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Motivation

Je ne sais pas quoi faire de ma vie, et ce n’est pas grave

Toi derrière ton écran qui t’interroges sur ton futur, oui toi jeune lycéen(ne), étudiant(e), travailleur(se). Maintenant que j’ai ton attention, ferme les yeux quelques instants et réponds à ces deux questions : Où te vois-tu dans 1 an ? Où te vois-tu dans 5 ans ? Maintenant que tu as imaginé cela, prends un bout de papier, note tes réponses et range-les précieusement. Dans quelques années, je suis sûr que les retrouver t’amusera beaucoup.

Quoi de plus classique comme question que de vous interroger sur votre avenir ? Après tout, depuis votre plus jeune âge, c’est une problématique qui sans cesse revient sur la table. En repas de famille, autour d’une bière entre amis, lors d’une réunion parents-profs ou bien à la pause-café de votre travail, autant de relations différentes qui se questionnent sur vous et vos aspirations.

De manière assez arbitraire, je dirais que 80% d’entre vous ont changé de souhait de carrière ces 5 dernières années, et auront encore changé d’avis d’ici les 5 prochaines. (Les 20% étant majoritairement ceux qui ont une vocation ancrée depuis le plus jeune âge, dont la bonne connaissance du métier aux yeux de tous et la faisabilité optimisent vos chances de réussite : médecin, enseignant, pompier, gendarme…)  Et pourtant, chaque fois que l’on vous demande « Tu veux faire quoi de ta vie ? » vous vous efforcez de répondre. Pourquoi ?

L’estime de vous-même, le regard des autres, les rêves de jeunesse, la vision biaisée d’un métier, notre système d’éducation, notre société sont autant de facteurs qui vous “forcent” à vous projeter des années plus tard. Pour autant les résultats de ce système de projection ne sont guère satisfaisant : inadéquation entre l’idéal et le réel, changements d’orientation, perte de confiance en soi, être perçu comme versatile… des situations difficiles à vivre avant de pouvoir rebondir.

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Es-ce que je vous incite à ne plus vous projeter ? Certainement pas. Néanmoins il ne faut plus viser d’unique issue. Vous devez faire preuve de discernement et songer à plusieurs chemins possibles. Ne pas savoir ce que vous voulez faire de votre vie n’est pas un problème. En revanche, savoir ce que vous ne voulez pas faire de celle-ci est un début de réponse important.

Votre existence répond de la théorie du chaos, de multiples éléments, parfois même infimes, vont sans cesse remettre en cause toutes vos aspirations, alors la prochaine fois que l’on vous questionne sur votre avenir, ayez le droit de répondre que vous ne savez pas, que vous vivez au jour le jour. Étape par étape, vous trouverez vos réponses, soyez-en sûr.

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Organisation

Top 4 des meilleurs endroits pour réviser

Vous avez bien compris à quel point il est important d’avoir un bon espace de travail, confortable, bien rangé et qui vous met dans une ambiance studieuse ? Très bien ! Mais peut-être n’avez-vous pas encore trouvé où réviser. Pas d’inquiétude : dans cet article, je vous parle des quatre endroits où il fait bon travailler. L’un d’entre eux vous conviendra sûrement !

1. La bibliothèque

C’est mon choix favori, et même maintenant que j’ai fini mes études et trouvé un travail, je continue à réserver certains samedis pour y écrire mes articles.

Que vous ayez choisi un CDI, une bibliothèque municipale ou une bibliothèque universitaire, l’intérêt principal est toujours le même. Vous avez beaucoup d’ouvrages à portée de main pour vous aider à trouver les informations qu’il vous faut, et en plus vous travaillez dans le calme : on ne peut pas vraiment en demander plus pour avoir les bases d’un bon endroit de révision.

La bibliothèque présente aussi d’autres avantages, qu’on peut avoir tendance à oublier.

D’abord, elle est souvent grande : vous avez la place d’étaler vos livres, cahiers et stylos et de poser votre bouteille d’eau en plus. Elle est souvent peu fréquentée aussi : vous n’aurez pas des personnes qui passent en permanence devant vous, ce qui pourrait vous déconcentrer. Enfin, dans les bibliothèques municipales et universitaires, vous aurez presque toujours un accès au wifi.

Une astuce pour réussir : trouvez un coin complètement désaffecté de la bibliothèque. Dans ma bibliothèque municipale, c’est l’espace “politique, sociologie et religions”. Dans mon ancienne bibliothèque universitaire, je montais au dernier étage pour réviser au milieu des ouvrages d’histoire de l’art en langues étrangères. Bizarrement, le rayon n’était pas très populaire : résultat, un cadre de travail parfait pour moi.

2. Une salle de classe

Remarquez que je n’ai pas dit “un bout de couloir”.

