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5 bonnes raisons de partir étudier au Royaume-Uni

Je m’appelle Adam et je suis diplômé d’un Bachelor de droit anglais et droit français à l’University College de Londres (UCL). Après mon Bac S, j’ai en effet décidé de quitter Paris pour partir étudier au Royaume-Uni.

Dans cet article, je vous partage les 5 raisons principales qui m’ont poussé à vouloir quitter le système français pour étudier à Londres.

J’espère que mon témoignage vous donnera envie de poursuivre vos études post-bac à l’étranger !


1. Les universités au Royaume-Uni sont mondialement connues

Selon le classement du Times Higher Education de 2018, 3 des 10 meilleures universités du monde se trouvent en Angleterre. Ces universités bénéficient donc d’une réputation mondiale et d’un environnement d’étude hors pair et attirent également certains des meilleurs professeurs au monde. Ainsi, depuis 1904, 96 professeurs de l’université de Cambridge ont reçu le prix Nobel.

Pendant mes études à University College London (UCL), j’ai pu bénéficier de l’enseignement d’experts en droit avec lesquels j’avais la possibilité d’interagir au quotidien. Contrairement à ce qui est parfois le cas en France, dans le système anglo-saxon, les professeurs  sont plus accessibles et l’enseignement se fait de manière plus informel. Ainsi, les professeurs vous transmettront généralement leur adresse e-mail et leurs coordonnées au début de l’année et resteront souvent après la fin des cours pour échanger et répondre à toutes le squestions des étudiants.

De plus, le point de vue des étudiants sur les sujets en classe est véritablement valorisé dans le système britannique. J’ai vraiment eu le sentiment de participer de manière active en classe sans craindre le jugement du professeur et des autres étudiants.

2. Elles offrent un environnement véritablement international

Dans certaines universités anglaises et écossaises, le nombre d’étudiants internationaux a quasiment dépassé le nombre d’étudiants britanniques !

Étudier au Royaume-Uni vous donnera donc vraiment l’occasion de vous faire des amis du monde entier. Par exemple, à UCL, près de 35% des étudiants sont internationaux. Cette diversité permet vraiment de confronter des perspectives très diverses et contribue ainsi au dynamisme des discussions en classe.

3. Elles vous donnent l’opportunité de devenir complètement bilingue en anglais et même d’apprendre une autre langue

La maîtrise de l’anglais est devenue une exigence clé dans la plupart des domaines et des industries. Étudier au Royaume-Uni vous donnera donc une vraie longueur d’avance pour perfectionner votre anglais. Les discussions en classe, lectures et rédactions de dissertations en anglais et l’environnement anglophone dans lequel vous évoluerez vous permettront de passer devenir complètement bilingue.


De plus, de nombreux programmes d’échanges universitaires au Royaume-Uni vous permettront de passer votre troisième année à l’étranger dans une autre ville européenne (Madrid, Rome, Berlin …) ou dans une autre partie du monde (Asie, États-Unis, Australie, Brésil…). A l’issue de votre Bachelor, vous pourriez donc non seulement maîtriser l’anglais mais aussi parler couramment une troisième ou quatrième langue !

4. Elles offrent d’excellents débouchés professionnels à l’international

Les diplômés de Bachelor au Royaume-Uni sont très recherchés dans le monde du travail à l’international. En effet, de nombreux diplômés choisissent de débuter leur carrière ou de poursuivre leurs études en master ou en doctorat dans des universités ou écoles aux quatre coins du monde (aux États-Unis, en Asie, en Australie et dans toute l’Europe…).


De nombreux diplômés français choisissent également de revenir en France après leur premier cycle au Royaume-Uni. Cela peut en effet vous permettre d’intégrer les Grandes Écoles françaises à travers la voie des «Admissions internationales». Grâce à mon diplôme de Bachelor à UCL, j’ai ainsi pu postuler en Master et être admis à HEC, l’ESSEC et l’ESCP Europe.

5. Pour certains profils, elles sont plus adaptées que les études en France

Enfin, les études supérieures en France ne sont pas forcément adaptés à tous les profils étudiants.  Ainsi, consacrer plusieurs années à préparer un concours dont les résultats peuvent être aléatoires et ne pas toujours refléter le potentiel d’un étudiant peut être à la fois frustrant et décourageant.

De plus, certains élèves pourtant très capables n’ont tout simplement pas obtenu de notes suffisantes au lycée pour intégrer certaines filières sélectives en France et pour s’épanouir dans le systèmes des classes préparatoires.

En effet, intégrer une classe préparatoire ne laisse généralement pas beaucoup de temps pour poursuivre d’autres activités en parallèle comme le sport, le bénévolat, les voyages ou tout autre centre d’intérêt que vous pourriez avoir.

