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Améliore tes notes

Le guide complet pour se motiver à travailler

Tu fais peut-être partie des nombreuses personnes qui me demandent comment se motiver à réviser. J’en parle souvent sur les réseaux sociaux, surtout dans mes vidéos Instagram de questions-réponses. Mais je n’ai pas écrit sur ce sujet dans le blog depuis des années ! Alors pour ce 500ème article de Réussir Mes Études, je te propose un guide complet de la motivation. J’espère qu’il va changer ta vie et tes études !

Avant de commencer : la procrastination

Avant tout, j’aimerais te parler de procrastination. Il y a le vrai manque de motivation, celui dont on va parler dans tout le reste de l’article, et il y a la procrastination, qui n’est pas liée à la motivation. La procrastination, c’est plutôt le fait de trouver des excuses inconscientes pour ne pas travailler. Voyons 5 raisons de ne pas travailler qui ne sont pas juste du manque de motivation.

C’est pas urgent / J’ai pas le temps

Tu as un objectif déjà fixé, tu te dis « oh non, je ferai ça demain, c’est pas urgent » ou « ouhlà, j’ai bien assez de choses à faire en ce moment, je m’en occuperai plus tard ». En général, c’est un signe assez clair que tu ne t’y mettras jamais. Si tu retardes l’exécution d’une tâche ne serait-ce qu’une seule fois, ça donne le signal à ton cerveau que c’est bon, tu pourras déplacer cet objectif pour toujours. C’est pour ça qu’il ne faut pas se fixer trop d’objectifs à la fois : si tu décales, tu vas sûrement finir par annuler complètement. Il vaut mieux ne pas te fixer du tout cet objectif et simplement le noter pour plus tard.

Tu vois, l’astuce n’est pas de forcément tout faire tout de suite. C’est de décider rapidement de tes priorités pour ne pas t’engager dans des choses que tu ne feras pas. Si tu te fixes moins de projets, mais que tu les réussis tous, tu crées une dynamique positive. À partir de ça, tu pourras réussir des projets de plus en plus ambitieux.

Je le ferai au dernier moment

Et si au dernier moment tu as un empêchement ? Il vaut mieux se débarrasser de la tâche et de l’anxiété qui y est liée. Au lieu de laisser traîner et de stresser au dernier moment, organise-toi à l’avance. Fixe-toi des dates ou heures limites pour faire le travail correctement, sans stress inutile. La vie est bien assez dure comme ça, ne te donne pas d’obstacles supplémentaires.
Si tu te donnes le temps de t’organiser et de travailler correctement avec un planning clair, ton travail sera aussi meilleur.

Une exception : les choses qui ne servent à rien. Si tu veux faire quelque chose, mais que ce n’est pas très important ni très urgent, fais-le quand tu auras le temps. Si c’est à la dernière minute, tant pis.

Je suis pas à un jour près

Retarder une tâche d’une journée, ça ne change pas grand-chose. Le problème, c’est que quand on se dit « oh, je suis pas à une journée près », on se retrouve rapidement à faire défiler les jours, puis les semaines, puis les mois. Sans rien faire. Si tu fais un tout petit peu de travail maintenant, ça changera tout, finalement. 15 minutes par jour sur une matière, c’est quasiment 2 heures de sauvées pour le week-end.

Il faut que je bloque 4 heures pour le faire

Tu crois vraiment qu’il te faut un gros bloc de temps pour faire ton travail ? Non. Tu peux découper tes tâches en mini-tâches. Par exemple, au lieu de passer l’après-midi sur une dissertation, coupe-la en petites parties. 30 minutes pour le plan, 1 heure pour chaque sous-partie, 1 heure de relecture. Tu auras passé autant de temps à travailler, mais tu auras pu faire des pauses. Tu pourras même, si besoin, étaler ce travail sur quelques jours. De cette façon, tu n’as plus besoin d’attendre le week-end pour travailler. Tu peux réviser en semaine, pendant pas très longtemps, et simplement faire les finitions à la fin de la semaine. C’est autant de temps gagné pour t’amuser ! Et c’est un peu l’idée derrière la méthode Pomodoro.

Donne du sens à tes efforts pour te motiver

Pourquoi est-ce que tu fais ce que tu fais ? Je pense que c’est LA question la plus importante pour réussir. Quand tu manques de motivation, le plus important, c’est de savoir pourquoi tu travailles. Et ça marche à long terme comme à court terme.

À long terme

Il y a plein de raisons de vouloir réviser, en voici quelques-unes :

  • être fier·ère de moi
  • que mes parents soient fiers de moi
  • prouver que je peux y arriver malgré les obstacles
  • avoir mon métier de rêve
  • apporter quelque chose à la société

Je ne vais pas faire une liste plus longue que ça, parce que chaque personne a ses propres objectifs. Mais j’espère que ces exemples t’inspirent !

Ces objectifs sont à très long terme, ce qui veut dire que tu peux y repenser souvent. Ton désir d’avoir ton diplôme ne s’éteindra pas d’un jour à l’autre. Ça veut dire que quand tu galères sur une matière que tu détestes, tu peux te dire : « oui, mais c’est important pour mon objectif à long terme ». Et ça t’aidera à relativiser ce semestre avec une matière d’enfer !