Dans certains établissements, vous pouvez demander à investir une salle vide pour réviser au calme et dans des bonnes conditions. Dans certains endroits, on aura même des tuteurs qui assurent une permanence dans une salle, par exemple pour les matières scientifiques : profitez-en ! Réviser, ça ne se fait pas forcément dans le silence et la solitude.

Un avantage de ce type de révisions est que vous vous mettez en conditions d’examen. Votre mémoire sera stimulée par le fait d’être dans une salle de classe, et le jour de l’examen, les informations reviendront beaucoup plus facilement que si vous avez appris votre cours ailleurs.

Une astuce pour réussir : utilisez le tableau blanc, c’est plus agréable qu’une feuille de brouillon !

La bibliothèque, un des meilleurs endroits pour réviser

3. D’autres endroits du campus

J’ai trouvé, quand j’étais étudiante, une toute petite cafétéria du CROUS qui était ouverte toute la journée. Presque personne n’y mettait les pieds en dehors des repas : c’était une occasion en or de réviser au calme, avec du thé en libre accès et de quoi grignoter quand j’avais besoin d’une pause. En plus, comme c’était sur le campus, j’avais un bon accès à Internet.

Un bout de pelouse ou une salle associative feront aussi très bien l’affaire !

Une astuce pour réussir : ça ne convient pas à tout le monde, parce qu’il y a souvent plus de monde que dans les deux premières solutions. D’un autre côté, si vous arrivez à réviser au soleil, vous boostez votre santé en plus de vos notes.

4. Ailleurs, mais toujours pas chez vous

Dans certains cas, vous préférerez peut-être étudier complètement ailleurs. Par exemple, si vous habitez loin du campus et qu’il n’y a pas de bibliothèque à proximité, peut-être vaut-il mieux trouver un café pas trop peuplé ! Je vous conseille de rester à l’extérieur de votre appartement pour deux raisons :

  • Avoir l’impression d’aller “au bureau”, ça vous met directement dans l’ambiance nécessaire pour vous concentrer

  • Rester chez vous toute la journée, c’est moyen pour votre moral et pour votre santé.

Cela dit, si vous y tenez vraiment, vous pouvez au moins lire cet article pour limiter les dégâts.

Comment bien réviser chez soi ?

Vous avez l’occasion de vous déplacer un peu, de prendre un peu d’air frais en marchant, et en plus, il y a des endroits très agréables pour travailler comme vous voulez, comme on l’a vu !

Quel est votre endroit préféré pour réviser ?

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Motivation

Réussir vos études en 2018 avec une évaluation annuelle

Non seulement l’année 2018 a commencé, mais en plus, je suis de retour de vacances. Je n’ai donc plus aucune excuse pour attendre : il faut que je fasse mon évaluation annuelle de 2017.

Et vous aussi.

Pourquoi évaluer son année ?

Vivre la vie de jour en jour, pourquoi pas ? C’est même plutôt bien, et je peux le recommander à la plupart des étudiants que je commence à accompagner, qui sont un peu trop angoissés par leurs notes pour penser à profiter de la vie.

Mais je pense sincèrement qu’il est très bon de se poser devant un cahier une fois par an, et de faire une belle évaluation de votre année. On n’y parlera pas que d’études, loin de là, et je vais d’ailleurs vous raconter pas mal de choses sur plusieurs aspects de ma vie, personnelle comme professionnelle. C’est mon choix que de rendre ça (en partie) public : à vous de voir si vous faites le même choix (sur votre blog, sur un réseau social comme LinkedIn ou simplement dans les commentaires de cet article) ou si vous préférez vous exprimer seulement pour vous-même. Dans tous les cas, s’il vous plaît, ne vous censurez pas dans vos réflexions. Faites une version publique et une privée, si vous tenez à poster une partie en public.

N’hésitez pas non plus à poser vos questions, à partager des leçons apprises ou à donner des conseils aux quelques milliers de lecteurs de Réussir Mes Études qui pourront partager beaucoup plus avec vous et avec l’ensemble de la communauté !

Pourquoi on ne parle pas de résolutions ?

Là, j’ai volontairement évité de parler de bonnes résolutions, plannings quotidiens et autres trucs destinés à échouer quand on s’y met début janvier.

Sur le modèle de Chris Guillebeau, qui l’a fait pendant 10 ans d’affilée sur son blog, mon évaluation annuelle consiste à savoir ce qui a bien marché et ce qui ne s’est pas bien passé cette année, et à me fixer 4 objectifs pour 2018 : un par trimestre.