Certains étudiants français souhaitent également se spécialiser dans une discipline universitaire tout de suite après le bac, ce qui est possible à l’université en France mais ne l’est pas toujours dans le système français des “grandes écoles”.
En revanche, le système britannique vous permet d’étudier des disciplines universitaires aussi variés que l’ingénierie aérospatiale ou les lettres classiques (latin et grec) dès votre première année de Bachelor. De plus, le marché de l’emploi étant nettement plus ouvert et flexible au Royaume-Uni qu’en France, les entreprises n’exigent généralement pas d’avoir suivi un cursus spécifique à l’université mais simplement d’avoir obtenu de bons résultats.

Vous aurez donc le choix d’étudier la discipline de votre choix sans avoir à vous préoccuper des débouchés professionnels offerts par cette dernière. Il n’est ainsi pas rare pour des diplômés d’histoire, de philosophie, de langues modernes ou de musique de devenir avocat dans des cabinets internationaux, de travailler pour de grandes entreprises dans le marketing ou les ressources humaines ou de devenir banquier à la City, le quartier financier de Londres.

Comme vous l’aurez compris, mes études en Angleterre m’ont énormément apporté aussi bien du point de vue personnel que professionnel et je ne peux donc que vous encourager à partir étudier dans une université anglo-saxonne pour votre Bachelor.


Si vous avez besoin de conseils ou d’accompagnement pour partir étudier au Royaume-Uni ou dans un autre pays étranger, Your Dream School peut vous aider à constituer vos dossiers de candidature et à maximiser vos chances d’intégrer les meilleures universités.

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Étudier en Angleterre après le bac

Vous êtes au collège ou au lycée en France mais vous rêvez déjà d’ailleurs ? L’idée d’un immense campus avec de grandes pelouses où vous pourrez devenir bilingue en anglais et être au contact d’étudiants des quatre coins du monde vous enchante ?

Faire vos études supérieures dans un pays anglophone pourrait être la solution ! Dans cet article, je vous partage 3 conseils pour concrétiser votre projet d’étude à l’étranger après le Bac.

1) Evaluez le budget que vous pouvez consacrer à vos études supérieures

Il est dans un premier temps important de réfléchir au budget que vous pouvez allouer à vos études supérieures. En effet, il existe des disparités importantes de frais de scolarité d’un pays anglophone à l’autre. Ainsi, si votre budget est plutôt réduit, il sera sans doute plus judicieux de privilégier des pays comme l’Ecosse, l’Irlande ou les Pays-Bas, qui offrent des frais avantageux aux étudiants français ou ressortissants de l’Union Européenne, plutôt que les Etats-Unis, le Canada (à l’exception du Québec) et l’Australie.

Par exemple, en Ecosse, les étudiants français et européens peuvent tous bénéficier de la bourse écossaise SAAS Scotland qui couvre l’intégralité des frais de scolarité. Vos dépenses si vous étudiez en Ecosse seront donc limitées à votre vie quotidienne et à votre logement.
Même s’il est malheureusement possible que cette situation évolue après le Brexit, étudier à Edimbourg, Glasgow ou St Andrews, constitue en tout cas aujourd’hui une excellente option pour suivre un enseignement de très grande qualité sans se ruiner.

En Angleterre, il faudra débourser environ 10 000 euros par an pour les frais de scolarité, au Québec environ 6000€ et seulement 2000€ aux Pays-Bas ou encore 3000€ en Irlande pour les ressortissants de l’UE.

En revanche, si vous rêvez d’étudier à l’Université de Melbourne, de Toronto, d’Harvard ou de Columbia, un budget nettement plus conséquent vous sera demandé. A titre d’exemple, une année d’étude à la New York University (NYU) vous coûtera environ 50 000 dollars, et cela sans même compter le logement et le coût de la vie à New York… A l’Université de Melbourne, il faudra débourser environ 25 000 euros par an, ce qui représente également un investissement important.

Par ailleurs, un programme Bachelor aux Etats-Unis, en Irlande ou en Ecosse dure généralement 4 ans contre 3 ans en moyenne en Angleterre, au Québec ou encore aux Pays-Bas.

Comme vous pouvez le voir, il existe donc des universités d’excellence pour toutes les bourses mais il faudra donc vraiment tenir compte de votre budget dans votre choix !

2) Choisissez des universités qui correspondent à votre profil

Une fois que vous aurez identifié le ou les pays dans le(s)quel(s) vous souhaitez présenter votre candidature, il vous faudra ensuite choisir les universités dans lesquelles postuler.

Une question importante doit guider votre choix : dans quel type d’environnement est-ce que vous souhaitez vivre ? En effet, un campus “rural” offre de nombreuses installations et une expérience entièrement centrée autour de la vie universitaire. En revanche, une université urbaine vous permettra de bénéficier de toute la richesse culturelle de la ville mais une expérience de campus plus limitée.

Il est donc important de considérer vos résultats scolaires. La majorité des universités vous permettent aujourd’hui en allant sur leur site de vérifier les critères d’admission et les résultats demandés. Les universités étrangères les plus sélectives vous demanderont généralement au moins 15/20 de moyenne au Bac et le passage de certains tests comme le SAT, le TOEFL ou encore l’IELTS.

