Dans la vidéo d’aujourd’hui, Laura lance sur sa chaîne Laura’s Advice une série de 10 conseils pour prendre confiance en soi. Ne ratez pas ses excellents conseils qui sortiront toute la semaine, et n’oubliez pas non plus de faire un tour sur sa chaîne : elle a fait 3 FAQ sur la première année de médecine, en particulier, qui pourraient intéresser un certain nombre d’entre vous !
Catégorie : Vie étudiante
4 conseils pour rester motivé
Bonjour, je m’appelle Mathias et je suis l’auteur du blog « Esprit du succès« , blog dans lequel je partage mon chemin et les outils que j’applique pendant que je m’applique à réaliser mes rêves. Dans cet article, je vais partager avec vous 4 clés pour être motivé en toute circonstance, que ce soit pour étudier, travailler, atteindre un objectif, etc.
1. Fixez-vous des objectifs à long-terme voire à très long terme
Pourquoi se fixer des objectifs ? Imaginez que vous allez à un stand de tir à l’arc parce que vous avez envie d’essayer. Vous prenez votre arc, votre flèche et vous vous apprêtez à tirer, seulement, vous remarquez qu’il n’y a pas de cible ! Vous regardez le gars qui tient ce stand et vous lui demandez où vous devez viser car il n’y a pas de cible et il vous dit : « N’importe où ». Du coup, vous allez choisir une cible au hasard et votre flèche va se retrouver quelque part mais vous ne savez pas très bien où. Alors que s’il y avait une cible devant vous, vous auriez su dans quelle direction tirer.
Dans la vie, c’est la même chose. Si vous ne savez pas dans quelle direction vous voulez aller et quel genre de vie vous voulez mener, vous aurez une vie aléatoire, peut-être pas celle que vous auriez voulu avoir. Tandis que si vous savez exactement quelle genre de vie vous voulez avoir, vous saurez ce que vous devrez faire pour y arriver, c’est plus simple.
Une étude en Amérique a comparé les étudiants qui se fixent des objectifs et les autres. Ils ont remarqué que des années plus tard, ceux qui s’en fixaient avaient eu de meilleurs résultats, un meilleur salaire, et une vie plus heureuse.
Fixez-vous des objectifs à long-terme, sur 10, 15, 20 voire 30 ans. Ecrivez-les sur un papier ou dans un document word : ce sera plus clair, vous pourrez prendre du recul sur ce que vous avez écrit et vous pourrez relire vos objectifs après et les modifier si nécessaire. Peut-être que ça peut vous sembler inutile étant donné qu’on ne peut pas prévoir ce qui se passera dans le futur mais écrivez le futur que vous voulez avoir sous tous les aspects possible : professionnel, personnel, social, sentimental, etc.
C’est important d’écrire des choses qui vous parlent, qui vous excitent et qui viennent de vos tripes. Si ce n’est pas le cas, changez ce que j’appelle votre vision. Si ça ne provoque rien d’exaltant en vous, ça ne servira à rien.
Quel est le rapport avec la motivation ? En ayant en tête la vision du futur que vous souhaitez avoir, vous serez plus motivé à travailler pour atteindre ses objectifs.
Imaginons que vous faites des études pour devenir médecin, vous pouvez vous imaginer en train d’avoir une carrière internationale, d’avoir aidé et sauvé la vie de milliers de personnes, de faire des recherches pour trouver un remède pour certaines maladies et d’avoir réussi. Si vous avez ça en tête et que c’est quelque chose qui vous parle et qui vous excite, la motivation que vous aurez pour finir vos études sera décuplée. C’est plus excitant, vous ne trouvez pas ?
Ayez cette vision en tête tous les jours, imaginez-la en vous levant le matin ou en allant vous coucher par exemple.
2. La différence entre quelqu’un qui est motivé et quelqu’un qui ne l’est pas
Maintenant que vous avez fixé vos objectifs. Si vous ne l’avez pas fait, je vous invite à le faire mais je sais que seulement 3% des étudiants le font donc si vous voulez avoir le même taux de réussite que la majorité des étudiants (20% en Belgique pour la 1ère année, en France je ne sais pas), ne faites pas cet exercice.
Il y a une petite différence entre les gens motivés et ceux qui ne le sont pas.
Les personnes motivées savent pourquoi elles étudient, travaillent sur leurs objectifs, font du sport, etc. Par exemple, je vais au sport avec deux amis. L’un va de temps en temps et n’est pas très régulier tandis que l’autre fait une dizaine d’heure chaque semaine et n’a jamais raté une seule séance. Le premier n’a pas de raison particulière d’y aller. Il veut perdre un peu de poids mais sans plus, ce n’est pas très important pour lui. Le deuxième a un idéal à atteindre, il veut se prouver à lui-même qu’il est capable de le faire, qu’il est régulier et qu’il s’implique.