Le passé : points positifs et négatifs de 2017

Trouvez 6 à 8 points positifs et négatifs à votre année écoulée. En voilà quelques-uns des miens :

Points positifs de 2017

Points négatifs de 2017

  1. Avoir commencé à être très active sur Wikipédia
  2. Avoir rejoint l’équipe SheOwnsIt
  3. Être mentorée
  4. Avoir dépassé les 1000 followers Twitter
  1. Quelques problèmes de santé
  2. Le manque d’énergie qui m’a fait négliger mes blogs
  3. Le fait de ne pas avoir repris le sport

C’est la première fois que je suis ce modèle d’évaluation, et je suppose que vous aussi : Chris propose de reprendre la liste des objectifs de 2017, et de voir ce qui a été atteint et ce qui ne l’a pas été.

Vraiment, l’objectif est de ne pas chercher d’explications, d’excuses, de jugement : notez juste ce qui va bien et ce qui ne va pas bien, n’allez pas chercher plus loin que ça. Une fois que c’est fait, il devient intéressant de vous exprimer sur les causes et conséquences de chaque point. Prenez le temps d’y réfléchir plus sérieusement avant de passer à la deuxième partie de cette évaluation.

Le futur : trouver ses objectifs de 2018

Maintenant que vous savez ce que vous avez fait de mieux et de moins bien cette année, passons aux objectifs de l’année prochaine !

Trouvez les catégories qui comptent pour vous. Personnellement, voilà ce qui compte pour moi :

  1. Emploi principal
  2. Réussir Mes Études
  3. Personal branding et partenariats
  4. Amis et famille
  5. Communautés
  6. Santé
  7. Apprentissage
  8. Finances

Evidemment, ça change pour chaque personne, donc prenez aussi le temps de regarder votre évaluation précédente pour voir quelles catégories s’en dégagent.

Une fois vos catégories créées, on va se fixer 3 à 5 objectifs dans chaque catégorie. Attention, il s’agit d’objectifs SMART, sinon vous n’irez pas loin :

  1. Spécifiques (“gnagna être plus en forme”, c’est non)
  2. Mesurables (“gnagna gagner plus d’argent”, c’est non)
  3. Atteignables (“gnagna être major du concours de Polytechnique”, c’est souvent non)
  4. Réaliste (“gnagna courir douze fois par semaine”, c’est non, et oui c’est pareil que le précédent)
  5. Temporellement défini (“gnagna commencer une nouvelle langue”, c’est non, parce que vous ne dites pas quand).

Voilà mes objectifs :

  1. Emploi principal
    1. Avoir des responsabilités plus étendues (je reste volontairement vague ici, mais ma version perso est plus détaillée !)
    2. Pouvoir prendre deux semaines de vacances d’affilée en juillet sans prendre de retard dans mes articles produits, donc prendre de l’avance sur la rédaction d’ici là
    3. Lancer un projet interne à l’entreprise, qui montre mes compétences, avant juin
  2. Réussir Mes Études
    1. Atteindre 50 000 visiteurs au dernier trimestre de l’année
    2. Déplacer mon business model pour faire payer les entreprises plutôt que les étudiant·e·s
    3. Gagner un revenu stable en dehors des périodes de vacances scolaires
  3. Personal branding et partenariats
    1. Honorer mon partenariat avec SheOwnsIt et être contributrice régulière d’un autre blog pour la deuxième moitié de l’année
    2. Poster du contenu qui a de la valeur au moins une fois par semaine sur LinkedIn
    3. Rédiger un article toutes les deux semaines sur mon blog d’inbound marketing
  4. Ami·e·s et famille
    1. Rentrer voir ma famille une fois par trimestre
    2. Faire une “grande” sortie avec des ami·e·s une fois par trimestre
    3. Rencontrer des nouvelles personnes en allant à des permanences de projets qui me plaisent
  5. Santé
    1. Sortir au moins une fois par semaine pour une activité sociale (la santé n’est pas que physique !)
    2. Commencer un nouveau sport avant la fin de l’année
    3. Préparer mon repas du midi pour que les options “pas chères” soient quand même équilibrées
    4. Perdre XXkg et sortir du surpoids
  6. Apprentissage
    1. M’inscrire en sociologie à l’université
    2. Continuer à créer des pages Wikipédia régulièrement, et organiser des ateliers mensuels
    3. Continuer ma formation sur le thème de l’inbound marketing pour continuer à me former
    4. Lire 75 livres
  7. Finances
    1. Mettre XXX€ de côté chaque mois pour commencer à épargner
    2. Limiter les petites dépenses (restaurant en particulier) pour partir en voyage et me payer un nouvel ordinateur
    3. Embaucher un·e assistant·e personnel·le

Ok, tout ça est fait ?

Impeccable. Maintenant, passez le tout sous forme de tableau et ajoutez une nouvelle colonne.

Et concrètement ?

Comment ?

Vous aviez vos objectifs, maintenant, il faut décider de comment les atteindre. Chris prend l’exemple de “courir un marathon”, qui était dans ses objectifs en 2015 (je crois) : “pour courir un marathon, je dois commencer par courir 5 kilomètres 3 fois par semaine, puis 10km, puis 20km, etc.”