3) Réfléchissez à la matière que vous souhaitez étudier

Envisagez-vous plutôt approfondir vos connaissances en physique ou en biologie moléculaire ou de faire un cursus plus professionnalisants comme des études de commerce, de droit ou d’hôtellerie ?

Sachez que la matière que vous choisissez d’étudier à l’université dans un pays anglo-saxon a généralement moins d’importance sur le long-terme qu’en France.

Les employeurs dans les pays anglo-saxons ont en effet plutôt tendance à considérer vos résultats universitaires et le prestige de votre établissement que la matière que vous aurez étudié à proprement parler.

Il n’est ainsi pas rare pour des étudiants de latin et grec, d’histoire, de philosophie, de sciences politiques ou de langues modernes de devenir ensuite avocat, banquier ou encore publicitaire.

Même si une grande partie des métiers vous seront ouverts quel que soit votre choix de matière en licence, certaines professions nécessitent néanmoins d’avoir validé certains pré-requis (mathématiques, scientifiques…) ou d’avoir obtenu des certifications. Ainsi, les métiers de la santé comme médecin, kinésithérapeute ou vétérinaire, de l’informatique, de l’ingénierie ou encore de l’assurance nécessitent d’avoir fait des études en lien avec le métier envisagé.

Toutefois, certaines passerelles existent en Angleterre. Ainsi, il est par exemple possible d’étudier la psychologie dans une université à Londres puis de faire une procédure afin de convertir votre diplôme en un diplôme de droit puis exercer en tant qu’avocat.

Les systèmes universitaires anglo-saxons étant donc plus flexibles, il est donc préférable de choisir une matière que vous allez prendre du plaisir à étudier et dans laquelle vous allez vous épanouir et exceller.

Vous êtes maintenant prêt(e) à partir étudier à l’étranger !
N’hésitez pas à contacter Your Dream School pour être conseillé et réussir votre projet d’étude à l’étranger.

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6 choses que j’ai retenues de mon échange à Miami

La belle vie des lycéens américains

Après de nombreuses conversations sur nos systèmes scolaires respectifs, on s’est rendu compte que la vie au lycée était meilleure chez eux. Pour commencer, ils se disent très stressés mais la pression à l’école est beaucoup plus forte chez nous. Ensuite, leurs emplois du temps font rêver. Ils finissent à environ 15 ou 16h, profitent du reste de la journée de façon très zen en organisant des sorties, etc. et ils ne commencent leurs devoirs que tard le soir. Ceux qui pratiquent des activités sportives finissent par contre à 18h, mais cela correspond à un emploi du temps basique en France. Évidemment, il y a la pression des entrées à l’université mais le fonctionnement des lycées est déjà meilleur.

Miami est une ville de latinos

Entre le Venezuela, le Mexique ou même Cuba, il y a énormément de personnes originaires de ces pays qui vivent à Miami. Certains disent même ne pas être vus de la même manière dans d’autres villes des États-Unis. Ils seraient moins différents à Miami, ou même en Floride.

Dans certains magasins, les vendeuses ne parlaient même pas anglais ! Elles parlent seulement espagnol. Dommage, j’avais pris allemand au collège. Dans tous les cas, j’y suis allé pour pratiquer mon anglais, pas pour improviser un espagnol sorti des chansons de Shakira. Cependant, ce mélange de cultures reste toujours très intéressant.

Les Amérindiens se battent pour garder leur culture

Durant une visite dans un village d’Indiens, la guide nous a expliqué que l’État leur demande de travailler et de vivre de façon « moderne », pour gagner un salaire et pouvoir vivre comme tout autre américain. Mais ils tiennent absolument à garder leurs terres, leur culture et leur manière de vivre. Ils utilisent donc une partie de leur village pour des visites touristiques. Après quelques recherches, j’ai également découvert qu’il existait des associations ayant pour cause de se battre pour justement garder cette culture à laquelle ils tiennent tant.

Les grandes pièces de théâtre au lycée ne sont pas un mythe

On a tous regardé au moins un film américain qui se passe au lycée et où les élèves ont des activités artistiques qui ont l’air d’avoir une place assez importante dans leur vie. On n’y a pas tous cru. Ou alors, on y a cru, puis on s’est dit que ce n’était qu’un film. Non, ce n’était pas qu’un film. La plupart d’entre vous ont sûrement vu de grandes créations comme High School Musical. Chaque détail compte : les décors sont bien préparés, les élèves ont des costumes, connaissent leur texte et jouent comme de vrais comédiens. Soyons honnêtes, le lycée ou je suis actuellement a décidé de créer un club de théâtre. A la fin de l’année, lorsque le spectacle approchait, la moitié des élèves avaient quitté le club, les textes étaient à peine appris et en plus de ça, il n’y avait ni costumes ni décor. Je ne suis pas là pour montrer à quel point les lycées américains sont fantastiques, mais soyons réalistes, ils sont beaucoup plus investis dans ces domaines là.

