs souvent dans les articles sur la gestion du stress ou des examens sur Réussir Mes Études. Finalement, à ma façon, je faisais de la méditation pleine conscience sans même le savoir !

Cette fois, on parle d’un exercice qui prend 4 minutes par jour, comme dit dans le titre de l’article. Oui, je sais rester cohérente. Parfois.

Comment ça fonctionne

  1. Commencez un week-end, comme ça vous pourrez prendre le temps de le faire correctement. Il vous faudra 4 heures d’affilée – ne vous inquiétez pas, il s’agit bien d’une minute par heure seulement !
  2. Prenez une alarme que vous garderez avec vous – probablement votre téléphone. J’utilise pour ma part le vibreur d’un bracelet connecté, plus agréable (et plus discret au travail, aussi).
  3. Commencez votre bloc de 4 heures en prenant une bonne minute pour pouvoir exprimer comment vous vous sentez. À quoi pensez-vous ? Quelles sont vos émotions dominantes ? Et enfin, quel est votre objectif de la journée ?
  4. Maintenant, mettez votre alarme pour dans une heure. (Évidemment, si vous êtes dans un endroit bruyant ou que vous devez vous concentrer, on n’est pas à la minute près. Du moment que vous le faites 4 fois pendant votre journée, tout va bien.)
  5. Quand l’alarme sonne, prenez une nouvelle fois une minute pour réfléchir. À quoi pensez-vous ? Qu’est-ce qui affecte votre façon de réfléchir ? Êtes-vous concentré ? Votre corps se porte-t-il bien ? Avez-vous un problème qui vous gâche la vie depuis tout à l’heure ? Pensez à ce qui se passe maintenant, ici. Ne vous inquiétez pas de l’avenir, ne repensez pas à des choses passées. Prenez une minute pour garder à l’esprit votre objectif de la journée, tout simplement. Mettez votre alarme pour la troisième session.
  6. La troisième session est identique, et la quatrième aussi. Vous devriez faire cet exercice 4 fois par jour, 3 fois par semaine minimum, pendant au moins 2 semaines. Dans l’idéal, faites-le chaque jour !

Évidemment, comme pour toute habitude, n’oubliez pas de prendre des notes et de suivre votre avancement !

Si vous vous y mettez, comme moi, n’oubliez pas de raconter vos conclusions dans les commentaires de cet article pour que tout le monde puisse profiter de votre expérience et essayer à son tour !

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10 façons de combattre le stress pendant les partiels

Ahh, les partiels, la partie préférée de l’année pour tous les étudiants. Plus de sommeil, plus de douches, plus de vie sociale… Sauf qu’en fait, prendre soin de vous pour réduire le stress avant les partiels est une des meilleures façons de s’assurer que vous allez réussir vos examens et vous en sortir en un seul morceau. Voici donc dix astuces pour rester calme et gérer votre stress pendant les périodes de partiels.

1. Révisez efficacement

On ne part pas en guerre sans stratégie, et pour les partiels c’est pareil : préparez-vous un emploi du temps, un planning exact de ce que vous allez réviser. C’est très utile pour vous motiver à réviser, pour être le plus efficace possible et pour vous empêcher de trop stresser : vous aurez la conscience tranquille.

2. Prenez des vraies pauses

Les pauses sont aussi importantes pour vous que le temps que vous passez à travailler. Prenez-en souvent, et profitez-en pour vous amuser et pour voir des amis régulièrement. Je vous recommande d’utiliser la méthode Pomodoro, qui vous permet de travailler par tranches de 20 minutes et de faire des petites pauses très régulièrement. Profitez-en pour libérer vos soirées, par exemple à partir de 19 heures, et pour sortir avec vos amis, aller au cinéma ou jouer à votre jeu vidéo préféré. Ce qui m’amène au point suivant…

3. Dormez !

Libérer ses soirées pour se détendre, c’est bien. Si c’est pour se mettre une cuite et aller se coucher à 5 heures du matin, pas vraiment. Quand on manque de sommeil, on a du mal à se concentrer, à effectuer plusieurs tâches à la fois, et à se souvenir des informations importantes. Le sommeil est un élément crucial de la mémorisation d’informations, alors laissez tomber les nuits blanches, que ce soit pour réviser ou sortir, et essayez d’avoir un rythme de sommeil régulier et suffisant. Vous verrez, ça fait des miracles.

4. Amusez-vous

Rien de mieux que des bons éclats de rire pour se débarrasser du stress.

5. Arrêtez le café

Bon, d’accord, ne l’arrêtez pas complètement si vous êtes complètement accro. Mais l’abus de caféine est à la racine de migraines, de problèmes de digestion et surtout de beaucoup de problèmes d’anxiété : mieux vaut éviter ça pendant vos partiels. Plutôt que d’abuser du café pour tenir debout, essayez par exemple de vous servir un café pour vous récompenser d’avoir bien travaillé, seulement une fois dans la journée.

6. Prenez soin de vous

Vous méritez qu’on prenne soin de vous toute l’année, et ça ne change pas pendant les partiels. Ne négligez pas l’importance des tâches de base, de la douche à la lessive en passant par le sport : vous êtes tenté de passer vos journées en pyjama et de ne pas sortir de chez vous, mais il est important de prendre le temps de vous habiller comme pour n’importe quelle autre journée. Ainsi, vous n’aurez pas l’impression de tout abandonner pour un marathon de révision, mais ce sera juste une période comme une autre, avec un peu plus de travail à la maison.

