Il y a des choses qui ne s’apprennent ni à l’école, ni chez soi. Il y a des choses que l’on doit malheureusement apprendre seul. Peut-être aussi parce que la société refuse cette possibilité. Je veux parler de l’échec. En général, on nous apprend comment réussir, mais pas comment surmonter un échec.
Après tout l’échec existe partout, je suis même sûre qu’en lisant cet article, un revers vous vient à l’esprit.
Dans la logique des choses le premier échec que vous connaitrez viendra de votre apprentissage, ou vos études donc. Peut importe là où vous échouerez le plus important c’est d’en ressortir grandi. Un jour quelqu’un m’a dit que l’échec était un pilier du succès. A ce moment-là je ne comprenais pas trop ce que mon ami essayait de me dire mais j’ai vite réalisé qu’il avait raison.
Et que dans certaine culture l’échec était bénéfique pour ressentir le plaisir de la réussite, quelque chose du genre « Pour connaitre la soif il faut traverser le désert », m’voyez un peu ce que je veux dire.
La première chose à faire est de se remettre en question et tirer le positif de la faille. « Oui j’ai échoué, c’’est difficile à admettre, mais j’ai quand même pu réaliser des choses que je n’aurai pas forcément pensais pouvoir faire » Il faut vous valoriser. Ne focalisez pas sur le négatif…du moins pas immédiatement, c’est primordial si vous voulez en sortir.
Maintenant vous pouvez penser à pourquoi selon vous, il est possible que vous ayez échoué : cette prospection permettra de dessiner vos futures démarches vers un sens qui vous éloignera de l’échec. Faites cela avec optimisme, le but n’est pas de vous tirer une balle dans le pied.
Et dites-vous une chose, de grands hommes se sont cassé la figure avant de connaitre un destin prolifique. Si vous ne me croyez pas, pensez à Bill Gates ou à Jeff Bezos !