Wynwood Walls

Il y a quelques années, Wynwood était un quartier plutôt mal-famé. Aujourd’hui, ses murs sont des œuvres. Il y a un musée, Wynwood Walls et plusieurs bars, ce qui ajoute une bonne ambiance à ce lieu qui autrefois menait de nombreux trafiques de drogues. Les habitants du quartier sont très sympathiques, ouverts à la conversation et n’hésitent pas à vous renseigner si vous êtes dans le besoin. Les peintures ne sont pas très différentes les unes des autres mais la visite de ce quartier était très plaisante.

Le « Non, merci », même pas en rêve

Ce séjour m’a permis de faire de nombreuses découvertes, notamment dans la culture et le mode de vie des américains. Parfois, il faut faire des erreurs pour apprendre. En effet, j’ai fait une petite erreur, mais j’ai appris. Il a en plus fallu que ça m’arrive à plusieurs reprises pour m’en rendre compte (pire, ça n’existe pas). La fameuse bêtise a été de refuser quelque chose qu’on m’offrait. On m’a proposé de me payer une boisson et j’ai refusé parce que justement ça me gênait. Mais j’ai justement gêné la personne en question. Nous étions entre amis donc rien de grave. En revanche, j’ai entendu plus tard une américaine raconter son séjour en France et elle disait : « Ma famille m’avait proposé un goûter supplémentaire et je sais que ça ne se fait pas, mais je n’ai pas accepté, je n’avais absolument pas faim ». Oups.

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Départ à l’étranger : quel compte ouvrir quand on est étudiant ?

Cet article est écrit dans le cadre d’un partenariat commercial avec HSBC.

Quand je suis partie en Chine, pour mon échange, je ne pouvais pas utiliser ma carte bleue pour autre chose que des retraits. Et puis ensuite, j’ai perdu ma carte bleue et je ne pouvais plus rien acheter. Et ma banque a mis un mois à m’en renvoyer une. Un mois entier.

J’avais fait confiance à ma banque régionale, sans vraiment regarder les conditions. 4 retraits par mois sans frais ? Super ! Sauf que quand on arrive et qu’on découvre qu’il faut payer 3 mois de loyer en cash à l’arrivée, et que les distributeurs sont plafonnés à 300€ par retrait, c’est déjà moins super.

Ne faites pas les mêmes erreurs que moi : choisissez bien la banque et les options de votre compte bancaire avant d’aller étudier à l’étranger.

Quels frais bancaires à l’étranger ?

Le plus important, c’est d’éviter les frais bancaires sur vos transactions à l’étranger.

Les frais, ça inclut un certain nombre de coûts plus ou moins évidents. D’abord, les commissions sur les retraits en liquide. Faut-il passer par une banque partenaire ? Y a-t-il assez de banques partenaires dans le pays où vous partez ? Avez-vous un certain nombre de retraits par mois autorisés même en dehors des banques partenaires ? Les mêmes questions se posent sur les paiements par carte bancaire.

Ensuite, il y a les coûts un peu moins évidents. Par exemple, le coût de la carte bancaire elle-même : quels sont les frais associés, votre établissement a-t-il un partenariat spécial avec une banque, qui vous permettrait d’avoir une meilleure carte pour un prix plus bas ? De même pour les frais de tenue de compte.

Assurez-vous bien que votre carte est assurée correctement. Souvent, c’est inclus avec les cartes Visa (j’ai une Visa Premier que je recommande !), je ne connais pas les modalités des autres types de cartes bancaires.

Enfin, assurez-vous de ne pas devoir payer un supplément pour gérer vos comptes sur Internet – c’est la base, mais quelques banques ne le font toujours pas. Vous n’allez pas pouvoir vous rendre au guichet de votre banque à Chailles-les-Eaux pour faire un virement !

Un compte bancaire qui limite les frais à l’étranger

Vous l’avez compris, choisir sa carte bleue et le compte bancaire qui va avec, c’est tout un parcours du combattant (avec moins de barbelés et plus de pourcentages).

Certaines banques font une offre spéciale de compte bancaire pour étudiant à l’étranger. C’est le cas de HSBC, que j’ai mis en lien.

Avec ces offres, vous bénéficiez d’un tarif spécial étudiant, mais vous avez le même niveau de service qu’une personne diplômée avec des revenus stables. La banque porte une attention particulière à votre plafond de retrait, pour pouvoir survivre si on vous demande trois mois de loyer en avance (je sais que je me répète, mais c’est un vécu très douloureux) ou une hospitalisation surprise, que je ne vous souhaite pas. Les virements sont accélérés pour certaines devises, pour les personnes qui partent dans un pays hors zone euro.

