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Comment (enfin) progresser en anglais ?

L’apprentissage de l’anglais n’est pas forcément aisé pour qui se contente des 2 heures dispensées par semaine au collège ou au lycée, alors que la pratique de cette langue est un véritable atout dans la vie étudiante, privée, professionnelle… c’est aussi ce qui peut vous permettre de vous distinguer face à la « concurrence ». Voici quelques clefs qui m’ont permis de m’approprier la langue de Shakespeare, step by step, même si j’y travaille toujours !

Vouloir progresser

Même si cela paraît aller de soi, cette étape est cruciale. Ne vous dites jamais « mais de toute façon je suis nul.le ! ». Il faut prendre conscience que les méthodes qui nous sont imposées ne nous conviennent parfois pas, ou ne sont pas suffisantes. Il n’y a pas de fatalité. Si vous voulez vraiment progresser, vous y arriverez en étant vous-même actif/active dans cette démarche.

Se familiariser

Ce qui m’a vraiment aidée lorsque j’étais au collège, c’est de commencer à regarder des films et séries dans leur version originale (quand elle est anglaise), avec sous-titres français. Au début, contentez-vous simplement de prendre cette habitude. Se familiariser à la musique de l’anglais est essentiel pour votre oreille. Petit à petit, des mots, comme des notes, ou des instruments, se détacheront. Le mieux est de commencer par des productions plutôt britanniques type BBC ; l’accent british améliore la distinction des mots.

Evidemment, ce n’est pas un processus instantané, mais progressivement vous serez étonné.e de voir que vous saisissez quelques mots, des phrases courtes, des expressions. Cela peut prendre quelques semaines, quelques mois, quelques années, mais vous verrez les progrès.

Diversifier

Une fois que vous avez engagé cette seconde étape, vous pouvez l’approfondir et la diversifier : vous diriger vers des œuvres américaines par exemple, ou de manière générale ne pas sélectionner forcément des choses dans votre nouvelle zone de confort. Il faut y aller petit à petit. N’hésitez pas non plus à diversifier ce que vous regardez car c’est comme ça que vous enrichirez votre vocabulaire : drames, romances, films historiques, d’action, documentaires, téléréalité, Youtube… goûtez un peu à tout !

Prendre des risques

Le sous-titrage est un filet de sécurité rassurant qui peut vous nuire plus qu’autre chose si vous êtes trop focalisé.e sur celui-ci. Commencez d’abord par basculer les sous-titres en anglais : c’est un exercice qui vous permettra de lire le son directement. Même si vous ne connaissez pas le sens de tous les mots, ce n’est pas du tout grave tant que vous comprenez la signification globale. Persistez, car cela vous permet d’enregistrer l’orthographe des mots et d’encore mieux appréhender la construction des phrases. Vous intégrez aussi la manière de prononcer les mots. Et bien sûr, l’ultime étape est d’enlever complétement les sous-titres. Faites-vous confiance !

Piocher un peu partout

C’est le moment d’être un peu plus actif : dès que vous le pouvez, quand un mot vous interpelle, une expression idiomatique… notez-le. Constituez-vous un petit carnet de vocabulaire, en notant d’où chaque élément provient, cela vous aidera pour la mémoire que de pouvoir le recontextualiser.

Vous pouvez aussi vous attaquer à la lecture ! Je vous conseille de vous diriger vers des livres que vous connaissez déjà très bien en français (par exemple que vous avez lu plusieurs fois, ce qui était mon cas pour Harry Potter…), ou des livres jeunesse, ou encore des livres bilingues. Cela peut faire un peu peur, surtout si naturellement vous n’êtes pas trop habitués à lire, mais vous ferez ainsi d’énormes progrès question grammaire, syntaxe… Encore une fois, l’objectif est de se familiariser avec les structures.

Théoriser

Vous êtes désormais bien armé.e pour vous intéresser à la grammaire « théorique ». Encore une fois, ne soyez pas effrayé.es : l’idée n’est pas d’ingurgiter un bouquin entier par cœur, mais de comprendre les logiques petit à petit pour pouvoir s’adapter à toutes les situations pouvant vous amener à parler anglais. Comprendre et vous faire comprendre, c’est déjà très bien, mais le faire correctement, c’est encore mieux. Et maintenant que vous êtes familiarisé.es avec la langue, cela devrait être beaucoup plus simple ! Vous y reconnaîtrez en effet les formes et utilisations que vous connaissez déjà ; seulement vous comprendrez pourquoi elles s’agencent de cette manière, et vous en comprendrez mieux les subtilités.

C’est ainsi le moment de voir comment on construit une base verbale, comment on peut exprimer une suggestion, un contraste… bref, des clefs qui viennent étoffer votre maîtrise, et a fortiori votre pratique.

Je vous recommande ainsi de vous tourner vers une grammaire thématique (par exemple celle de l’édition Nathan, niveau B2-C2, qui contient aussi une grammaire alphabétique).

S’immerger

Le meilleur moyen de se confronter à l’anglais est encore de l’embrasser entièrement, de s’y baigner, de s’en imprégner, bref : de partir à la source. Le mieux est de voyager seul.e, sans garde-fous, sans personne sur qui s’appuyer. Vous pouvez par exemple partir en auberge de jeunesse dans la ville de votre choix, en Erasmus ou faire du wwoofing ; c’est à mon avis la meilleure manière de rencontrer des personnes et de générer des échanges enrichissants à tous les plans.