C’est pareil pour vous. Quels que soient vos objectifs, vous devez définir les grandes étapes nécessaires.

Quand ?

Prévoyez tout de suite de bloquer un quart d’heure par mois et une demi-heure par trimestre dans votre calendrier : vous pourrez vérifier chacun de vos objectifs et vous assurer de n’en négliger aucun.

Et le reste ?

Je ne l’ai pas fait, mais c’est une habitude chez Chris Guillebeau : il ajoute à sa liste une liste d’objectifs qu’il aurait pu y intégrer. Comme ça, à la fin de l’année, il peut les réutiliser s’ils sont toujours pertinents.

Quels sont vos objectifs pour 2018 ? Comment allez-vous les atteindre ? Discutons-en dans les commentaires de cet article !

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Budget

Comment trouver le logement étudiant idéal ?

Cet article a été rédigé par StudyLease dans le cadre d’un partenariat de référencement.

Vous changez de ville et n’avez aucun endroit où aller… vous cherchez désespérément un studio proche de votre lieu de travail et sympa ? Studylease vous éclaire !

Les critères de choix

  • La localisation : Il est important que le logement que vous réserverez ne soit pas trop éloigné de l’école ou de votre lieu de travail, ou alors qu’il soit bien desservi par les transports en communs.
  • Le loyer : Réservez un logement conforme avec votre fourchette de prix, tout en gardant à l’esprit que vous pouvez bénéficier d’APLS ou d’ALS dans la plupart des logements.
  • La taille : F1, T1, F2, F3…Choisissez le type de logement qui correspond à vos besoins.
  • Les annexes : cave, garage, jardin…
  • La vue et l’exposition
  • Les services proposés par la résidence : laverie, petit-déjeuner, ménage, parking….
  • Les installations : électricité, chauffage, gaz…
  • Les nuisances aléatoires et les risques

La vie en résidence étudiante

Pourquoi choisir la vie en résidence étudiante ? La résidence étudiante offre de nombreux services facilitant la vie de l’étudiant comme par exemple le service du petit-déjeuner, une salle de sport, des espaces communs, une cafétaria, une laverie ou encore un parking.
De plus, vous serez dans une ambiance sympathique et côtoiera de nombreux étudiants tous les jours : rien de tel pour faire de belles rencontres !

Trouver son appartement en 3 clics

  1. Pour trouver votre logement, la procédure est très simple ! Studylease est une plateforme de
    réservation de logements étudiants qui détient un réseau de plus de 350 résidences réparties dans
    toute la France.
    L’avantage de Studylease est que la procédure est gratuite et sans engagement. Chaque étudiant
    peut déposer jusqu’à 5 dossiers en ligne.
  2. Connectez-vous sur la page d’accueil de http://www.studylease.com/ et rentrez le lieu, la fourchette de prix et la date d’entrée de votre logement.
  3. Une fois la résidence choisie selon les critères ci-dessus, déposez votre dossier en remplissant un formulaire rapide.
  4. Validez et attendez 3 jours la réponse du gestionnaire

Etudiants, n’attendez plus ! Toute l’équipe Studylease vous attend !

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Budget Formations à l'étranger

Départ à l’étranger : quel compte ouvrir quand on est étudiant ?

Cet article est écrit dans le cadre d’un partenariat commercial avec HSBC.

Quand je suis partie en Chine, pour mon échange, je ne pouvais pas utiliser ma carte bleue pour autre chose que des retraits. Et puis ensuite, j’ai perdu ma carte bleue et je ne pouvais plus rien acheter. Et ma banque a mis un mois à m’en renvoyer une. Un mois entier.

J’avais fait confiance à ma banque régionale, sans vraiment regarder les conditions. 4 retraits par mois sans frais ? Super ! Sauf que quand on arrive et qu’on découvre qu’il faut payer 3 mois de loyer en cash à l’arrivée, et que les distributeurs sont plafonnés à 300€ par retrait, c’est déjà moins super.

Ne faites pas les mêmes erreurs que moi : choisissez bien la banque et les options de votre compte bancaire avant d’aller étudier à l’étranger.

Quels frais bancaires à l’étranger ?

Le plus important, c’est d’éviter les frais bancaires sur vos transactions à l’étranger.

Les frais, ça inclut un certain nombre de coûts plus ou moins évidents. D’abord, les commissions sur les retraits en liquide. Faut-il passer par une banque partenaire ? Y a-t-il assez de banques partenaires dans le pays où vous partez ? Avez-vous un certain nombre de retraits par mois autorisés même en dehors des banques partenaires ? Les mêmes questions se posent sur les paiements par carte bancaire.

Ensuite, il y a les coûts un peu moins évidents. Par exemple, le coût de la carte bancaire elle-même : quels sont les frais associés, votre établissement a-t-il un partenariat spécial avec une banque, qui vous permettrait d’avoir une meilleure carte pour un prix plus bas ? De même pour les frais de tenue de compte.