Si vous restez à l’intérieur de la zone euro, voyez aussi s’il est pertinent d’ouvrir un compte spécifique pour le départ à l’étranger ou si votre banque ôte toutes les restrictions – chez HSBC, c’est le cas.

Quelle banque avez-vous choisi pour votre voyage à l’étranger ? Avez-vous des histoires d’horreur à nous raconter, ou au contraire, est-ce que tout s’est très bien passé ? Racontez-nous tout ça dans la section commentaires de cet article !

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Étudier à Harvard quand on est français

C’est marrant, je vois de plus en plus de questions sur comment étudier à Harvard dans les requêtes qui vous mènent à Réussir Mes Etudes. En général, vous visitez directement l’article sur le coût des universités américaines, d’après les statistiques du site. Je me suis donc dit que vous voudriez peut-être un peu plus d’informations, et ça tombe bien, parce que c’est le bon moment pour commencer les démarches si vous voulez étudier à Harvard l’année prochaine.

Une vue de côté de Massachusetts Hall, un dortoir en brique rouge aux fenêtres très régulières. Sur le côté droit de l'image, un groupe de personnes discute dans une allée.
Massachusetts Hall, le plus ancien bâtiment de Harvard. Photo par Mario Roberto Durán Ortiz pour Wikimedia Commons.

Les démarches pour entrer à Harvard

S’il est bien une chose qu’il faut absolument savoir au sujet des démarches nécessaires pour entrer à Harvard, c’est bien que le processus de recrutement est le même pour les étudiants à l’étranger que pour les étudiants américains. Pas de quotas, pas de dates limites propres.

Il existe deux tours de sélection : l’early action et la regular decision. L’early action se déroule avant le premier novembre, et vous recevez des nouvelles vers mi-décembre. Le processus d’admissions classique se termine le premier janvier. À vous de voir si vous voulez prendre le temps de penser à votre dossier ou si vous avez déjà eu le temps de faire tout ce qu’il vous faut pour intégrer l’école.

Au niveau du prix, on en a déjà parlé, donc je vous invite à (re)lire cet article sur le coût réel des universités américaines. Notez que si vos parents gagnent moins de €65,000 par an, vos études sont censées être entièrement gratuites et payées par l’école !

Pour intégrer Harvard, il faudra passer par quelques étapes :

  • Passer un test standardisé, soit deux sujets de SAT et le SAT classique
  • Scanner vos notes de lycée, les faire traduire, inclure la version originale et la version traduite qui inclut le nom de la personne l’ayant traduite
  • Demander une lettre de recommandation à deux de vos professeurs
  • Si vous avez passé le TOEFL, l’ajouter à votre candidature
  • Répondre aux questions posées par Harvard dans le dossier de candidature, par exemple en présentant vos motivations, votre plus grande fierté… ce genre de questions un peu bateau qui peut en dire beaucoup (ou pas du tout) sur vous.

Vous enverrez ces documents et un paiement de 75 dollars pour pouvoir vous inscrire. Si le coût est trop élevé pour vous et votre famille, ne vous inquiétez pas : un petit mail poli au service des admissions suffira pour que votre candidature soit gratuite. Ce sera de même pour les bourses : ne vous embêtez pas à en chercher, Harvard vous accompagnera dans votre recherche si vous êtes pris.

Vous pouvez aussi passer un entretien si vous le souhaitez, avec un ancien élève qui est en contact avec le service des admissions. Harvard a certains de ces élèves en France, donc retrouvez les instructions sur le site des admissions pour organiser une rencontre ! L’entretien n’est pas obligatoire, donc si vous ne pouvez pas vous déplacer, ne vous inquiétez pas. Cependant, il est toujours bon d’avoir fait une bonne première impression à quelqu’un du service des admissions avant d’envoyer votre dossier.

Un grand bâtiment en brique rouge typique à Harvard et à Boston. Devant le bâtiment, quelques personnes marchent sur le trottoir.
Un bâtiment de Harvard. Photo par John Phelan pour Wikimedia Commons.

Les alternatives à Harvard

Tout le monde n’étudie pas à Harvard, et le monde ne s’en porte pas plus mal. On pense souvent à Harvard quand on réfléchit à l’excellence américaine, mais elle existe ailleurs. Voyons quelques alternatives pour étudier aux États-Unis dans un environnement prestigieux, sans intégrer Harvard elle-même.

Autres universités américaines prestigieuses

Si vous ne connaissez pas l’Ivy League, c’est le moment de vous renseigner. Ces quelques écoles américaines sont les plus reconnues du pays, et vous avez tout intérêt à vous y intéresser autant qu’à Harvard (qui en fait partie).

Un peu d’avance ? Aller au lycée aux USA

Vous êtes en train de réfléchir à intégrer Harvard après le lycée, mais vous en êtes encore au collège ou à la classe de seconde ? C’est super de s’y prendre à l’avance ! Et si vous essayiez d’aller au lycée aux États-Unis, pour améliorer votre anglais et vous habituer à ce qu’on attend de vous ? Vous ne seriez ni le premier,  ni le dernier à tenter l’aventure. Renseignez-vous vite !