Ça te permet aussi, si nécessaire, de revoir ce que tu fais. Si tu te rends compte que tu n’as aucune motivation à long terme, c’est un signe. Tu devrais peut-être réfléchir à une réorientation pour redonner un sens à ce que tu fais. Donc en plus de te motiver, les objectifs à long terme te permettent de suivre ton état mental et de savoir si ça vaut le coup de continuer.

À court terme

Sur le plus court terme (un semestre, par exemple, ou même juste un devoir), fixe-toi des objectifs clairs mais atteignables. Si tu as toujours 12 de moyenne, vise 13 ou 14, pas 18. Si tu es vers la moyenne de la classe, grimpe un peu, ne vise pas la première place. Tu seras juste déçu·e. Sur le court terme, fais des objectifs pas très ambitieux. D’objectif en objectif, tu pourras monter tout doucement jusqu’à trouver l’étape parfaite. C’est l’étape qui allie le confort (pas de nuits blanches à réviser) et la satisfaction (des notes qui te font plaisir).

La discipline est plus importante que la motivation

Maintenant qu’on a parlé de motivation en général, en donnant du sens à ses études et à ses révisions, j’aimerais qu’on parle de discipline. Parce que oui, la discipline, c’est beaucoup plus important que la motivation. Si tu travailles tous les jours à la même heure, tu vas tout naturellement travailler à la même heure le jour où la motivation sera à zéro. Tu seras évidemment moins efficace, mais tu ne feras pas rien.

Prends les bonnes habitudes

Pour avoir plus de discipline, l’idéal est de prendre l’habitude de travailler sérieusement et sans distractions. Il existe quatre grandes façons de s’entraîner à travailler efficacement. Il vaut mieux toutes les tester, puis choisir celle qui convient le mieux.

  • J’élimine les distractions pour ne pas avoir d’autre choix que de travailler (à moins d’être dans un monastère, ou en confinement, ça va être compliqué)
  • Je dédie une partie de mon temps au travail en profondeur
  • Je fais souvent du travail en profondeur jusqu’à m’habituer
  • Dès que j’ai le temps dans ma journée, je case du travail en profondeur

Dans chacune de ces options, je te conseille de mettre un minuteur (comme ça, tu travailles pendant une durée minimum). Le minuteur ne doit pas être trop long, 20 minutes suffisent. Si tu es « dans la zone » à la fin de ta session et que tu ne fais pas la méthode Pomodoro, tu pourras continuer tranquillement après le timer : les 20 minutes sont un minimum pour te mettre dans le bain et te forcer à travailler pendant une durée acceptable.

Supprime les distractions et crée tes propres contraintes

Mon autre conseil principal est de te libérer de toutes les distractions. J’essaie de travailler sur papier le plus souvent possible (pas de Netflix dans un stylo !). Mon téléphone restait auparavant dans une autre pièce ; maintenant, il est en mode « Ne pas déranger » (c’est-à-dire que je ne reçois aucune notification, pas juste en silencieux !) et avec une application de minuteur qui bloque complètement mon accès à n’importe quelle autre appli. (C’est Forest, si ça t’intéresse). Si tu es sur ordinateur, je te recommande le mode avion (si tu es sur wifi) et, si tu veux vraiment bien faire les choses, l’extension StayFocusd, qui bloque ton accès à tout Internet sauf les sites que tu ajoutes à ta whitelist.

Pour les tâches qui n’ont pas de limite imposée par tes enseignant·es, je te conseille cet article de Jean-Charles sur comment se fixer des deadlines pour être plus efficace.

Trouve les techniques qui te motivent

Maintenant que tu es une personne organisée et disciplinée, et que tu as appris à combattre la procrastination, on peut passer aux choses sérieuses : comment te motiver à travailler ? Eh bien, en trouvant tout simplement les méthodes qui fonctionnent pour toi.

Connais tes limites

La première chose, c’est que tu ne peux pas forcer ton cerveau à dépasser ses limites. Donc trouve tes limites et quelles qu’elles soient, ne dépasse jamais 50 minutes de travail. Fais des pauses régulières et aère ton esprit ! C’est aussi important d’avoir au moins un jour sans révisions dans la semaine (ça peut être un jour où tu as cours) : sors un soir par semaine, par exemple pour faire une rando ou pour voir des ami·es, pour te reposer correctement.

Enfin, d’une matière à l’autre, je te recommande de faire une micro-pause : par exemple, fais deux pompes et va chercher un verre d’eau, juste pour réveiller un peu ton corps. (Bon, je parle d’aller chercher un verre d’eau, mais si tu veux vraiment réussir je te recommande plutôt d’avoir une gourde à portée de main en permanence, de bien t’hydrater, et de profiter de tes micro-pauses pour la remplir. Deux litres d’eau par jour quand on a la bouteille à côté de soi, c’est pas difficile !)