Assurez-vous bien que votre carte est assurée correctement. Souvent, c’est inclus avec les cartes Visa (j’ai une Visa Premier que je recommande !), je ne connais pas les modalités des autres types de cartes bancaires.

Enfin, assurez-vous de ne pas devoir payer un supplément pour gérer vos comptes sur Internet – c’est la base, mais quelques banques ne le font toujours pas. Vous n’allez pas pouvoir vous rendre au guichet de votre banque à Chailles-les-Eaux pour faire un virement !

Un compte bancaire qui limite les frais à l’étranger

Vous l’avez compris, choisir sa carte bleue et le compte bancaire qui va avec, c’est tout un parcours du combattant (avec moins de barbelés et plus de pourcentages).

Certaines banques font une offre spéciale de compte bancaire pour étudiant à l’étranger. C’est le cas de HSBC, que j’ai mis en lien.

Avec ces offres, vous bénéficiez d’un tarif spécial étudiant, mais vous avez le même niveau de service qu’une personne diplômée avec des revenus stables. La banque porte une attention particulière à votre plafond de retrait, pour pouvoir survivre si on vous demande trois mois de loyer en avance (je sais que je me répète, mais c’est un vécu très douloureux) ou une hospitalisation surprise, que je ne vous souhaite pas. Les virements sont accélérés pour certaines devises, pour les personnes qui partent dans un pays hors zone euro.

Si vous restez à l’intérieur de la zone euro, voyez aussi s’il est pertinent d’ouvrir un compte spécifique pour le départ à l’étranger ou si votre banque ôte toutes les restrictions – chez HSBC, c’est le cas.

Quelle banque avez-vous choisi pour votre voyage à l’étranger ? Avez-vous des histoires d’horreur à nous raconter, ou au contraire, est-ce que tout s’est très bien passé ? Racontez-nous tout ça dans la section commentaires de cet article !

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Gestion du temps

Cette astuce de to-do list va changer votre vie

Vous êtes une personne organisée ? Vous fonctionnez avec un système de to-do list ?

C’est bon, cet article est bien fait pour vous. Félicitations !

J’accompagne actuellement un étudiant très organisé. Avant de commencer à travailler avec moi, il faisait une belle to-do list tous les matins. Le matin, il est très productif, en général, surtout depuis qu’il a adopté une bonne routine matinale pour être en forme dès le réveil. Et il suivait plutôt bien sa to-do list, mais quand même, ça le frustrait un peu. Il a l’impression de gâcher le moment de la journée où il est le plus efficace, en la passant à faire sa liste plutôt qu’à travailler. Alors on a testé un nouveau truc.

Depuis début octobre, au lieu de faire sa to-do list au réveil, après sa routine matinale, il la fait le soir, une heure avant d’aller se coucher. Nous avons mis en place ce système pour plusieurs raisons, et ça marche du tonnerre !

Vous n’oublierez plus de tâches

« Je me souviens bien qu’il fallait absolument que je fasse quelque chose ce matin, mais quoi ? » Toutes vos petites tâches de la journée s’accumulent, et vous pouvez les oublier en près de 24 heures d’attente. Il est bien plus facile de vous en souvenir le soir en écrivant votre to-do list plutôt qu’en attendant d’avoir dormi toute la nuit et commencé une nouvelle journée.

Vous ne pensez pas à votre to-do list avant de dormir

« Il faut absolument que je me souvienne de faire ça. » Vous vous retournez dans votre lit, angoissé-e par l’idée d’oublier ? Ou plus simplement, vous avez un peu de mal à dormir, parce que ça peut vous stresser un peu ?

C’est normal, c’est ce qui arrive quand on passe la soirée et la nuit à penser à quelque chose de la veille. Si vous prenez simplement quelques minutes pour faire votre liste de choses à faire le soir, vous pouvez vraiment vous permettre de décompresser et de consacrer toute votre attention aux loisirs que vous faites. C’est bien plus agréable, et ça servira vraiment votre bien-être mental.

Vous ne paniquez pas le matin

Quand vous faites des listes à rallonge, il peut vous arriver d’avoir un moment de panique. Avez-vous vraiment tout ça à faire ? En serez-vous capable ? Ça peut vous tétaniser pour la journée, si vous êtes sujet-te à une certaine anxiété.

C’est beaucoup plus facile de vous y prendre la veille, parce que vous saurez déjà, au réveil, ce que vous attendez de vous-même et dans quel ordre vous allez vous y prendre.

Pour mon étudiant, ça a marché. Et pour vous ? Testez cette astuce, c’est la seule façon de le savoir !