 

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Financez votre Master à l’étranger avec Sqore

Cet article est rédigé dans le cadre d’un partenariat commercial avec Sqore.
Envie de partir étudier à l’étranger ? Comme je vous comprends ! Simplement, il y a souvent des difficultés à l’inscription : entre les lieux où les études coûtent cher et ceux qui exigent quatorze formulaires de demande de visa en huit exemplaires chacun, il y a de quoi se décourager. Pour le deuxième type de problème, je ne peux pas faire grand-chose pour vous : étudier à l’étranger, ça vous fera de la paperasse, c’est un fait et on n’y peut pas grand-chose, à part en étant de bonne volonté et en restant en Union européenne.
Par contre, pour la deuxième problématique, celle du manque d’argent, j’ai peut-être quelque chose pour vous, grâce à Sqore. Le principe du site : vous participez au Sqore Challenge et si votre score (sqore, score, hihi) est assez élevé, alors l’établissement que vous ciblez peut vous proposer une réduction sur les frais d’inscription, voire même une bourse d’études partielle.
Et il y en a toute l’année ! En voilà cinq qui ont obtenu ma préférence ce mois-ci.

En Grèce : un Master en business à l’ALBA Business School

sqore : business at ALBA

Avec les scholarships for Graduate Business Studies at ALBA, vous payez seulement 40% des frais d’inscriptions classiques pour effectuer votre MBA en Grèce, dans la toute première école privée du pays, fondée à Athènes en 1992.
L’école est en partenariat avec des établissements prestigieux, comme la London Business School, l’INSEAD, ou encore IE Business School en Espagne.

Vous préférez le froid ? La Finlande vous propose un master en « Law, business and futures studies » avec Sqore

Si, comme moi, vous êtes allergique aux plages ensoleillées et aux températures supérieures à 25 degrés, l’offre en Grèce ne vous a peut-être pas convaincus. En voilà deux qui seront peut-être un peu plus adaptées, à commencer par le Masters in Law, Business and Futures Studies de l’université de Turku.
Cette fois, il s’agit d’un établissement public. Pas très intéressant, donc, d’avoir une réduction sur les frais d’inscription. Avec le Sqore challenge, vous pourrez gagner une inscription gratuite à la Summer School avant de commencer votre Master, et recevoir une bourse de 800€ pour vous aider à emménager dans le pays. Pas mal, non ?

Toujours dans le froid, mais avec plus de jeux vidéo : étudiez la médecine en Suède

Encore une fois, il s’agit d’une formation publique, donc très abordable, à l’université d’Örebro. Plutôt qu’une réduction sur les frais d’inscription à un Master’s in Medicine, l’établissement vous propose donc, si vous prouvez que vous en valez la peine, un programme de mentoring académique (et avoir un mentor, c’est fantastique), et surtout de pouvoir participer à une conférence importante au cours de l’année, tous frais payés !

De retour dans la région : la Belgique et l’urbanisme

Envie d’un Master of Science in Urban Studies à la Vrije Universiteit de Bruxelles ? C’est un établissement de langue néerlandaise, mais bien sûr, les cours y sont en anglais. Et vous pouvez faire l’aller-retour pour chez vous pour une bouchée de pain pendant le week-end, puisque le pays est tout proche du nôtre ! Pendant votre deuxième année, vous pourrez faire un stage en Belgique, en France, ou dans tout autre pays qui vous ferait envie.

Si vous réussissez le Sqore challenge, vous recevrez une réduction de 600 euros sur votre année d’études, qui coûtera donc 900€ au lieu de 1500€ si vous venez de l’Union européenne.

Pas envie d’aller en cours : un stage en ingénierie aux Pays-Bas

Des alvéoles sur fond chromé futuriste

Celle-là, elle est un peu différente des autres. Si vous avez fini votre licence ou votre master et que vous voulez devenir ingénieur-e, mais qu’il vous faudrait encore quelques connaissances pour maîtriser votre sujet à fond, vous pouvez choisir de rejoindre le programme New Engineers aux Pays-Bas.

Non seulement vous aurez l’opportunité de faire un stage rémunéré dans la spécialité que vous préférez, mais vous recevez une bourse de 1000 euros pour bien vous installer dans la région et vous payer la toute dernière version de Catia ou, en fait, ce que vous voulez.

Aucun de ces programmes ne vous fait de l’oeil ? Ne vous inquiétez pas ! Sqore publie très régulièrement des nouvelles opportunités, donc profitez-en !

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Étudier à l’étranger : avant de partir

Cet article est écrit dans le cadre d’un partenariat commercial avec Europe Santé Formations. C’est aussi le 400ème article publié sur Réussir Mes Études !

Choisir le pays où on va étudier à l’étranger

Quand vous décidez de partir étudier à l’étranger, vous ne choisissez pas qu’un établissement. Vous choisissez aussi un pays.