Trouve ce qui marche pour toi

Ensuite, trouve les méthodes qui marchent pour toi. J’adore avoir une to-do liste claire et pouvoir barrer les points un par un. D’autres personnes préféreront une application mobile, d’autres encore veulent que ça ressemble à un jeu. Certaines personnes (j’en fais partie) trouvent leur bonheur en enchaînant les sessions de travail courtes et variées (c’est le principe de la méthode Pomodoro), d’autres préfèrent se concentrer une heure d’affilée et se débarrasser d’un devoir une bonne fois pour toutes. Enfin, il y a des personnes qui apprennent très bien au réveil, d’autres qui préfèrent réviser en soirée. À toi de faire plein de tests jusqu’à trouver la gestion du temps qui te convient le mieux.

Ce n’est pas qu’une question de temps : vois bien les méthodes aussi. Par exemple, est-ce que tu es plutôt une personne qui apprend visuellement ? Alors, les cartes mentales et schémas pourront t’aider. Si tu aimes l’interaction, tu peux tenter la technique du professeur dont parlait Kiélyne dans cet ancien article. Personnellement, je me sens le plus à l’aise avec les révisions par flashcards, c’est-à-dire en enchaînant les textes à trous et questions-réponses.

N’oublie pas de te récompenser pour ton travail, en faisant quelque chose que tu aimes quand tu as atteint ton objectif de révisions de la journée. Par exemple, si tu fais la méthode Pomodoro, tu pourrais profiter de la longue pause (après 3 ou 4 sessions) pour regarder un épisode de série (20 minutes, hein, pas 40 !) et t’y remettre.

Ne gaspille pas tes efforts

Ne te complique pas la tâche

Rends le travail très facile. J’avais lu à une époque que pour se motiver à faire du sport, il vaut mieux avoir ses habits de sport à côté du lit pour les enfiler au réveil sans avoir à faire l’effort de se changer. Ça paraît bête, non ? Un si petit effort… mais quand on peut enlever un effort, aussi petit soit-il, alors il faut l’enlever. De mon côté, je me force à porter mes baskets tant que je n’ai pas fait ma session de sport. Je déteste porter des chaussures à l’intérieur de mon appartement, alors ça me motive à vite m’en débarrasser !

De même, il faut que tu rendes tes révisions faciles. Aie par exemple un beau trieur dans lequel les cours sont très faciles à trouver. Ne te prends pas la tête sur l’esthétique de tes cours : l’essentiel, c’est qu’ils soient complets, et tant pis s’ils sont laids. Ne passe pas plus de temps à faire un planning qu’à le suivre. Apprends à prioriser tes efforts pour envoyer ton temps et ton énergie au bon endroit.

N’apprends pas ce qui ne sert à rien

N’apprends pas des choses qui ne te servent à rien ! Si ton partiel est demain et que tu regardes cet article aujourd’hui, laisse tomber, va plutôt réviser des matières qui te serviront l’année prochaine. La version en une image :

Une matrice montrant qu'en répondant à "est-ce utile" et "est-ce facile", tu sais ce que tu devrais te motiver à apprendre.
Cette matrice t’aide à savoir pour quoi il faut se motiver : est-ce que c’est facile ? Est-ce que c’est utile ?

Oui, il y a des choses à laisser tomber. Tu n’as pas besoin d’avoir la science infuse. Donc encore une fois : envoie l’énergie là où tu en as vraiment besoin, ne la gaspille pas sur du superflu. (Cela dit, n’oublie pas que « utile », ça inclut « agréable ». Si tu trouves quelque chose agréable à apprendre, alors apprends-le même si ça ne fait pas partie de tes matières principales ou que ça n’est pas utile pour tes études !)

Ne sois pas perfectionniste

Est-ce que ce que tu t’apprêtes à travailler sur quelque chose qui va vraiment changer tes résultats scolaires, ton dossier, ou ta vie ? Si ce n’est pas le cas, en général, c’est que ça ne vaut pas la peine que tu y passes beaucoup de temps. Essaie de toujours donner la priorité à ce qui aura un impact important, plutôt que de gâcher ton énergie sur des choses qui ne t’apporteront qu’une petite satisfaction à court terme. C’est facile de vouloir tout faire, mais c’est très important de savoir choisir ce qui compte pour s’y consacrer sérieusement.

Tu as 16/20 au lieu d’avoir 20/20 ? Et alors ? Tu as 10/20 au lieu d’avoir 11/20 ? Au risque de me répéter : et alors ? Dans le premier cas, tu as eu la mention très bien que tu cherchais. Dans le deuxième, tu as obtenu une note suffisante, puisque tu as la moyenne. Viser plus haut, c’est super quand on en a le temps et l’énergie, mais ce n’est jamais nécessaire. Tu peux rendre un devoir acceptable sans qu’il soit parfait.

Connais-tu la loi de Pareto ? C’est une théorie économique qui dit que 20 % de tes efforts sont responsables de 80 % du résultat final. En d’autres mots, tu pourrais fournir seulement 20 % de ton travail maximal pour avoir 80 % de ta note maximale. Et en général, c’est un bon calcul pour pouvoir équilibrer toutes tes matières et trouver la motivation, parce que tu as réussi à éviter le burn-out. Ça t’aide aussi à éviter l’abandon. Avoir pour objectif de t’en sortir à peu près, ça garantit que tu ne vas pas abandonner brusquement parce que tu n’as pas atteint un objectif impossible. Tu vas donc pouvoir te motiver sur des buts à plus long terme.