Soyez attentifs, à l’écoute, et lancez-vous !

Quelques ressources

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Comment avoir des bonnes notes en allemand ?

Cet article est rédigé dans le cadre d’un partenariat commercial avec l’application mobile Babbel.

Ah, l’allemand… C’est incroyable, le nombre de personnes traumatisées par leurs anciens cours d’allemand. Il y en a même encore plus que de personnes qui vivent mal leurs cours de maths. Avec les conseils de cet article, vous n’aurez plus besoin d’être une victime !

Trouver la motivation de bosser l’allemand

File:Basteibrücke morgens (Zuschnitt).jpg
Le Basteibrücke le matin, une photo de Thomas Wolf

« Quand on étudie l’italien, soit on veut travailler dans le luxe, soit on veut se faire des belles vacances. »

C’est ce que nous répétait ma professeure d’italien au collège. Manque de bol, je n’étais dans aucun de ces deux cas.

L’allemand, c’est un peu pareil, sauf qu’on n’y va pas trop en vacances non plus. Comment, alors, se motiver à apprendre l’allemand ?

Voici 10 raisons de s’améliorer en allemand :

  1. C’est hyper important si vous voulez rester en Europe, parce que l’Allemagne est au coeur de la politique et de l’économie de l’Union européenne
  2. C’est un gros avantage si vous voulez quitter l’Europe, parce que personne ne parle allemand en dehors des Allemands
  3. Si vous détestez la grammaire française, au moins, en allemand, il n’y a pas d’exceptions, juste des règles à retenir
  4. Si vous aimez vous sentir intelligent, sachez que plus de 100 Allemands ont reçu un prix Nobel, et c’est sans compter les germanophones d’autres pays
  5. Si vous aimez l’excellence scolaire, les universités allemandes sont quatrièmes au monde en nombre d’étudiants étrangers qui y font leur échange
  6. Si vous rêvez d’être chercheur, l’allemand est la langue avec le plus d’articles académiques dans le monde, après l’anglais
  7. Si vous aimez les voitures, vous n’avez sûrement même pas besoin de lire cette liste
  8. Si vous aimez l’alcool (modération, tout ça), l’Oktoberfest fera votre bonheur
  9. Si vous aimez vous la péter, vous pourrez lire Goethe et Kant en version originale
  10. Si vous aimez vous la péter (bis), vous pourrez rire à chaque fois que quelqu’un vous dit “ah moi, l’allemand, j’en ai fait sept ans je sais juste dire hallo

Pas si mal, non ? Allez, vous verrez, il y a plein de bonnes raisons d’apprendre l’allemand et au moins une d’entre elles vous conviendra forcément. Mais une fois que vous avez trouvé la motivation nécessaire, encore faut-il trouver la bonne façon d’apprendre.

Apprendre l’allemand en cours

File:Dresden Altstadt - Terrassenufer Dampfer, Foto Christoph Münch.jpg
Dresde – une photo de Christoph Münch

Pour bien apprendre en cours, on passe vraiment par la même méthode que pour n’importe quelle autre matière. Il faut bien prendre des notes, bien sûr, mais aussi participer le plus possible.

Le guide complet de la prise de notes

En cours, vous apprendrez des choses absolument essentielles et en particulier la grammaire. Notez bien tous les exemples. Je vous recommande aussi d’avoir un petit répertoire dans lequel vous pourrez mettre votre vocabulaire par ordre alphabétique, pour pouvoir facilement le retrouver quand c’est nécessaire.

Accro au smartphone ? Au-delà de mes conseils pour se désintoxiquer de son téléphone, vous pouvez aussi en faire bon usage en téléchargeant des applications spéciales pour apprendre les langues. Essayez par exemple l’app de Babbel qui permet de s’entraîner à l’allemand par ordre de niveau.

Il est aussi important de faire des fiches de révisions pour garder le cours à l’esprit. Essayez de participer le plus possible à l’oral, parce que c’est souvent un élément qui manque aux cours de langue. On apprend à bien s’exprimer à l’écrit, certes… mais savez-vous discuter avec quelqu’un en allemand sans paniquer ? Pas d’inquiétude, ça s’apprend !

S’améliorer à l’oral

File:Neuschwanstein Castle (532850).jpg
Le château de Neuschwanstein, par cameralends

S’améliorer à l’oral passe par deux phrases : la compréhension et l’expression orales. Dans la première, il s’agit de comprendre ce qu’on vous raconte. C’est essentiel, mais c’est aussi plus facile que l’autre, qui consiste à pouvoir répondre et vous débrouiller pour que les autres vous comprennent à leur tour.

Vous aimez les séries ? Parfait, Netflix en sort régulièrement, y compris en allemand ! Peut-être que Dark pourra vous faire craquer, par exemple. Regarder des films et séries en version originale, c’est ce qu’il y a de mieux pour travailler sa compréhension orale. En fait, l’idéal est de fonctionner par phases :

  1. Vous débutez : regardez des séries ou films en allemand avec sous-titres en français
  2. Vous commencez à vous débrouiller : passez les sous-titres en allemand
  3. Vous êtes à l’aise : regardez sans sous-titres
  4. Vous avez déjà un bon niveau : écoutez des podcasts ou des émissions de radio

Il est beaucoup plus facile de comprendre l’allemand en regardant les mimiques des gens et le contexte visuel, donc c’est toujours plus dur de suivre un podcast ou la radio. Si vous y arrivez, félicitations : vous avez atteint le meilleur niveau de compréhension orale !