Les deux ont des raisons différentes de faire du sport, ce qui joue sur la motivation.
Par exemple, les raisons d’étudier vos cours peuvent être :
- Pour être fier de moi
- Pour que mes parents soient fier de moi
- Pour me prouver à moi-même que je peux y arriver
- Pour réussir mes études et avoir un bon job plus tard
- Parce que si je rate, je ne saurai pas quoi faire et je serai au chômage si je n’ai pas de job
- Parce que grâce à cette réussite, je pourrai avoir la vie dont je rêve
Voilà, il y a une multitude de raisons que vous pouvez trouver pour être plus motivé.
3. Changez votre état d’esprit et votre conversation interne
La façon dont vous vous parler à vous-même, votre conversation interne influence la façon dont vous vous sentez, votre vie, votre attitude et votre comportement.
Si vous vous dites constamment que vous êtes un bon à rien dans votre tête, votre cerveau va trouver des éléments pour confirmer ce que vous dites. Donc, il va vous ressortir toutes ces fois où vous avez échouez et où vous étiez nul. A partir de ça, vous allez construire une croyance. Vous allez donc croire que vous êtes un bon à rien.
Quand vous croyez vraiment au fond de vos tripes que vous êtes un bon à rien, que se passe-t-il ?
Vous allez peu agir et peu vous impliquer dans ce que vous faites car de toute façon vous pensez que vous êtes nul. Donc, vous aurez des résultats à la hauteur de vos croyances, nuls. Et parce que vous avez des résultats qui sont nuls, ce seront des nouvelles références qui vont renforcer cette idée que vous avez de vous même.
C’est un cercle vicieux. Maintenant, on peut créer un cercle vertueux. Comment ?
Tu te répètes avec conviction que tu peux le faire, que tu réussis la plupart des choses que tu entreprends, que tu es le meilleur. Souviens toi de toutes ces fois où tu as été bon et où tu as réussi.
Quand tu le croiras vraiment, tu va t’impliquer et agir pour y arriver. Tu auras donc plus de résultats à la hauteur de tes attentes et donc tu va renforcer ta croyance que tu réussis bien. CQFD
Choisissez d’être quelqu’un de motivé et qui s’implique à 100% dans tout ce qu’elle fait.
C’est important de le faire régulièrement car ça ne fonctionne pas en le faisant pendant 30 secondes évidemment. Ca vous a pris du temps pour construire la façon dont vous vous parler à vous-même donc ça prendra du temps pour changer.
4. Croyez que vous pouvez le faire !
C’est aussi un élément important pour être motivé. Vous devez vous persuader que ce que vous voulez accomplir est possible !
Comment pouvez-vous faire ? Lisez des biographies de personnes qui ont réalisées de grandes choses, rencontrez des gens qui ont réalisé ce que vous voulez faire. Essayez d’avoir des modèles extérieurs de réussite. Vous aurez donc l’habitude de penser que si eux l’ont fait, vous pouvez le faire. D’ailleurs j’ai écrit un article sur les 4 raisons de lire la biographie d’une personne inspirante.
Un autre outil est aussi de vous visualiser tous les jours en train d’atteindre vos objectifs. Le système nerveux ne fait pas la différence entre ce qui est réel et ce que vous imaginez. C’est pour cette raison que beaucoup de sportifs se visualisent en train de gagner et de battre leur record. Faites-le TOUS LES JOURS ! Prenez 30 minutes par jour à visualiser la vie que vous voulez avoir avec précision. Vous pouvez vous visualiser en train d’avoir votre diplôme en main et recevoir les félicitations de vos professeurs par exemple.
Ca va beaucoup vous aider mais tout seul, ça ne fera pas en sorte que vous allez réussir. Il faut aussi travailler pour ça.
Il ne me reste plus qu’une chose à vous dire : Essayez et vous verrez.
Vous pouvez douter que ça fonctionne mais essayez et vous verrez ce que ça changera dans votre motivation. Personnellement, ces outils ont eu un grand impact dans ma vie et maintenant, et les gens me considèrent comme quelqu’un de très motivé au quotidien alors qu’il y a encore 5 ans, je ne l’étais PAS DU TOUT.
J’espère que ceci vous aidera :)2
Aujourd’hui, penchons-nous sur un essentiel de la gestion du temps, la matrice d’Eisenhower. J’en ai déjà parlé rapidement sur le blog, mais n’ai jamais vraiment développé le sujet : c’est l’occasion de le faire !