Rends ton environnement propice à la révision

Partage tes objectifs avec d’autres personnes pour mieux réussir. Quand je préparais mes concours d’admission parallèle en école de commerce, j’ai rejoint un forum où je me suis fait beaucoup d’amis qui avaient le même objectif que moi. Nous partagions nos réussites, nos échecs, et tous nos conseils. J’ai appris énormément de choses grâce à ces personnes, et c’est ensemble que beaucoup d’entre nous avons intégré les écoles de nos rêves.

Si je n’avais pas eu ces amis avec qui partager mes objectifs, je pense sincèrement que je ne serais pas allée à l’emlyon. J’aurais raté mes concours et déprimé chez moi à jamais. Entoure-toi des bonnes personnes, et partage tes objectifs avec elles. Avec les groupes Facebook et les sites Internet dédiés à toutes sortes d’orientations, ça devrait être facile !

Tire profit de l’échec

Tu as raté quelque chose qui te tenait à cœur ? Souvent, c’est l’occasion d’abandonner et de perdre toute motivation pour la suite. Je comprends. Mais tu peux aussi rebondir sur l’échec et l’utiliser pour mieux réussir par la suite.

Si tu as échoué, prends rapidement du recul pour en tirer des leçons positives. Ne te focalise pas sur le négatif, surtout à court terme : valorise-toi. Sans rejeter la faute sur d’autres, regarde ce que ton échec t’a permis d’apprendre, et ce que tu vas pouvoir utliser la prochaine fois pour mieux réussir, ou les compétences que tu as su mobiliser pour sauver les meubles (ou pour annoncer un semestre raté à tes parents – ça demande du courage et des talents oratoires !).

Une fois que tu as tiré le positif, et que tu as réussi à garder une image positive de toi-même et vu un potentiel pour la prochaine fois, tu peux te permettre de te remettre en question. Pourquoi as-tu échoué ? Peut-être que tu n’as pas eu la bonne organisation. Mais parfois, c’est que tes objectifs à long terme ne sont pas compatibles avec l’objectif que tu avais fixé. Donc repose-toi, et réfléchis tranquillement à ces questions, jusqu’à arriver à une réponse satisfaisante. Et agis en conséquence, pour ne plus rencontrer le même échec.

Voici donc mes conseils. J’aimerais finir en ajoutant : ne culpabilise pas de ne pas avoir de motivation. Si tu as des bons objectifs et une bonne discipline, alors quand tu n’es pas en forme c’est pour une bonne raison. Repose-toi et reprends gentiment quand tu te sentiras mieux. N’hésite pas à partager tes propres conseils dans les commentaires et à reposter cet article sur les réseaux sociaux s’il t’a été utile !

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Trouve l'équilibre

Introduction à la vie d’étudiant

Vous allez apprendre beaucoup de choses à la fac ; la quantité d’informations qu’on vous fera ingurgiter sera assez impressionnante et, avouons-le, il y aura aussi pas mal de notions inutiles que vous n’utiliserez plus jamais dans tout ça. Ou alors, ça sera pour avoir l’air intelligent en soirée et ça, c’est une très mauvaise idée, parce que ça se voit que vous avez poussé la discussion jusqu’à pouvoir caser cette petite connaissance (et là, ça donne l’impression que vous ne savez rien d’autre, surtout si vous l’avez déjà racontée et que vous l’avez oublié entre-temps), et parce que c’est beaucoup moins intéressant que ce que vous pensiez.

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Motivation Trouve l'équilibre

6 astuces pour terminer ce que vous commencez

Les bonnes intentions, c’est bien joli mais ça ne mène pas loin. A la première difficulté, vous avez tendance à abandonner ? Voici six astuces qui vous permettront de terminer ce que vous  commencez.