Comprendre sans pouvoir répondre, ce n’est pas idéal, donc n’oubliez pas de travailler votre expression orale en parallèle. Enregistrez-vous en train de prononcer des mots et des phrases, et comparez votre prononciation à celle d’une personne native. N’oubliez pas que l’accent français, c’est sexy : pas de panique, donc, si vous avez du mal avec certains sons. Quand vous travaillez sur un texte écrit, efforcez-vous de le lire à voix haute au moins une fois. Quand vous écoutez quelque chose, essayez de répéter après l’original pour voir si vous arrivez à prendre les mêmes intonations. C’est en imitant que vous vous améliorerez le plus vite dans un premier temps.

À ce stade, vous avez presque fini vos révisions. Il ne vous reste qu’à apprendre à vous exprimer sans répéter quelqu’un d’autre ! Pour ça, je vous conseille d’échanger avec des personnes natives. Essayez par exemple l’application mobile Tandem, ou de vous inscrire sur des réseaux sociaux où les gens parlent allemand. J’aurais tendance à proposer de vous inscrire sur Xing, le LinkedIn allemand, pour trouver des premiers contacts professionnels. Si vous avez des passions particulières, trouvez des Allemands avec qui vous partagez ces intérêts, comme ça vous saurez de quoi parler !

Avez-vous choisi d’apprendre l’allemand, ou était-ce le choix de vos parents ? Aimez-vous apprendre cette langue ? Partagez pourquoi vous l’apprenez et vos astuces pour vous améliorer dans les commentaires de cet article !

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Réussir l’IELTS avec le Pack Réussite IELTS Nathan

Le [amazon_textlink asin=’2098118694′ text=’Pack Réussite IELTS’ template=’ProductLink’ store=’lexi05-21′ marketplace=’FR’ link_id=’5d8b902a-2449-11e8-8523-876e7e413f39′] m’a été envoyé en service presse par les éditions Nathan. Naïm est un étudiant que je coache, qui a souhaité ne pas publier de photos de lui sur le blog.

Vous le savez peut-être déjà : je coache quelques étudiants gratuitement chaque semestre.

Ce que je ne fais pas, c’est donner des cours particuliers, c’est-à-dire dire “je vais t’aider sur une matière, pour un objectif” plutôt que “je vais te donner des méthodes que tu pourras appliquer à ta vie et à tes études”. Et puis surtout des cours d’anglais – j’ai déjà donné quand j’avais mon loyer d’étudiante à payer, j’aimais bien, mais je m’étais bien dit que je ne le ferais plus jamais.

Quand Naïm m’a contactée pour préparer l’IELTS, forcément, j’étais dubitative. À peine quelques jours plus tard, les éditions Nathan publiaient le [amazon_textlink asin=’2098118694′ text=’Pack Réussite IELTS’ template=’ProductLink’ store=’lexi05-21′ marketplace=’FR’ link_id=’5d8b902a-2449-11e8-8523-876e7e413f39′] et m’en proposaient un exemplaire. J’ai tendance à faire confiance aux signes du destin : j’ai rappelé Naïm pour lui dire que la situation avait changé, et nous avons commencé à travailler ensemble, à l’aide du pack reçu.

Un rappel pour commencer : qu’est-ce que l’IELTS ?

Présentation de l’IELTS

J’avais fait il y a quelques mois un rappel général des différentes certifications d’anglais qu’on peut passer quand on est étudiant : l’IELTS en fait partie.

L’IELTS est un test Cambridge English, qui fonctionne un peu comme le TOEIC, si vous êtes plus familier avec celui-ci. Il couvre tous les niveaux de A1 à C2 et vous donne une note générale qui estime votre niveau d’anglais. Il est reconnu par la grande majorité des établissements autour du monde, qui vous demanderont une note minimum à l’IELTS pour les intégrer.

Quand on passe l’IELTS, c’est donc généralement pour aller étudier à l’étranger (Naïm espère passer sa prochaine année scolaire au Japon, où une note très haute est exigée). Ce qui fait la spécificité de l’IELTS, c’est qu’on ne peut pas le rater ou le réussir : c’est à chaque établissement de décider de sa propre note limite d’admission.

Les différences entre IELTS et TOEIC

Les notes de l’IELTS se basent sur quatre épreuves :

  • Compréhension orale
  • Compréhension écrite
  • Expression orale
  • Expression écrite

Au TOEIC, on n’a généralement pas d’expression orale, et l’expression écrite se fait sous forme de QCM de grammaire et vocabulaire.

Plus important encore que l’ajout de l’expression orale : l’IELTS ne se fait pas sous forme de QCM, comme c’est le cas pour le TOEIC. On ne peut pas répondre au hasard pour avoir juste ! Il faudra au contraire légender des schémas, compléter des textes à trous ou encore répondre à des questions en un paragraphe ou plus. Pas d’excuse, donc : on ne peut pas avoir faux parce qu’on a décalé les colonnes, et on ne peut pas avoir juste parce qu’on a coché une case au hasard. L’IELTS est donc généralement considéré comme beaucoup plus fiable que le IELTS… mais il pardonne beaucoup moins les lacunes.