Si vous vous sentez débordé par ce que vous avez à faire, ou si vous voulez simplement un système d’organisation à toute épreuve, il y a des techniques faites pour vous. Et heureusement, sinon Réussir Mes Etudes ne serait pas allé bien loin. Parlons donc aujourd’hui de la matrice d’Eisenhower.
« Ce qui est important est rarement urgent et ce qui est urgent est rarement important. » – Dwight D. Eisenhower
Je ne mets pas la citation là pour faire joli : c’est exactement le principe de la matrice d’Eisenhower. Cette matrice a deux lignes et deux colonnes, suivant deux facteurs : l’importance et l’urgence de la tâche.
Prenons les partiels que vous aurez dans deux mois, votre loyer, et répondre à l’invitation Facebook d’une fille de votre classe. Enfin, vous n’avez plus aucun habit propre à vous mettre.
Où pensez-vous que ces quatre éléments se placent dans la matrice ci-dessous ?
Les partiels sont importants, mais pas urgents, s’ils sont dans deux mois. Le loyer est à la fois important et urgent, et du côté de Facebook, bon, soyons honnêtes, ce n’est ni l’un ni l’autre. Quant à votre prochaine lessive, elle est urgente vu l’odeur qui se dégage de votre pile de chaussettes sales, mais votre futur n’en dépend pas.
On peut donc classer les éléments de cette façon :
Le problème principal dans l’organisation, c’est la case « Important / Non urgent« . C’est le plus ennuyeux, parce que vous ne serez pas immédiatement récompensé pour vos efforts puisque c’est sur le long terme, mais c’est aussi souvent le plus important de tous. C’est dans cette case-là que vos efforts devraient principalement se concentrer : si vous avez un peu de temps en rab, c’est une tâche de cette case que vous devriez effectuer.
Travaillez-vous suffisamment sur cette case ? Si oui, tant mieux. Si non, c’est ce qu’il faudra travailler pour mieux vous organiser. Si vous manquez de temps, pliez rapidement la colonne « Non important », et essayez d’y placer le moins d’activités possibles jusqu’à pouvoir vous concentrer correctement sur les tâches importantes, urgentes ou non.
8 pensées pour trouver la motivation
Dans cette vidéo, Laura (As We Are) nous explique comment garder une motivation à toute épreuve avec 8 conseils de qualité. Et en plus, elle parle de Réussir Mes Etudes ! Vous apprendrez ici comment trouver et garder votre motivation dans les études, dans le sport, ou encore pour vos objectifs de vie et projets personnels.
Dans cet article, je parlerai rapidement de mes 8 applications Android préférées (en excluant les « classiques » Gmail, Whatsapp et compagnie). Toutes ces applications sont gratuites. Elles sont classées par ordre alphabétiques, pas par ordre de préférence.
1. Amazon Kindle – Lien
J’ai reçu un Kindle à Noël de la part de mes parents, et je l’adore. Mais parfois, je ne l’ai pas sur moi – et là, aucun souci, j’ai toujours l’application Amazon Kindle sur mon téléphone pour continuer à lire partout ! L’application est gratuite, et vous pouvez vous envoyer des livres en pièce jointe par email ou via des logiciels comme Calibre, donc vous ne dépendez pas exclusivement de la boutique d’ebooks Amazon.
2. CamScanner – Lien
Prenez n’importe quel document en photo avec votre téléphone Android, et CamScanner la rognera et en changera le contraste pour vous fournir un scan d’excellente qualité. Très pratique pour conserver une copie de vos documents officiels importants ! De plus, CamScanner vous permet de numériser des QR codes.
3. Clavier Swiftkey – Lien
Si vous n’aimez pas le clavier Android par défaut, bienvenue au club. Sachez que vous n’êtes pas seul. Et c’est pour nous que l’application gratuite Swiftkey a été créée ! Ce que je préfère avec cette application, en dehors de son T9 de qualité assez impressionnante, c’est qu’elle propose des mots pour finir vos phrases, et que c’est terriblement pertinent. Sur Twitter, quand je mentionne quelqu’un, le T9 me propose souvent automatiquement de rajouter quelqu’un d’autre avec qui nous avons souvent des discussions. Essayez, vous verrez !