Bien sûr, selon le pays où vous vivez, vous n’aurez pas non plus le même standard de vie. Mon estimation préférée du coût de la vie dans la ville que vous choisirez, c’est celle du site NomadList, qui recense la sécurité, la qualité moyenne du wifi, le prix des logements ou encore le potentiel de sorties dans à peu près n’importe quelle ville du monde. N’hésitez pas à y faire un tour pour voir quel établissement, quel pays vous convient le mieux !

Un peu trop de démarches pour étudier à l'étranger ?

Comment gérer les démarches administratives ?

Chaque établissement a ses propres règles, chaque pays a ses pratiques communes. Vous pouvez chercher à vous débrouiller tout seul ou faire appel à un organisme, qui aura un coût mais vous fera gagner beaucoup de temps et de sérénité.

Certains, comme Europe Santé Formations, se spécialisent dans un domaine en particulier, et dans les pays qui s’y prêtent. Dans ce cas précis, vous allez pouvoir surtout partir en Espagne ou au Portugal, mais dans pas mal d’autres régions aussi. Toutes seront par contre en Europe. D’autres organismes vous aideront pour toutes les filières, mais seulement aux Etats-Unis, par exemple.

Il y a un peu de tout dans les organismes qui vous accompagnent, donc faites bien le tri avant de signer !

Étudier à l'étranger : trouver un bon logement.

Trouver un bon logement

Voulez-vous habiter seul ? Plutôt en colocation, avec des amis, ou avec des inconnus ? Les résidences universitaires sont-elles votre choix de prédilection ? C’est à vous de décidez ce que vous préférez : chacun a ses avantages. Attention au quartier dans lequel vous habitez. Je vous recommande fortement le sympathique Hoodmaps, où vous verrez quels quartiers de la ville qui vous intéresse sont plus peuplés par les étudiants, et quelques mots-clés sur les quartiers principaux de la ville. C’est un outil idéal pour voir facilement où s’installer !

Quand j’étudiais en Chine, j’étais dans une promo à grosse portion de Français. Je n’ai jamais été aussi contente d’en voir, moi qui suis habituellement la première à m’en plaindre ! Rentrer chez moi le soir après une journée avec des étudiants internationaux, et passer la soirée avec ma colocataire française, c’était vraiment un bon équilibre. À vous de voir lequel vous allez préférer.

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Papa, maman, je veux étudier à l'étranger

Vous voulez faire un échange au Canada, voyager en Asie, mais vos parents sont complètement contre l’idée. Pour eux, c’est un gâchis de temps et d’argent, c’est dangereux, c’est des vacances à l’étranger plutôt que d’étudier sérieusement en France. Et puis bon, c’est dur de ne pas vous voir pendant plusieurs mois.

Quant à vous, vous savez bien que ce genre de voyage est non seulement très positif pour votre CV, mais est une expérience personnelle extrêmement riche et importante. Vous aurez des nouvelles expériences, vous devrez sortir de votre zone de confort, vous vous comporterez en adulte responsable face aux défis du quotidien, vous apprendrez peut-être une nouvelle langue : après tout, les voyages forment la jeunesse.

Comment convaincre vos parents que partir à l’étranger est une excellente idée ?

1- Organisez-vous

Il vous faut un budget détaillé, un planning, des vraies attentes pour que vos parents puissent voir que vous avez vraiment réfléchi à la question. Quel est votre objectif pour ce voyage à l’étranger, que voulez-vous accomplir ? Qu’est-ce que ce voyage apportera à votre vie personnelle et à votre carrière ? Pourquoi est-il important pour vous ?

Où voulez-vous aller exactement ? Combien de temps ? Que ferez-vous pour rester en sécurité ? Combien d’argent avez-vous mis de côté pour le voyage ? Combien va-t-il coûter, quel est votre budget ? Comment allez-vous récupérer l’argent nécessaire pour vivre là-bas ?

Toutes ces questions sont importantes, à la fois pour vous et pour montrer à vos parents que vous prenez ce projet au sérieux : vous montrez que vous êtes responsable et autonome, que vous savez vous financer, et que vous savez ce que vous faites. Demandez-leur aussi s’ils ont des questions ou des doutes auxquels vous pouvez répondre, et travaillez dessus.

2- Faites des vraies recherches sur l’intérêt de voyager

Aidez vos parents à voir l’importance d’une période à l’étranger pour votre vie personnelle et professionnelle. Aujourd’hui, les employeurs privilégient vraiment les personnes qui savent évoluer dans un environnement multiculturel, parlent plus d’une langue et savent réfléchir d’une façon nouvelle : trouvez des bons exemples pour vous soutenir !