Saviez-vous que je me ferai un plaisir de vous mentorer pendant un trimestre ou un semestre, gratuitement ? N’hésitez pas à me contacter en me parlant un peu de vous. J’offre très peu de places, donc ne passez pas trop de temps sur votre message, on aura l’occasion de mieux faire connaissance par la suite 🙂

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Organisation

Expertise en T : qu’est-ce que c’est ?

Vous avez peut-être déjà entendu parler d’expertise en I ou en T. C’est un concept qui a commencé à gagner en popularité en 2010, avec des interviews et discours du PDG d’IDEO Tim Brown.

Qu’est-ce que l’expertise en T ?

On utilise la lettre T pour illustrer deux caractéristiques d’une personne experte :

  • à la verticale, sa connaissance en profondeur d’un domaine
  • à l’horizontale, son intérêt pour beaucoup d’autres domaines

Généralement, pendant notre formation, on nous apprend à maîtriser un domaine et un seul. Prenons, dans cet article, l’exemple d’une étudiante en programmation. En fin d’école, souvent, elle sera très forte en développement (en tout cas, je le lui souhaite). Mais maîtrise-t-elle les enjeux légaux et financiers de ce sur quoi elle travaille ? Je ne lui demande bien sûr pas de pouvoir rédiger des contrats avec les fournisseurs ou de préparer le budget de l’année : l’essentiel, c’est qu’elle ait juste assez de connaissances pour qu’elle comprenne ce que font les autres.

L’expertise en T, c’est exactement ça : connaître juste assez sur tout pour comprendre pourquoi et comment les choses fonctionnent dans l’ensemble du processus, mais se spécialiser assez en une chose pour apporter sa pierre à l’édifice.

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Motivation

Qu’allez-vous apprendre maintenant ?

Vous êtes étudiant-e : c’est pour apprendre. Jusque-là, rien de particulièrement choquant, pas vrai ?

Mais il y a tellement de choses à apprendre ! Vous voulez faire un MOOC ? Il en existe des dizaines de milliers. Regarder un TED Talk ? Oui mais lequel, sur les milliers qui existent ? Ou alors, peut-être que vous pourriez apprendre à développer un peu. Mais dans quel langage de programmation ? Le champ des possibles est immense, mais on ne sait jamais par où commencer. C’est tout à fait normal !

Eh bien, la Harvard Business Review nous propose une solution vraiment simple et efficace pour découvrir par où on peut commencer pour apprendre quelque chose. (J’ai inclus le lien de leur article, en anglais, en bas de cet article, n’hésitez pas à aller le lire pour plus d’informations sur la méthodologie.)

En effet, ils ont fait une matrice avec deux critères. C’est aussi simple que ça :

Qu'apprendre maintenant : une matrice facile par Harvard Business Review

Comme vous pouvez le voir sur le graphique ci-dessus, on a quatre cas de figure principaux seulement. Quand je disais que c’est simple, je ne vous mentais pas ! Voyons rapidement ce que ces cas impliquent pour ce que vous allez apprendre maintenant.

  1. C’est difficile et ça ne sert pas à grand-chose : je laisse tomber, ça n’a pas d’intérêt et ça me fera juste perdre du temps
  2. C’est difficile et c’est important : je prévois le temps nécessaire pour apprendre, par exemple avec le deep work ou la méthode Pomodoro
  3. C’est facile mais ça ne sert pas à grand-chose : si j’ai l’occasion de l’apprendre maintenant, j’en profite. Si l’occasion ne se présente pas, tant pis : de toute façon, je n’y perds rien
  4. C’est facile et très utile : je n’attends pas plus longtemps avant de m’y mettre, j’apprends maintenant et j’en profite toute ma vie !

Et vous, qu’allez-vous apprendre maintenant ?

Lisez l’article original (en anglais) ici.

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Gestion du stress

3 conseils pour être une personne plus calme

Détente et sérénité. Voilà quelques mots qui ne vous viennent pas forcément à l’esprit quand on vous parle de vie étudiante… et c’est bien dommage. Rester calme, c’est un moyen efficace d’être plus productif, mais également d’améliorer vos relations amicales, professionnelles, ou encore amoureuses. Et en période de partiels, ça vous aidera vraiment d’être une personne plus calme !

L’effort se fait tout au long de l’année et de la journée. Par exemple, je vous recommande cette routine quotidienne pour être une personne plus détendue en quatre minutes par jour.

Accordez-vous de la liberté

Si quelque chose vous prend de court et vous force à changer de plans ou à reconsidérer une situation, ne paniquez pas. Prenez le temps de prendre du recul plutôt que de réagir immédiatement. Faites quelque chose qui vous change les idées, par exemple du sport.

Très très peu de situations exigent qu’on y réagisse immédiatement. On s’inflige un stress supplémentaire en essayant de trouver une solution rapide, quand on peut généralement faire une petite pause, étudier la situation au calme, puis résoudre le problème. Alors marchez, méditez, regardez une vidéo marrante, écoutez une chanson ou faites une partie d’un jeu que vous aimez, et ensuite, revenez régler votre problème.