Comment Naïm s’est préparé pour l’IELTS

La découverte du Pack Réussite

Naïm et moi avons été assez impressionnés par l’exhaustivité du Pack Réussite IELTS. Au début du livre, quelques pages proposent des rappels du contenu de l’IELTS et de comment le réussir.

Comme je partais d’à peu près zéro, avec très peu de connaissances de ce test précis, ça m’a été très utile pour comprendre de quoi consistait le test et sur quels sujets il s’appuie. Naïm maîtrisait mieux le sujet que moi, il s’était bien renseigné, mais il ne savait pas exactement sur quels sujets il serait interrogé.

Le vocabulaire

L’IELTS propose une liste de sujets à réviser en priorité, parce qu’ils tombent souvent pendant l’examen. Comme Naïm s’y prenait presque six mois à l’avance, nous avons eu le temps de traiter tous les sujets un par un plutôt que de nous concentrer sur ceux qui étaient marqués comme les plus fréquents. Pour ça, nous avions le livret Vocabulary for the IELTS, qui faisait partie du pack.

Comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessus, chaque chapitre touche un sujet en particulier. On compte 30 chapitres dans la liste : Naïm apprenait deux nouveaux chapitres par semaine. Pour apprendre des listes de vocabulaire qui contenaient autant de mots, il suivait les étapes suivantes :

  1. D’abord, recopier les mots deux fois, sur deux fiches papier.
  2. Ensuite, s’enregistrer en train de dire les mots. Tant pis pour l’accent français, le plus important, c’était qu’il les dise à voix haute.
  3. Accrocher une des deux fiches papier dans les toilettes et la lire à voix haute à chaque passage sur le trône. C’est bête mais ça marche.
  4. S’inscrire sur Quizlet, et faire une session par jour pour s’assurer qu’il maîtrisait bien les mots et leur traduction.
  5. Chaque soir, il prenait une fiche au hasard parmi les anciennes, il en cachait la moitié, puis il notait les deux moitiés sur une feuille. Pour chaque réponse fausse ou inconnue, il recopiait cinq fois le mot en anglais et en français.
  6. Une fois par jour, dans les transports en commun, il écoutait un enregistrement d’une fiche.

Bien sûr, les efforts ne s’arrêtaient pas là : le plus important, c’est d’utiliser tous ces mots dans leur contexte. Heureusement, les exercices du livre IELTS lui permettaient de faire ça : dans ma correction, je mettais en valeur chaque utilisation qu’il faisait d’un mot récemment appris.

Résultat, au bout de six mois, Naïm avait appris énormément de mots… et moi aussi !

Les épreuves

Si je devais passer l’IELTS sans aucune préparation, je ne donnerais pas cher de ma peau. L’anglais est pourtant ma langue maternelle – mais sans connaître la façon dont les épreuves se déroulent et sur quoi les personnes examinées sont notées, on ne va pas bien loin, quel que soit l’examen.

Nathan l’a bien compris dans son pack IELTS, et ça m’a aussi bien impressionnée : chaque partie du test était expliquée en détail dans le livre, en plus des tests blancs qui permettent de se familiariser avec le déroulement des épreuves.

Les exercices de révisions étaient diversifiés, mais toujours sur le modèle de ceux du “mock test”, le test blanc.

J’ai apprécié, pour ma part, la présence d’une partie Scripts pour les contenus du CD. De cette façon, je pouvais m’assurer que Naïm avait bien compris le texte, et nous faisions mêmes quelques dictées à l’occasion pour nous assurer que tout était bien assimilé. C’était un exercice très intéressant.

Un bémol cependant : l’ordinateur de Naïm n’avait pas de lecteur CD, et il n’a pas pu travailler sur la compréhension orale et l’expression orale chez lui. Pour pallier ce manque, je lui ai créé des questionnaires basés sur des TED Talks sélectionnés au hasard, allant de la compréhension des logiques de l’amour à l’écologie en passant par le développement personnel des entrepreneurs. Et ça a marché.

Le verdict du coaché et de la coach

Dans l’ensemble, Naïm et moi étions ravis d’utiliser ce pack. Et à l’heure où j’écris cette petite conclusion, il est en train de finaliser son inscription pour son année d’échange au Japon avec un score de 6.5 !

Je ne peux que recommander aux étudiants voulant réussir l’IELTS d’investir dans une solution complète : un livre et un format audio, c’est absolument nécessaire. Le Pack Réussite IELTS de Nathan faisait parfaitement l’affaire et même plus, avec le livret de vocabulaire et des explications très détaillés : au prix où est l’examen, le coût du pack n’est pas exorbitant et son contenu peut vraiment avoir une énorme conséquence sur votre résultat. N’hésitez donc surtout pas à investir dedans.

Ce que Naïm a préféré :

  • Les tests blancs corrigés, y compris pour l’expression écrite et les épreuves qui demandent la rédaction de paragraphes
  • La simplicité d’utilisation et l’abondance de tests blancs, disséminés dans le manuel

Ce que j’ai préféré :

  • La méthodologie expliquée à chaque exercice
  • Le livret de vocabulaire divisé en chapitres à apprendre
  • Les exercices d’oral qui changeaient de mon accent (américain)

Notre (seule) déception :

  • Nous n’avons pas trouvé de moyen de télécharger les pistes audio sur le site de l’éditeur et l’ordinateur de Naïm n’a pas de lecteur CD.
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Quel test d’anglais passer pour quels objectifs ?