3- Trouvez des témoignages

Nos parents aiment nous comparer aux enfants de leurs amis et nous dire qu’ils ont mieux réussi que nous, non ? Prenez donc l’exemple de quelques-unes de leurs connaissances, en leur montrant que ces personnes ont bien réussi à voyager et à revenir avec plus de succès : elles ont trouvé un emploi, elles sont rentrées dans telle école grâce à leur dossier…

Profitez-en pour discuter avec ces personnes et leur demander comment elles-mêmes ont convaincu leurs parents. Et si aucun des amis de vos parents n’a d’enfant parti à l’étranger, trouvez d’autres témoignages de personnes moins proches.

4- Dites-leur que vous resterez en contact

Il y a une bonne part d’inquiétude dans le refus qu’ont nos parents de nous laisser partir seuls à l’étranger : serez-vous en sécurité, auront-ils régulièrement des nouvelles ? Il faut qu’ils réalisent deux choses : la première, c’est qu’il peut vous arriver tout autant de choses terribles si vous restez à la maison. L’autre, c’est qu’il est temps que vous gagniez votre indépendance – ils ne seront pas toujours là pour vous.

Pour les rassurer le mieux possible, donnez-leur le plus d’informations possible : là où vous dormirez, où vous irez. Préparez aussi un rendez-vous régulier sur Skype et autres Google Hangouts, ou un mail de temps en temps. La technologie a évolué, et vous pouvez tout à fait rester en contact avec votre famille même à l’autre bout du monde, mais vos parents ne s’en rendent peut-être même pas compte !

5- Soyez patient et persévérant

 

Au final, vous obtiendrez ce que vous voulez. Soyez patient, ne tentez pas de confronter votre famille trop brusquement, et acceptez de faire des compromis s’il le faut. Par exemple, si vous vouliez faire du backpacking, peut-être que vous pourriez aller dans une famille d’accueil, ou rejoindre un groupe de jeunes qui veulent faire la même chose !

N’oubliez pas que c’est votre vie, pas celle de vos parents : n’abandonnez jamais ce que vous voulez vraiment faire.

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Le coût réel des universités américaines

Bonjour à tous, dans cet article je vais évoquer un sujet sur lequel planent beaucoup de fantasmes : le coût réel des universités américaines. Quand le Figaro étudiant publie un article sur le coût des études en France, il y a toujours un commentaires pour nous rappeler à la dure réalités des universités américaines, réservées aux milliardaires car coûtant plusieurs centaines de milliers de dollars par an. Diantre. Les étudiants aux Etats-Unis ne seraient-ils que des étrangers ou des « fils de » ?

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Vous pouvez trouver ici un top 10 des universités américaines les plus coûteuses. Toutefois, pour prendre un référentiel que tout le monde connaît, je vais me pencher sur le cas de Harvard University.

Sans surprise, les études ne sont pas gratuites dans les universités américaines. L’inscription de base pour une année coûte dans les $40,000, ce à quoi il faut ajouter plus de $10,000 de logement étudiant et quelques milliers de dollars de frais de vie. En additionnant tout, le coût d’une année dans une grande université américaine avoisine donc sans problèmes les $50,000 – $55,000, soit une fourchette de 42 500€ – 46 750€. C’est beaucoup.

Toutefois il s’agit là du cas général. Il y a aux Etats-Unis un système de scholarships (bourses) beaucoup plus développé qu’en France, ce qui permet aux étudiants d’en obtenir plus facilement, et donc de couvrir au moins une partie de leur frais. De plus, les grandes universités américaines ont presque toute un système de bourses en propre qu’elles attribuent au mérite ou aux étudiants en ayant le plus besoin. Il ne faut pas perdre de vue que ces universités cherchent avant tout à attirer les meilleurs étudiants, pas les plus riches, et donc qu’elles ont aussi tout intérêt à financer la scolarité de futurs très bons étudiants.

Un autre point qui est totalement méconnue est la gratuité, partielle ou totale, des frais de scolarité pour les étudiants issus de familles modestes. Ainsi, Harvard College est gratuit pour les étudiants dont les parents gagnent moins de $65,000 par an. (source)

Loin de l’image d’une université exclusivement réservé aux enfants de milliardaires, 20% des étudiants de Harvard College ne payent aucune tuition fees, et 70% d’entre eux reçoivent une bourse ou une aide financière couvrant tout ou une partie des frais de scolarité. Au final, moins 30% des étudiants payent l’intégralité des frais de scolarité. (source)

ll ne s’agit pas d’une spécificité propre à Harvard, toutes les universités de la Ivy League ont un système de Financial Aid permettant une modulation des frais de scolarité. En moyenne une année dans une grande université américaine coûte toujours bien plus cher qu’en France, mais on est très loin du cliché de l’année scolaire à plusieurs centaines de milliers de dollars l’année.

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Comment choisir son échange à l'étranger ?

Il y a autant de visions de l’échange universitaire à l’étranger que d’étudiants. Toutefois, des traits communs sont facilement identifiables, et il existe des pièges clairs à éviter : voici une méthode pour faire le bon choix.