  1. Utilisez des blocs de temps. Ne faites pas durer vos tâches, donnez-vous une limite de temps : ça peut être dix minutes ou trois heures, du moment que vous ne vous déconcentrez pas. N’hésitez pas à utiliser la technique Pomodoro, dont j’ai déjà parlé dans un article précédent du blog.
  2. Prenez du plaisir. On vous l’a probablement déjà dit des milliers de fois, mais ça ne fera pas de mal de le répéter une fois de plus : arrêtez de tout considérer comme une corvée et amusez-vous lorsque vous travaillez ! Débrouillez-vous pour faire des (mauvais) jeux de mots sur des phrases à apprendre, pour dessiner vos schémas de toutes les couleurs, pour garder en tête votre objectif extraordinaire quand vous travaillez sur une planification particulièrement fastidieuse… C’est drôle comme on ne remet jamais le plaisir à demain !
  3. Retrouvez la motivation des premiers jours. Vous aviez une raison de faire tout cela. Repensez-y, et souvenez-vous d’à quel point vous voulez atteindre cet objectif. C’est peut-être désagréable de faire cette tâche en particulier, mais le résultat vous rendra particulièrement satisfait. Alors, essayez de plus penser à cette satisfaction qu’à la corvée que vous effectuez à présent.
  4. Changez vos attentes. Cela aurait peut-être dû durer moins longtemps. Ou alors, vous croyiez que c’était très facile, et vous vous retrouvez en train de fatiguer dessus. Dans tous les cas, n’abandonnez pas. Mettez simplement vos plans à jour, et reprenez de plus belle. Ne vous laissez pas décourager par un léger retard, ou par un obstacle qui peut être surmonté avec quelques efforts : travaillez juste plus.
  5. Faites une chose à la fois. Ce n’est pas en commençant vingt-cinq projets que vous réussirez à tous les terminer. Concentrez-vous sur trois projets au maximum, et tout ira bien mieux. Travaillez sur un seul point (pas forcément le plus urgent, mais le plus important), et allez jusqu’au bout d’une tâche avant de passer à la suivante.
  6. Soyez persévérant. Ne vous laissez pas abattre – vous pouvez perdre une bataille sans perdre la guerre. Forcez-vous à travailler un certain temps sur cette tâche, chaque jour. Le plus difficile, c’est de commencer : une fois que vous avez décidé de vous y mettre, vous n’arrêterez plus. Il suffit de ce premier effort. Soyez régulier et travaillez jusqu’à avoir complètement terminé.

Et enfin, n’oubliez pas de vous demander si c’est vraiment nécessaire : parfois, il faut s’accorder la permission de ne pas terminer ce que vous faites. Concentrez-vous sur le plus important.

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Moins occupé, plus productif

J’ai pas le temps. Je suis trop occupé. Combien de fois entendez-vous ces deux petites phrases chaque jour ? Beaucoup trop, en tout cas. Et honnêtement, vous n’atteignez jamais des résultats exceptionnels quand c’est vous qui les dites, ces phrases. Alors arrêtez d’être occupé et soyez productif, pour accomplir plus de choses, obtenir des résultats tangibles et avoir le temps de vous divertir !

Peut-être faudrait-il faire une liste des choses que vous devez absolument faire aujourd’hui. Et le mot important de cette phrase, c’est absolument. Le problème de ce genre de liste, c’est qu’elle ne finit jamais si on ne sélectionne pas clairement ce qui est vraiment essentiel – on peut ajouter des tâches à la pelle et finir par avoir passé tellement de temps à établir cette liste qu’on n’en effectue même pas une. Vous l’aurez compris, ce n’est pas la bonne solution. Vous ne devriez jamais devoir dépasser 8 points, et encore, si vous dépassez cinq, vérifiez que c’est vraiment nécessaire. La liste ne devrait pas comprendre des choses que tout le monde fait (faire les courses, aller en cours..), mais des points spécifiques qui vous rapprochent de votre objectif : lire un chapitre d’un manuel, établir un plan pour votre prochain exposé, écrire un texte de 500 mots dans une langue étrangère que vous étudiez..

Apprenez à ne faire qu’une seule chose à la fois : oui, être multi-tâche, c’est un talent. Mais n’en abusez pas ! Quand on y pense, le multitasking, c’est très pratique quand on sait se brosser les dents pendant qu’on lit le journal, ça fait gagner du temps. Par contre, pour des actions qui demandent de la compréhension et de la réflexion, il vaut mieux faire une seule chose à la fois. Quand vous faites quelque chose, ne faites rien d’autre en même temps. Si vous pensez à autre chose, notez-le sur un post-it et efforcez-vous de ne plus y penser jusqu’à la fin de votre activité. Ensuite, vous reprendrez le post-it et réfléchirez à vos idées, mais pas pendant que vous vous concentrez sur une action précise.

Enfin, vous pouvez tenir un journal de productivité. Ça semble être du travail supplémentaire, et ça l’est – ou du moins, ça le sera, jusqu’à ce que vous en aviez l’habitude, et c’est un outil très efficace. Alors, que devriez-vous écrire dans votre journal ? Premièrement, listez vos objectifs : ceux de votre vie ou seulement de votre année, peu importe, mais il vous faut des objectifs à long terme. Ensuite, chaque matin, inscrivez votre liste de choses qui doivent absolument être faites. Racontez comment ça s’est passé : avez-vous tout fini ? Comment vous sentiez-vous en travaillant ? Était-ce une corvée, ou était-ce plutôt agréable ? Cherchez des tendances : des moments de la journée durant lesquels vous vous sentez plus productifs, la compagnie de certaines personnes qui peut être bénéfique ou négative.. Finalement, vous saurez exactement comment vous fonctionnez. Et vous n’aurez plus besoin de conseils généraux, car vous saurez exactement ce qu’il vous faut faire ou éviter.

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Définis ton avenir

Devenez un expert.

Les vacances sont là, ou elles arrivent bientôt, selon les études que vous suivez. Vous allez peut-être rester sur l’ordinateur, ou bronzer, ou dormir et manger. Je vous propose quelque chose de bien plus intéressant : choisir un domaine d’expertise et vous entraîner tout l’été pour en profiter pleinement l’année prochaine ! Voici quelques exemples de spécialités que vous pourriez développer.