Ne mettez pas toutes vos idées en oeuvre

Pour travailler sur votre réaction et votre stress face aux problèmes, je vous recommande (encore) la méditation. Non, la méditation ne consiste pas à ne penser à rien. En réalité, son objectif, c’est de vous aider à ne pas réagir aux pensées que vous avez. Quand on pense à quelque chose, notre instinct est d’y réagir immédiatement, ou pire encore, de l’ajouter à une to-do list interminable.

La méditation va vous apprendre à penser à quelque chose, et à ne pas ressentir une obligation d’agir. On ne va pas se mentir : souvent, nos pensées ne valent pas la peine d’être mise en oeuvre. Faites le tri et vous gagnerez du temps et de la tranquillité.

Ancrez-vous dans le moment présent

Encore de la méditation ? Ben oui. J’ai déjà parlé de méditation pleine conscience, et voilà encore un nouvel exercice très facile pour quand vous commencez à paniquer ou à vous sentir dépassé par les événements. Pensez à :

  • 5 choses que vous pouvez voir
  • 4 choses que vous pouvez toucher
  • 3 choses que vous pouvez entendre
  • 2 choses que vous pouvez sentir
  • 1 chose que vous pouvez goûter

Bien sûr, s’il vous manque l’usage d’un de ces sens, n’hésitez pas à adapter l’exercice : l’intérêt de la chose est seulement de vous ancrer dans le monde qui vous entoure et dans la place que vous y avez.

Essayez, la prochaine fois que vous avez du mal à gérer un coup de stress ou beaucoup de choses à faire à la fois. Et n’oubliez bien sûr jamais que je ne suis qu’une blogueuse : si votre problème d’angoisse n’est pas ponctuel, mais commence à toucher tous les domaines de votre vie, une aide professionnelle sera toujours plus utile que la mienne.

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Motivation

10 méthodes scientifiques pour vous rendre productif

« J’essaie, j’essaie, mais j’arrive à rien alors que j’y passe des heures. »

On a plusieurs façons de gérer plusieurs choses, et certains s’en sortent mieux que d’autres. Et si on faisait un petit tour d’horizon des méthodes approuvées par la science ? Peut-être que vous trouverez celle qui vous convient le mieux, ou peut-être que cet article vous inspirera à trouver la vôtre.

1. Récompensez-vous

Katherine L. Milkman, Julia A. Minson, and Kevin G. M. Volpp ont effectué une étude pour voir si les étudiants faisaient plus de sport avec une bonne motivation. Ils ont donc donné des iPods à des étudiants, avec des audiobooks gratuits à la seule condition de les écouter à la salle de sport, et des chèques cadeaux à un autre groupe d’étudiants pour les encourager à faire du sport. Les étudiants qui avaient reçu les iPods ont fini par être 51% plus sportifs que le groupe témoin.

Morale de l’histoire : trouvez quelque chose qui vous motive, un épisode de Netflix pendant vos abdos ou après un sujet de partiels par exemple, et tout ira mieux.

2. Nettoyez votre to-do list

D’après la même étude que pour le premier point, vous passez 45% du temps pendant lequel vous êtes réveillé à réfléchir à plusieurs choses à la fois. Il devient difficile de vous concentrer efficacement dans ces conditions, et en plus, ça vous stresse. C’est le problème essentiel de la technique Pomodoro et la raison pour laquelle j’ai changé ma méthode de travail : on pense à trop de choses à la fois, et on se retrouve à n’être efficace en rien.

Allouez du temps à votre to-do list. Prévoyez, par exemple, une demi-heure chaque matin pour une tâche importante qui prend du temps et sur laquelle ne pas procrastiner va vous faire beaucoup de biens. N’oubliez pas de bien prévoir des pauses aussi !

3. Connaissez vos points forts

Combler ses lacunes, c’est absolument essentiel pour réussir ses études et être productif. On se retrouve parfois à négliger ses points forts et les matières qu’on aime vraiment, parce qu’on est trop occupé à essayer de s’en sortir dans les sujets qui posent problème. Prenez le temps de travailler ce que vous aimez et ce à quoi vous êtes doué aussi.

Des études comme celle-ci ont réussi à montrer que si vous avez l’occasion de travailler sur ce que vous savez bien faire et qui fait votre force, vous serez plus heureux, moins stressé et vous ressentirez même moins fortement la douleur physique ! En particulier, elle a montré que c’est moins un problème de travailler de longues heures quand on intercale des créneaux dédiés à ses points forts. N’hésitez donc plus à le faire.