Cet article est écrit dans le cadre d’un partenariat commercial avec Wall Street English.

Comprendre les niveaux standardisés

Vous retrouverez dans cet article, dans mes conseils sur comment indiquer les langues sur son CV et un peu partout sur Internet des niveaux de type A1, B2, C1. Voici une grille qui explique tous ces niveaux.

Quel test d’anglais passer pour étudier à l’étranger ?

Les examens Cambridge English contiennent plusieurs niveaux.

  • Le FCE (Cambridge English: First) s’adresse aux personnes à partir du niveau B1 (bon élève de seconde). Il n’est par contre pas très utile.
  • Le CAE est l’examen le plus intéressant pour la plupart des étudiants. Il couvre les niveaux B2 à C2. Si vous voulez suivre des cours à l’étranger, il sera souvent accepté comme une preuve d’un niveau suffisant.
  • Le CPE est plus difficile, et vous demandera une maîtrise excellente de la langue anglaise puisqu’il ne couvre que les niveaux C1 et C2. Si vous voulez faire une thèse en anglais, c’est celui-là qu’il faudrait avoir.

L’IELTS est aussi un test Cambridge English, mais il est vraiment à part. Il couvre tous les niveaux de A1 à C2. Il vous donne une note générale qui estime votre niveau d’anglais. Il est reconnu par la grande majorité des établissements autour du monde, qui vous demanderont une note minimum à l’IELTS pour les intégrer.

En dehors du Cambridge English, on va plutôt se tourner vers le TOEFL, quasi-identique à l’IELTS. La différence entre les deux est négligeable, donc à vous de voir si l’établissement que vous visez en préfère un à l’autre.quel test d'anglais passer ?

Quel test d’anglais passer pour améliorer votre CV ?

Le meilleur test à passer pour une utilisation professionnelle, c’est le TOEIC. Comme l’IELTS, dont je parlais plus tôt, il vous donne une note quel que soit votre niveau, de A1 à C2. Votre score au TOEIC est entre 10 et 990, qui évaluera votre niveau : on considère que vous avez un anglais suffisant pour bien travailler, ou suivre des bons cours en anglais, à partir de la note de 860. Ce test n’inclut qu’une épreuve de lecture et une d’écriture (grammaire), ainsi qu’une épreuve de compréhension orale. Il ne contient pas d’expression orale. Il se présente sous la forme d’un QCM.

Au-dessus de 730, vous avez vos chances de réussir dans un environnement professionnel, mais il faudra travailler dur. Je vous conseille de faire appel à un organisme, comme Wall Street English, qui vous aidera à réviser et vous fournira un bon entraînement au TOEIC pour améliorer votre niveau d’anglais et, bien sûr, votre score à l’examen.

En-dessous de 730, mieux vaut suivre un stage d’entraînement au TOEIC avant de le passer, sinon, vous ne gagnez pas grand-chose à le faire.

À noter que le TOEIC peut aussi être demandé pour certaines formations académiques : par exemple, pour entrer en école de commerce, ou obtenir un diplôme d’une école d’ingénieur.

Quel test d’anglais passer pour des utilisations spécifiques ?

Cambridge English: Young Learners

Ce test existe pour les jeunes en primaire ou début de collège et va du niveau « introduction » au niveau A2. Il se présente plus comme un jeu : on demande de colorier des formes, de dessiner ou de résoudre des énigmes en anglais plutôt que de faire un test académique à proprement parler.

Le GMAT

C’est un test d’anglais… mais pas seulement. Le GMAT est un test en anglais, très reconnu, qui inclut une épreuve de mathématiques, une de logique, ou encore une rédaction. Si vous voulez étudier le commerce, ou intégrer un MBA, c’est sûrement ce qu’on va vous demander. Il demande beaucoup plus de préparation que les autres tests : en effet, en plus des questions de grammaire habituelles (qui ont un très haut niveau puisqu’elles sont à l’origine destinées à des anglophones natifs), vous aurez l’épreuve arithmétique et d’autres épreuves du genre, qui n’évaluent pas votre anglais mais bien vos compétences générales.

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Étudier à l’étranger : avant de partir

Cet article est écrit dans le cadre d’un partenariat commercial avec Europe Santé Formations. C’est aussi le 400ème article publié sur Réussir Mes Études !

Choisir le pays où on va étudier à l’étranger

Quand vous décidez de partir étudier à l’étranger, vous ne choisissez pas qu’un établissement. Vous choisissez aussi un pays.

Bien sûr, selon le pays où vous vivez, vous n’aurez pas non plus le même standard de vie. Mon estimation préférée du coût de la vie dans la ville que vous choisirez, c’est celle du site NomadList, qui recense la sécurité, la qualité moyenne du wifi, le prix des logements ou encore le potentiel de sorties dans à peu près n’importe quelle ville du monde. N’hésitez pas à y faire un tour pour voir quel établissement, quel pays vous convient le mieux !

Un peu trop de démarches pour étudier à l'étranger ?

Comment gérer les démarches administratives ?

Chaque établissement a ses propres règles, chaque pays a ses pratiques communes. Vous pouvez chercher à vous débrouiller tout seul ou faire appel à un organisme, qui aura un coût mais vous fera gagner beaucoup de temps et de sérénité.