  • Maîtriser un sport : Vous suivez un sport à moitié, il vous plaît bien, mais c’est tout ? Allez, trouvez un club, initiez-vous à la pratique du sport, videz votre bibliothèque et trouvez tous les bons sites Internet qui traitent de ce sujet. Apprenez toutes les règles et la biographie des grands joueurs, vous verrez, vous pourrez épater tout le monde bientôt au lieu d’être un fan à moitié impliqué, sans grand intérêt, et ce pour le reste de vos jours !
  • Apprendre le cinéma : choisissez un réalisateur, ou un genre, ou une année, ou un acteur, et regardez tout ce qui s’y rapportent. J’ai dit regardez, pas « cherchez un résumé en 3 lignes sur Wikipédia ». Après l’avoir vu, lisez sa page IMDB et instruisez-vous. Si vous faites cela régulièrement, votre futur de critique de film sera avéré !
  • Les cocktails : ah, les cocktails, un grand classique. Ca impressionne les amis et les demoiselles, ça vous permet de décrocher un boulot, ça vous assure d’être invité à toutes les soirées – et c’est quand même plus classe de dire « je suis barman » plutôt que de dire « j’aime beaucoup l’alcool », pas vrai ?
  • Lancez-vous dans les arts : attaquez un grand projet. Une nouvelle, une pièce de théâtre, un court-métrage amateur, un album de rap. Même si c’est mauvais, ce n’est pas grave – vous faites ça pour vous. Mais si c’est réussi, pensez à nous en faire profiter dans les commentaires !  Vous aurez appris beaucoup de choses sur vos talents, sur vous-même, sur cet art en particulier, et en plus, si vous avez mené le projet jusqu’au bout, c’est un avantage non négligeable et unique sur un CV.
  • Rattrapez votre retard. Parfois, mieux vaut ôter les obstacles plutôt que d’avancer dans la mauvaise direction. Alors reprenez vos vieux livres de français et téléchargez des dictées pour une orthographe parfaite à la rentrée, ou lisez tous ces livres qu’on vous a conseillés et que vous n’avez jamais trouvé le temps ou l’envie de lire, ou reprenez enfin le sport, ou trouvez un boulot pour pouvoir vous permettre d’apprendre en dehors des cours sans vous retrouver à la rue.

Donnez-vous trois objectifs pour cet été, et écrivez-les dans les commentaires : tout l’été, nous pourrons partager nos progrès dans ces trois objectifs, au fur et à mesure des commentaires. N’oubliez pas d’encourager les personnes dont les objectifs vous paraissent intéressants !

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Définis ton avenir Motivation

Le panneau de la motivation

Eh oui, après le cahier du bonheur, nous voyons aujourd’hui comment vous pouvez construire votre propre panneau de la motivation. Je n’ai jamais été très douée pour donner des noms à mes techniques, mais je peux vous assurer qu’elles fonctionnent très bien quand même !

Le panneau de la motivation vous permettra d’avoir toujours sous les yeux les images et textes qui vous motivent le plus, toujours personnalisables, et de ne pas perdre de vue vos objectifs. Sur votre panneau (traditionnellement en liège, mais que vous pouvez également fabriquer en polystyrène, ou acheter si vous souhaitez un tableau blanc magnétique), vous commencerez donc par écrire en gros votre objectif et placer cet objectif bien au centre, très visible. Il doit être mis en valeur : écrivez d’une couleur vive sur un tableau blanc, ou sur un morceau de carton coloré.

Imprimez ensuite des images, des citations, des textes correspondant à votre objectif. Par exemple, si vous voulez réussir le bac, placez des informations sur les études que vous voudriez suivre ensuite, des personnalités que vous admirez particulièrement pour leur intelligence…

Voilà, votre panneau de la motivation est presque prêt. Maintenant, il suffit de l’accrocher à un endroit où vous le voyez souvent (si vous ne voulez pas en faire profiter toute votre famille, vous pouvez l’accrocher au fond de votre penderie, ça marche bien !) et d’y penser un moment à chaque fois que vous le regardez. Voyez les photos, souvenez-vous des citations, et gardez votre objectif à l’esprit pendant la journée.

Avez-vous construit un panneau de motivation ? N’hésitez pas à partager vos conseils et remarques dans les commentaires ci-dessous ! 

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Améliore tes notes Orientation

Quand on y prend du plaisir…

Plutôt que d’apprendre à bien prendre des notes en cours, à se concentrer lors d’un examen ou à se relire correctement pour grapiller quelques points, pourquoi n’essaierions-pas de nous intéresser à nos cours pour avoir des biens meilleurs résultats ?

Quand quelque chose nous intéresse, on n’éprouve aucune réticence à le travailler, à l’étudier au maximum. Par contre, quand on déteste une matière, ce n’est même pas la peine d’ouvrir votre livre de cours : vous ne retiendrez rien ! L’astuce est donc de savoir apprécier un cours au maximum.