7. Lâchez le téléphone

La technologie est un super outil pour réviser, mais elle vous déconcentre et vous stresse également beaucoup. À moins d’utiliser votre téléphone comme outil de travail, mettez-le en mode avion pendant que vous réviser. Je recommande aussi une sortie marche de deux ou trois heures en ville (ou en montagne si vous avez de la chance !), sans votre téléphone, pour vraiment vous vider l’esprit et vous ressourcer avant de reprendre avec beaucoup plus d’efficacité. D’ailleurs…

8. Marchez

En parlant de marcher sans téléphone, la déconnexion n’est pas le seul bénéfice. Marcher souvent améliore votre pression artérielle et libère des endorphines, qui vous mettent de meilleure humeur. Allez donc marcher une fois de temps en temps quand vous étudiez, respirez l’air frais et oubliez donc les examens. Quand vous retournerez à votre travail, vous serez prêt à faire de votre mieux !

9. Respirez

Si vous sentez que les révisions commencent à vous dépasser et que vous avez besoin d’une pause, prenez le temps de respirer, tout simplement. Inspirez lentement et profondément par le nez, soufflez lentement et profondément par la bouche jusqu’à avoir les poumons complètement vides, et recommencez dix fois. Vous irez beaucoup mieux avec ce simple exercice.

10. Relativisez

Encore une fois : si vous sentez que tout ceci vous dépasse, prenez le temps de relativiser. Je sais que c’est compliqué, mais dites-vous que ce ne sont que quelques jours ou quelques semaines de votre vie. Oui, les partiels sont très importants, mais ils ne sont pas la chose la plus importante de toute votre vie, même si ça y ressemble pour l’instant. Haut les cœurs, vous allez réussir !
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Gestion du stress

Le poker, un jeu de cartes qui peut vous aider à gérer votre stress

En tant qu’étudiant, il est important de pratiquer une activité de loisir qui vous permette de sortir du stress du quotidien. Alors pourquoi ne pas optimiser votre temps libre en choisissant une activité qui peut vous aider à améliorer votre gestion du stress et des coups de rushs ? Et oui, le poker peut être plein d’enseignement positif, pour peu qu’on le pratique avec parcimonie et en gardant un esprit de compétition sans y jouer tout son argent du mois. Vous pouvez apprendre à jouer en pratiquant le poker entre amis ou le poker gratuit, ou encore intégrer des associations de poker. Il existe même des tournois de poker spécial étudiants. La base est tout de même de bien réviser et assimiler les règles du jeu afin d’optimiser ses capacités.

Pas la peine de vous mentir, la notion de stress est tout de même bien plus élevée lorsque vous jouer une certaine somme d’argent, ou que vous êtes dans des conditions de jeu réel, par exemple lors d’un tournoi où vous voyez tous vos adversaires en face de vous. Une chose est sûre, vous serez souvent, trop souvent, face à des coups de stress dans votre carrière étudiante. C’est pourquoi apprendre à gérer votre stress dans différentes situations est essentiel, et le faire via un loisir peut être très bénéfique. Surtout que le stress est connu pour être en général assez visible, et lorsqu’il n’est pas canalisé il peut renvoyer une mauvaise image lors par exemple d’oraux ou de travail en groupe. Et cette mauvaise gestion aura alors des conséquences sur votre avenir professionnel et votre gestion de la pression au travail.

Mais si ce stress est impossible à éviter complètement, il est peut être un peu le bienvenu. Au poker comme en études, il est un vrai indicateur de votre « zone de confort ». Et l’argent n’a rien à voir là dedans. Prenons un exemple : Bill Gates est un habitué du poker et vu l’argent qu’il a réussi à gagner  dans sa vie, il pourrait décider de prendre place à de grands tournois où il aurait les moyens de perdre sans se mettre dans une situation difficile. Cependant, il est connu à Seattle pour ne jouer que des parties à 10$ ou 20$. Simplement parce qu’il ne se sent pas capable de jouer plus gros. Il reste dans sa zone de confort, ce qui lui permet de rester maître de son stress et de l’optimiser dans sa vie de joueur comme dans sa vie professionnelle. De nombreux hommes d’affaires qui ont réussi pratiquent le poker car il existe de nombreux lien entre la pratique du jeu et la vie professionnelle.

Le stress peut donc s’avérer être un excellent facteur de motivation. Il peut parfois vous pousser à accomplir des choses qui paraissent pourtant inimaginables au moment où vous devez vous décider à tenter le coup. Lors d’examens, si vous êtes toujours à fond avec le shoot d’adrénaline, votre raisonnement sera peut être compromis et vous ne verrez pas un élément essentiel d’un énoncée ou vous n’aurez pas assez de recul sur votre travail. Et au contraire, si le stress vous laisse plutôt amorphe, il vous manquera la force nécessaire pour vous dépasser et vous concrétiser. Alors un conseil, acceptez que le stress soit une partie intégrante de vos études et de votre future vie professionnelle et travaillez dessus pour vous améliorer au quotidien.