Certains, comme Europe Santé Formations, se spécialisent dans un domaine en particulier, et dans les pays qui s’y prêtent. Dans ce cas précis, vous allez pouvoir surtout partir en Espagne ou au Portugal, mais dans pas mal d’autres régions aussi. Toutes seront par contre en Europe. D’autres organismes vous aideront pour toutes les filières, mais seulement aux Etats-Unis, par exemple.

Il y a un peu de tout dans les organismes qui vous accompagnent, donc faites bien le tri avant de signer !

Étudier à l'étranger : trouver un bon logement.

Trouver un bon logement

Voulez-vous habiter seul ? Plutôt en colocation, avec des amis, ou avec des inconnus ? Les résidences universitaires sont-elles votre choix de prédilection ? C’est à vous de décidez ce que vous préférez : chacun a ses avantages. Attention au quartier dans lequel vous habitez. Je vous recommande fortement le sympathique Hoodmaps, où vous verrez quels quartiers de la ville qui vous intéresse sont plus peuplés par les étudiants, et quelques mots-clés sur les quartiers principaux de la ville. C’est un outil idéal pour voir facilement où s’installer !

Quand j’étudiais en Chine, j’étais dans une promo à grosse portion de Français. Je n’ai jamais été aussi contente d’en voir, moi qui suis habituellement la première à m’en plaindre ! Rentrer chez moi le soir après une journée avec des étudiants internationaux, et passer la soirée avec ma colocataire française, c’était vraiment un bon équilibre. À vous de voir lequel vous allez préférer.

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Pourquoi apprendre l’anglais en immersion ?

Cet article a été écrit dans le cadre d’un partenariat commercial avec International Projects.

L’immersion, qu’est-ce que c’est ?

Nous avons tous cet ami qui parle parfaitement anglais alors qu’il a eu les mêmes cours que nous, pauvres monolangues en galère.

J’en ai plein. C’est un mec avec des dreadlocks et une grammaire absolument impeccables. C’est une petite brune toute ronde qu’on croit américaine jusqu’à ce qu’elle nous contredise. C’est un Parisien dont l’accent fait pâlir celui de plus d’un doctorant.

Ces gens-là ont une chose en commun. Ils jouent à Super Smash Bros Melee ensemble.

Ils traversent l’Europe en bus low-cost pour aller s’enfermer un week-end et jouer à un jeu vidéo en anglais avec des gens qui parlent une langue qui n’a rien à voir avec la leur. Alors ils communiquent en anglais, et quand le week-end est fini, ils s’entraînent avec des méthodes de travail expliquées en anglais pour avoir le niveau qu’on leur montre sur les vidéos de professionnels. En anglais.

Et c’est d’avoir une vraie raison de s’améliorer, et un vrai cadre de travail de la langue, qui leur a permis de s’améliorer vraiment.

Comment apprendre en immersion ?

C’est exactement ce qu’on va toujours rechercher dans l’immersion :

  • Une raison de s’améliorer
  • Un cadre de qualité

Pour ces gens-là, la raison est de communiquer avec les joueurs des autres pays, le cadre est un week-end à l’étranger avec des gens qui ne parlent pas un mot de français. Pour vous, qu’est-ce que ce sera ?

Vous n’avez pas forcément la possibilité de consacrer des dizaines de week-ends étalés sur plusieurs années à l’apprentissage en immersion de l’anglais. Ça tombe bien, personne ne vous demande de subir ça, ni de dépendre d’un temps aussi long : c’est là que les voyages linguistiques, avec ou sans cours, entrent en jeu.

Les voyages linguistiques pour l’apprentissage en immersion

Pourquoi, pour commencer, prendre des cours d’anglais lors de l’immersion ? Pour l’écrit. Pour la grammaire. Pour le vocabulaire. Pour ne pas seulement apprendre à se débrouiller en paraphrasant ce qu’on ne sait pas dire et en mimant ce qui ne s’énonce pas, ce qui est très bien jusqu’à ce qu’on tente de passer un test d’anglais officiel ou un examen en anglais, ou d’avoir une conversation professionnelle avec un anglophone.

On va donc chercher, quand on prend un voyage en immersion, à se tourner vers des organismes qui proposent l’hébergement en chambre simple (ou avec un non-francophone en tout cas) dans une famille, et des cours ciblés et adaptés à votre niveau, en petit groupe. C’est le cas d’International Projects, qui accueille des étudiants du monde entier et vous forcera à communiquer en anglais avec vos camarades de formation aussi.

Attention à ne pas prendre un programme rempli d’heures de cours : vous êtes en Angleterre, ou dans un pays anglophone en tout cas, soyez un bon touriste et promenez-vous dans les environs, il y a tellement de beaux paysages à découvrir ! Parlez aux gens locaux, et pas seulement aux élèves et professeurs de votre école de langue ou à votre famille d’accueil. Faites un effort pour rencontrer le plus de monde possible, et vous familiariser avec l’accent local aussi.

Et n’oubliez pas, il vous faut :

  • Une vraie motivation pour apprendre
  • Un cadre d’apprentissage de qualité

Un organisme de formation en immersion comme International Projects vous apportera le cadre, mais n’oubliez pas que sans volonté, toutes les heures du monde pourraient y passer et vous ne sauriez toujours pas parler. Trouvez une vraie raison, qui vous tient à coeur, d’apprendre l’anglais. Ensuite, apprenez-le. Dans cet ordre, ou vous perdrez votre temps et votre argent. Si vous avez la motivation nécessaire, alors l’immersion vous sera extrêmement bénéfique.