Pour cela, il existe plusieurs techniques :

  • Si la matière vous intéressait déjà avant, et que vous appréciez votre professeur, c’est parfait, continuez comme ça.
  • Si la matière vous intéresse, mais que vous détestez votre professeur, trouvez-en un autre ! A l’université, on accepte généralement les changements de groupe. Si ce n’est pas envisageable, peut-être pouvez-vous simplement travailler seul ou avec une personne qui pourrait remplacer votre professeur et avec qui vous vous entendrez beaucoup mieux : c’est d’ailleurs le principe des cours particuliers. Cette astuce est également adaptée si vous aimez la matière, mais que vous regrettez de ne pas pouvoir participer plus ; dans un cours de un à un, vous pourrez parler autant que vous le souhaiterez, poser toutes les questions qui vous passent par la tête sans être jugé par les autres élèves… Bref, votre matière deviendra immédiatement plus agréable à étudier !
  • Si vous aimez bien votre professeur, mais que la matière n’a aucun intérêt pour vous, dites-vous que vous intéresser pour la matière n’est pas un effort à faire pour vous, mais bien pour votre professeur qui aimerait probablement beaucoup que quelques élèves l’écoutent. Essayez de le rendre fier de vous en répondant à ses questions, en préparant vos cours à l’avance et en les apprenant au cours du semestre, et en obtenant une excellente note à l’examen, et vous verrez, avec tous vos efforts pour lui faire plaisir, vous finirez par être tout aussi heureux que lui quand vous aurez obtenu une bonne note dans sa matière !
  • Si vous détestez à la fois la matière et votre professeur, trouvez un moyen différent de vous intéresser à vos cours. Changez de point de vue, apprenez à mettre en application ses exemples dans des cas plus pratiques, trouvez un autre professeur pour voir si la matière vous répugne un peu moins, prenez des cours particuliers… Quand je vous dis d’aimer une matière, ça peut aussi être une volonté de revanche. Si vous détestez votre professeur et qu’il le vous rend bien, imaginez sa tête quand il devra vous mettre un 18 à l’examen parce que vous avez très bien travaillé chez vous ! C’est un peu machiavélique, mais ça vous motivera aussi très bien pour travailler. N’hésitez pas non plus à étudier quelque chose de périphérique : si vous n’aimez pas l’histoire, pourquoi ne pas commencer par regarder un film sur cette période, ou lire un livre, ou vous intéresser à l’histoire de l’art de cette époque ? Intrigué, vous aurez probablement plus envie de vous y intéresser qu’en apprenant simplement les cours qu’on vous a dictés en amphi.

Je vous invite à partager cet article sur les réseaux sociaux de votre choix, et n’hésitez pas non plus à laisser un petit commentaire pour nous raconter votre expérience avec un cours que vous avez appris à aimer, ou une cause qui vous semble désespérée et pour laquelle l’aide de la communauté Réussir Mes Études pourrait vous être utile !

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Définis ton avenir Motivation

À la chasse aux trolls

Ceux qu’on appelle sur Internet les trolls, toutes ces personnes qui critiquent la moindre de vos actions et prennent le temps de vous « prouver » que vous n’arriverez pas à atteindre vos objectifs, sont une plaie. Il y en a pourtant partout : amis, professeurs, parents… Il faut apprendre à les affronter, sinon, vous n’arriverez effectivement jamais à atteindre vos objectifs.

Protégez vos objectifs

C’est-à-dire que vous n’êtes pas obligé de révéler votre grand rêve à vos amis, surtout si vous savez qu’ils s’y opposeront. Vous n’êtes pas obligé de présenter votre nouveau petit ami tatoué à vos parents. Ne parlez pas de votre passion pour la littérature russe à votre voisin dans le bus. Faites attention aux personnes à qui vous décidez de faire partager vos rêves et vos objectifs.

N’écoutez pas

Chaque seconde que vous passez à écouter ces pessimistes, c’est une seconde de gâchée, que vous auriez pu mettre à profit pour effectuer quelque chose de positif. Vos objectifs n’appartiennent qu’à vous et personne n’a le droit de vous forcer à les modifier.

Éjectez le troll de votre vie

Évidemment, ce n’est pas toujours possible, mais si vous le pouvez, n’approchez plus ce pessimiste. Vous êtes vos fréquentations : rapprochez-vous de personnes heureuses, accomplies, des modèles pour vous. Evitez les pessimistes !

Ne faites pas confiance

Demandez-vous si la personne qui est en train de critiquer vos objectifs a atteint les siens, si elle est une personne accomplie à qui vous aimeriez ressembler. Vous vous rendrez compte que c’est rarement le cas, car en général ceux qui mettent autant d’application à démanteler les objectifs d’autrui sont vraiment aigris ! Et dans ce cas, pourquoi les écouteriez-vous ? Ils ne sont pas un modèle pour vous.

Ne discutez pas

Ne perdez pas de temps à démarrer un débat, c’est peine perdue et ça tournera rapidement au dialogue de sourds. Contentez-vous de quelques « hmm » et « ok », et le troll se lassera assez rapidement. Essayez de changer de sujet, pensez à quelque chose de plus constructifs en essayant de ne pas faire attention à cette personne qui remue les lèvres devant vous.

Vous n’êtes pas seul

Construisez une communauté d’amis aussi optimistes et déterminés que vous, ou rejoignez-en (par exemple, des forums de développement personnel).