4. Pour vous rendre productif, ne faites qu’une chose à la fois

Ce n’est pas vraiment une étude scientifique à proprement parler, mais après avoir passé cinq ans à vous bassiner avec la méthode Pomodoro (que je continue à conseiller à une bonne moitié de mes étudiants coachés, ne l’oubliez pas tout de suite !), je pense qu’il est important de vous parler du Deep Work de Cal Newport. En gros, ce qu’il vous dit de faire, c’est de prévoir quelques heures de suite et de les consacrer à une tâche et une seule, sans jamais vous laisser déconcentrer.

Je me suis mise à faire une sorte de semi-Pomodoro où au lieu de travailler par blocs de 20 minutes avec 5 minutes de pause, je travaille désormais par blocs d’une heure (plus que ça, je n’arrive pas à rester concentrée) avec des pauses d’un quart d’heure. C’est le même temps de travail total, mais j’y trouve plusieurs avantages. J’en parlerai plus tard (quand j’aurai fini de lire son livre !) dans un article dédié.

5. Identifiez vos priorités

Si vous n’avez qu’un certain nombre de blocs de temps à accorder à votre travail, que ce soit via Pomodoro, le Deep Work ou toute autre technique, vous n’allez pas pouvoir travailler sur tout en même temps.

To-do list hebdomadaire pour devenir productif
Un exemple parfait de ce qu’il ne faut pas faire : ma to-do list hebdomadaire.

Ne faites donc pas des to-do list à rallonge comme moi : sachez ce qui est important et ce qui ne l’est pas. N’ayez aucune pitié envers ce qui n’est pas absolument nécessaire, et gardez vos efforts pour les points les plus cruciaux de votre to-do (to-réviser ?) list.

6. Notez vos idées comme elles vous viennent

Toutes les personnes créatives et productives que je connais ont une méthode en commun. Nous avons toujours de quoi écrire sur nous. Les plus old school d’entre nous se baladent avec un cahier : mon ami Sébastien ne jure que par le Moleskine, je change de modèle à chaque nouveau cahier… D’autres s’appuient sur des applications pour téléphone. Brice utilise Google Keep et vous ne verrez jamais Nisha sans son compte Evernote à portée de main.

Quel que soit le support que vous choisissez d’utilisez, débrouillez-vous pour toujours l’avoir avec vous. Quand vous avez une idée de chose à faire ou de sujet à travailler pour plus tard, quelque chose à ne pas oublier, n’importe quoi : écrivez-le. Déchargez-vous d’une partie de la charge mentale utilisée pour retenir des choses qu’il vous suffit de noter, et faites un peu de place dans votre mémoire pour ce dont vous aurez vraiment besoin sur le long terme.

7. Méditez

En janvier 2012, quand j’ai commencé Réussir Mes Etudes, j’ai voulu essayer la méditation pour marquer mes débuts dans le monde du développement personnel.

Verdict : ça n’a pas marché. Passer une demi-heure assise en tailleur, déjà, ça me bousille les genoux, et puis en plus en une demi-heure j’ai eu dix-huit idées de scénarios de films et les ai joués entiers dans ma tête et ça ne m’a absolument pas calmée.

Je vous conseille cependant d’utiliser la méditation pleine conscience, qui est vraiment facile à faire et ne demande que très peu de discipline ou de concentration. Dès que je me sens stressée, je me focalise sur ma respiration. Et vous devriez faire pareil, parce que des études estiment qu’on peut sentir les effets de la méditation en à peine 20 minutes. Tout ça en comptant ses respirations : faites-le !

 

 

8. Ayez une « personal brand »

Les gens qui réussissent ont une façon de réfléchir et de travailler unique. D’accord. Mais souvent, ils ont aussi un style unique, et vous retenez leur nom, et ce qu’ils font de leur vie. Travaillez votre look pour commencer, soyez un peu originaux, acceptez votre corps et votre style. Vous pouvez ensuite créer votre blog, par exemple, pour parler de ce qui vous intéresse et commencer à vous faire un nom. Si vous ne voulez pas faire ça, vous pouvez au moins être présent sur LinkedIn, écrire des articles sur Medium.

9. Bougez

Je peux aller vous chercher toutes les études que vous voulez, mais vous êtes sûrement déjà au courant de tout ça. Rester assis toute la journée, c’est mauvais pour vous, même si vous faites du sport à côté. Une fois par heure (c’est facile avec Pomodoro, en plus !), levez-vous et marchez au moins cinq minutes. Faites quelques étirements, votre corps vous remerciera. Remplissez votre bouteille d’eau fraîche, ou allez vous promener dehors.

10. Ayez une bonne routine matinale

Franchement, j’ai déjà énormément parlé de routines matinales et je suis sûre que ça a fini par autant vous lasser que moi. Si ce n’est pas le cas, je vous encourage à lire mes conseils sur comment créer sa routine matinale pour être productif. Retenez au passage qu’une routine matinale, ça ne veut pas toujours dire se lever à cinq heures du matin et aller courir aux aurores…

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