Bonne chance !

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Quelques conseils pour apprendre l'anglais

Ceci est un article invité d’Enrico, des blogs Anglaisvideo.com et Expression-anglaise.com.

Vous le savez déjà depuis bien longtemps : maîtriser la langue anglaise est un véritable « plus » que ce soit pour voyager à l’étranger ou bien pour travailler. Mais voilà même si vous avez quelques heures de cours d’anglais dans la semaine ça ne suffit clairement pas pour faire de vous un as de l’anglais. Pourtant, vous avez envie de progresser ou peut-être même de commencer à apprendre l’anglais ? Pas de problème : je vous propose aujourd’hui quelques conseils pour apprendre l’anglais.

Trouver la méthode qui vous convient

L’important pour apprendre une langue quelle qu’elle soit est de trouver une méthode et des supports qui vous conviennent. Tous le monde n’a pas la chance ou l’opportunité d’apprendre l’anglais en immersion. Vous savez certainement déjà de par vos études si vous préférez travailler avec des livres ou bien des versions numériques, des vidéos, etc.

Travailler au quotidien

Un deuxième point important pour apprendre une langue est de la travailler régulièrement, au quotidien ! En effet, travailler au quotidien une langue permet d’ancrer plus rapidement certains aspects de la langue (grammaire, conjugaison…) sans forcément vous en rendre compte. Si vous faîtes attention autour de vous je suis sûre que vous avez déjà eu des retours de personnes ayant eu un bon niveau d’anglais à un moment de leur vie qui, au final, n’ayant pas eu l’occasion, le temps ou l’envie de le travailler on perdu petit à petit leur niveau. Faire une phrase en anglais devient alors un véritable parcours du combattant entre la conjugaison du verbe, la structure grammaticale j’en passe et des meilleurs !

Idées et conseils pour apprendre l’anglais

Après ces quelques généralités toujours bonnes à rappeler, je vous propose une petite liste d’idées, conseils pour apprendre l’anglais :

Pour les vrais débutants, je vous conseille tout de même de plonger le nez dans un livre de grammaire pour apprendre les bases : les pronoms personnels en anglais, la structure d’une phrase en anglais… Côté conjugaison, c’est pareil : il vous faudra passer par la case « Verbes irréguliers ». Au début, allez y progressivement avec les verbes irréguliers, ça pourrait vous dégoûter. Faites vous une liste des verbes qui vous semblent les plus utiles par exemple. Dites vous bien que quand on débute l’apprentissage d’une langue on n’apprend pas tout, tout de suite. Faites donc le parallèle avec les enfants en école primaire, on ne leur apprend pas à déclamer du Molière dès les premières semaines !

Si les livres ce n’est pas votre truc et que vous trouvez ça vraiment barbant, n’hésitez pas à vous tourner vers les logiciels d’anglais. Il y en a foison sur internet et même des gratuits qui ne sont pas mal du tout !

Travailler sa compréhension de l’anglais

L’une des premières étapes dans l’apprentissage d’une langue c’est la compréhension de celle ci. On dit d’ailleurs bien souvent que l’on a plus de facilité à comprendre l’anglais qu’à le parler. Voici quelques conseils pour travailler la compréhension :

Pour les amateurs de lecture, rien ne vaut un livre en anglais, que vous pouvez choisir bilingue au début pour être sûr de bien comprendre. Je conseille vraiment la lecture car lire de l’anglais permet de voir les structures anglaises et vous oblige à comprendre l’anglais sans forcément connaître le sens de chaque mot. L’important, ne l’oubliez pas, est de comprendre le sens global !

Vous pouvez aussi lâcher votre livre et vous tourner vers les films et séries TV en version originale. De la même manière, vous pouvez y aller progressivement en commençant par regarder en version anglaise avec des sous-titres en français, passer aux sous-titres en anglais pour ensuite finir par regarder votre série ou film sans sous-titres !

L’étape ultime pour travailler sa compréhension orale reste d’écouter la radio anglaise. Eh oui, car vous n’avez même plus d’images pour vous orienter sur le possible sens de la conversation ! Au réveil avec un bon café branchez vous sur l’une des radios de la BBC !

Travailler son oral

Je ne sais pas si c’est le cas pour vous, mais un point qui revient assez souvent dans la conversation (pour ceux qui souhaitent garder leur niveau d’anglais) c’est le travail de l’oral. En effet, à part quand on vit à l’étranger, il est difficile de travailler sa capacité orale. Et quand bien même des étudiants partent à l’étranger lors d’un échange, d’un ERASMUS, et reviennent avec un niveau nettement supérieur, il suffit souvent de quelques semaines en France pour perdre tous ce qui avait été acquis. Bref, tout ça pour dire que travailler son oral est bon pour tout le monde.

Il n’y a pas trop de secret pour travailler l’oral en anglais : il faut parler ! Pensez donc aux cafés langues (chaque semaine vous vous retrouvez autour d’un thé ou d’un café et discutez en anglais avec des personnes de tout horizon). Si vous n’en trouvez pas dans votre ville pourquoi ne pas passer un « pacte » avec un(e) ami(e) ou votre moitié en décidant de parler en anglais à certains moments de la journée ? N’ayez pas peur du ridicule !:)

J’espère que vous aurez trouvé quelques idées pour vous motiver à travailler votre anglais selon vos besoins et ce en oubliant jamais la notion de plaisir !