Ces six conseils devraient vous aider à ne pas perdre de vue vos objectifs et à ne jamais oublier que la seule personne qui puisse décider de vos buts, c’est vous !

Etes-vous entouré de pessimistes ? Comment faites-vous pour combattre leur influence négative ? Etes-vous vous-même un pessimiste ? Je serais heureuse de discuter avec vous via les commentaires du site ! Un petit partage sur les réseaux sociaux pourra peut-être également provoquer une prise de conscience de la part de quelques pessimistes de votre entourage : essayez donc !

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Définis ton avenir Motivation

Fixez-vous des objectifs

Quand on ne sait pas où on va, on ne peut pas aller bien loin. Voilà quelque chose que vous devriez toujours garder à l’esprit. Et avec cette méthode, vous pourrez toujours avoir vos objectifs précis en tête, pour les atteindre bien plus facilement.

Établissez toujours des buts, en nombre limité (pas plus de 5), pour plusieurs périodes :

Objectifs de la journée

Ils sont à fixer chaque matin. Ce n’est pas une liste de choses à faire, mais bien d’objectifs finaux pouvant être décomposés en tâches simples. ex.: ne pas dépasser X calories, faire X temps de sport, connaître mon chapitre 1 de droit par cœur.

Objectifs de la semaine

Ils peuvent avoir un rapport avec vos objectifs de la journée, ou non. ex.: boire 1L d’eau par jour, réussir ma présentation de philosophie…

Objectifs du mois

Ici, vous pouvez vous permettre d’être moins spécifique. ex.: peser moins de X kilos, réussir ma pièce de théâtre, commencer un nouveau sport. Ces objectifs peuvent inclure plusieurs objectifs de semaine ou journée, pour le dernier exemple, il comprendra entre autres obtenir un certificat médical, choisir le sport que je souhaite pratiquer, aménager mon emploi du temps pour qu’il soit compatible avec les entraînements..

Objectifs de l’année

Fixez vos grands objectifs pour l’an prochain. N’ayez pas peur d’être ambitieux, mais n’oubliez pas la différence entre des buts ambitieux et irréalisables ! ex.: valider mon année scolaire, m’inscrire pour un semestre à l’étranger…

Objectifs de votre vie

Ceux-ci sont les plus complexes, car vos objectifs de vie évoluent énormément au cours du temps, mais il faut que ceux que vous choisissez soient stables pour que vous puissiez toujours les garder en tête.

Avec ces objectifs écrits quelque part sur votre bureau pour que vous puissiez toujours les avoir sous les yeux, vous saurez ce qu’il faut suivre, ce qu’il faut que vous fassiez.

Quels sont vos propres objectifs ? Ecrivez-les dans les commentaires et toute la communauté pourra en discuter avec vous et vous encourager ou vous aider dans la poursuite de vos objectifs ! Et n’oubliez pas, un petit partage sur les réseaux sociaux serait très apprécié !

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Trouve l'équilibre

N’ayez plus peur d’échouer !

Nous avons tous peur de l’échec. C’est humain, aucun de nous ne croit vraiment à la maxime « ce qui ne me tue pas me rend plus fort ». Mais cela peut être handicapant quand on décide de se lancer dans une nouvelle filière d’études, de changer de vie… Alors, comment réagir ?

Tout d’abord, il faut que vous sachiez vraiment ce que vous voulez. Moins vous êtes sûr de vous, plus les chances d’échouer sont élevées, alors ne perdez jamais de vue la motivation que vous avez pour effectuer ce changement.

Quand vous avez peur de l’échec, c’est que vous êtes attaché à ce que vous avez déjà, que vous préférez cela à une prise de risques trop importantes, et c’est cela qui bloque bien des gens sur le point d’effectuer un changement qui pourrait transformer leur vie. Mais cette peur est illogique si vous gardez à l’esprit que ce qui vous attend est forcément meilleur : vous avez un but précis, vous ne pouvez pas échouer.

Vous devriez réfléchir à tout ce qui vous échappera si vous n’effectuez pas ce changement plutôt qu’à ce que vous risquez en le faisant. Aurez-vous un salaire plus bas que ce que vous pourriez viser en créant votre entreprise ? Prendrez-vous moins de plaisir dans les études que vous faites actuellement ? Voyez tout ce que vous pourriez perdre en continuant dans la voie où vous êtes à présent. Ce serait dommage de rater tout cela, simplement parce que vous avez peur d’un potentiel échec, n’est-ce pas ?

Pensez également à tout ce que ce changement pourrait vous apporter de positif. C’est bien plus important que les échecs que vous risquez, n’est-ce pas ? Si ça ne l’est pas, alors vous pouvez effectivement vous poser des questions sur cette décision. Mais si on vous propose de grandes réussites pour un certain risque, sautez sur l’occasion, et convainquez-vous que même le risque pourra vous aider à vous améliorer par la suite : qui ne tente rien n’a rien.

Cet article vous a-t-il été utile ? Avez-vous déjà pris un risque important, et essuyé un échec, ou réussi ce que vous vouliez faire ? Racontez-nous vos expériences dans les commentaires ! N’hésitez pas non plus à partager cet article sur les plateformes sociales !