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3 astuces pour booster votre score au TOEIC

Cet article a été rédigé par Stéphane du site Reussir-Toeic.com. Sur son blog, Stéphane partage régulièrement des astuces et des conseils pour gagner facilement des points en plus au TOEIC. Stéphane est également le concepteur de la formation  Boostez votre score au TOEIC en 30 jours.

Si vous souhaitez faire acte de candidature pour un programme Master of Science ou pour un programme E.S.C en admission parallèle, il y a une grande chance qu’on vous ait demandé de passer une certification d’anglais.

Le TOEIC, représente la certification d’anglais la plus reconnue dans le monde de l’entreprise et dans cet article je vais vous donner 3 astuces pour augmenter rapidement votre score au TOEIC.

Lisez plus vite 

Un des problèmes régulier dont on me fait part pour  le TOEIC, c’est la gestion du temps. Beaucoup d’étudiants n’arrivent pas à terminer l’examen et du coup perdent une quantité de points importante.

Pourtant, il est possible de gagner du temps de gagner du temps grâce à de nombreuses techniques. Mais l’élément numéro 1 qui fera une réelle différence pour votre TOEIC (pour la section 2), c’est votre vitesse de lecture.

Loin d’être figée, votre vitesse de lecture peut être améliorée grâce à des techniques simples à mettre en place. La technique qui donne les résultats les plus rapides est la technique du pointeur. Cette technique consiste à utiliser un pointeur comme votre doigt ou un stylo pour suivre votre lecture et influencer sa vitesse.

Cette technique peut vous paraitre simple mais ça marcheAnna, une des lectrice de mon blog, a multiplié sa vitesse de lecture par 1,6 juste avec cette simple astuce.

Augmentez votre compréhension de l’anglais oral

L’autre point sur lequel pour devez travailler pour gagner des points au TOEIC c’est la compréhension de l’anglais oral.

Je suppose que vous avez déjà pris le réflexe de regarder vos séries TV et films en anglais. C’est bien, sauf que plusieurs éléments peuvent anéantir vos efforts. Vous ne devez jamais utiliser les sous-titres en français, sinon ça ne vous aidera pas. Vous ne devez pas non plus traduire les mots que vous ne comprenez pas.

Voilà comment regarder une série tv en anglais de manière intelligente : regardez avec les sous titres en anglais, si vous ne comprenez pas un mot, regardez la définition en anglais, puis notez-la dans votre carnet de vocabulaire pour la revoir plus tard. Si vraiment la définition ne vous aide pas, alors vous pouvez traduire le mot.

Pour augmenter votre compréhension il faut également que vous parliez le plus possible à des locuteurs anglophones. Pour ça, allez a un maximum d’événements internationaux et parlez anglais.

Pour parler anglais vous devez arrêter de traduire, il est vital que vous pensiez et lisiez directement sans traduire. Sinon, vous ne progresserez pas.

Entraînez-vous !

Enfin, il est primordial que vous vous entrainiez régulièrement en faisant des tests blancs pour votre TOEIC. Non seulement vous allez continuer à apprendre des nouveaux mots mais les TOEIC blancs vous permettront également de maitriser complètement la structure de l’examen.

Et que va-t-‘il se passer si vous maitrisez la structure de l’examen ? Vous aurez une meilleure gestion de votre temps et vous serez moins stressé. Votre score ne pourra donc qu’augmenter !

Comme vous avez pu le voir, il est facile de gagner des points au TOEIC grâce à quelques astuces simples. Si vous n’aviez a retenir qu’une chose dans cet article c’est ça : le TOEIC est un examen de compréhension et de rapidité, donc pour augmenter votre score, augmentez votre compréhension et votre rapidité !

Et vous allez-vous passer le TOEIC ? Si oui, quels sont les éléments qui vous gênent ? Répondez dans les commentaires ci-dessous.

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L'anglais en ligne avec Angleo

Ceci est un article sponsorisé.

Si vous n’êtes pas très doué en anglais, n’oubliez jamais qu’en travaillant dur, vous vous améliorerez. Nous vous avons déjà donné des conseils pour obtenir des meilleurs résultats en langues vivantes, mais si des méthodes de travail ne vous suffisent pas, la meilleure solution sera de suivre des cours d’anglais.

Vous pouvez trouver des professeurs sur Le Bon Coin (ma méthode préférée, d’ailleurs), mais ils ont généralement un gros défaut : il faut en trouver un compétent près de là où on habite. C’est là qu’intervient Angleo, un site qui propose une solution intéressante à ce problème.

Angleo, c’est un site sur lequel vous pourrez échanger en anglais, que ce soit pour de l’anglais courant, scolaire ou pour de l’anglais des affaires, avec des natifs tout autour du monde. C’est donc l’occasion rêvée d’améliorer votre anglais tout en rencontrant des nouvelles personnes avec qui vous pourrez vous découvrir des tas de points commun, et en forgeant des amitiés qui pourront durer bien au-delà des cours en ligne !

C’est tout de même beaucoup plus intéressant qu’un bête soutien scolaire en anglais, pas vrai ? Vous prenez rendez-vous avec votre professeur pour bien moins cher qu’en vrai, en pantoufles si vous voulez, et vous êtes certain que le professeur saura vous aider à vous améliorer, puisque c’est un anglophone de naissance.