4. Evernote – Lien
Si je préfère Google Keep pour les listes (de courses ou de choses à faire), je suis une grande fan d’Evernote pour tout le reste. Photos, textes, remarques, tout va dans mon dossier Evernote quand je suis sur mon téléphone, et je nettoie tout ça une fois que j’ai accès à un ordinateur et du temps à y consacrer. Je n’aime pas énormément l’ergonomie d’Evernote sur ordinateur, et c’est la seule raison pour laquelle je n’utilise pas en permanence cet outil. Il n’empêche que c’est, selon moi, le moyen le plus simple de partager des documents entre mon téléphone et mon ordinateur.
5. HabitRPG – Lien
J’aime bien jouer, je ne suis pas très disciplinée, et HabitRPG me permet de me concentrer sur mes to-do lists et de faire ce que je dois faire pour être en forme et bien travailler sans désespérer et tout en jouant. Avec HabitRPG, vous gagnez et perdez des pièces d’or et d’argent en fonction des activités quotidiennes, de la to-do list et des bonnes habitudes que vous vous êtes fixées. Avec ces pièces, vous pouvez acheter de l’équipement pour votre petit personnage, qui ira bien rapidement combattre des monstres et explorer le continent d’Habitica. En plus, vous pouvez rejoindre des guildes selon vos centres d’intérêts, qui pourront, si vous le souhaitez, vous lancer des défis personnalisés !
6. Inoreader – Lien
Je suis une grande fan de flux RSS : la meilleure option pour ne rien rater des sites qui comptent le plus pour moi. Je vous conseille d’en faire autant. Quel que soit le réseau social que vous préférez, vous ne pouvez pas être assuré de ne pas rater un seul post d’un blog que vous adorez (Réussir Mes Etudes, par exemple !). Et un agrégateur de flux RSS vous donne la possibilité de tout avoir dans un même onglet plutôt que de faire le tour de vos favoris tous les matins et de perdre un quart d’heure pour finalement voir que rien de nouveau n’a été publié !
J’ai testé plusieurs agrégateurs, incluant Feedly, Flipboard, Google Reader (RIP) ou encore TheOldReader. Mon agrégateur préféré à ce jour est Inoreader, que j’utilise depuis près d’un an et dont je suis toujours très satisfaite. Je vous conseille de faire de même !
7. Pocket – Lien
Lire des pages web sur son téléphone n’est pas toujours très agréable, et sur votre ordinateur, vous n’avez pas forcément beaucoup de temps libre. Le pire reste les vidéos Youtube dans un endroit à faible réseau : enregistrer les liens sur Pocket vous permet d’avoir accès aux pages web que vous sauvegardez, où vous voulez, quand vous voulez, et depuis le support que vous préférez, sans prise de tête.
8. Podcast Addict – Lien
J’adore les podcasts. Autant d’information à écouter et de choses à apprendre en moins d’une demi-heure (non, je n’aime pas les longs podcasts), en marchant pour aller en cours ou dans les transports en commun, par exemple, ça ne se refuse pas ! Mon application préférée à ce jour pour les écouter est Podcast Addict. L’application contient un grand nombre de podcasts francophones pré-enregistrés, ce qui est très pratique. Un seul point noir pour moi : l’absence de version accessible depuis un ordinateur.
Et vous, quelles sont vos applications Android préférées ? J’adorerais que vous m’en fassiez découvrir quelques-unes !
Comment rester motivé ?
Bonjour à tous ! D’habitude, le samedi à 18h, on vous fait un petit « Vu Ailleurs », mais aujourd’hui c’est différent : plusieurs blogueurs se sont associés pour répondre à la question « Comment restez-vous motivé par ce que vous faites ? » sur leur site, et je fais partie de ce groupe de personnes.
Vous pourrez donc retrouver ma réponse à la question, mais aussi celle d’autres personnes avec des secteurs et des passions variés : le lien vers la réponse des autres blogueurs se situe à la fin de l’article, jetez-y un œil, ça vaut vraiment le coup.
Comment je reste motivée par ce que je fais
Alors, comment est-ce que je reste motivée par ce que je fais ? C’est évidemment une question complexe avec plusieurs réponses possibles, et chaque projet auquel je participe me motive d’une façon différente.
En règle générale, pour que j’aie du plaisir à participer à un projet, il faut que je puisse être reconnue pour mon travail et que je peux nouer des liens avec d’autres personnes.
Peut-être connaissez-vous la Process Communication, un « test de personnalité » qui vous catégorise dans six différents types de personnalité et les hiérarchise. Je ne peux que vous le conseiller, il est super utile (et si vous voulez plus d’informations, voilà le site d’une coach qui en a fait sa spécialité). Les six types de personnalités sont chacun relié à un besoin :
- Reconnaissance de son travail (généralement associé à un besoin de structuration du temps)
- Amitié et soutien (pour et de la part des autres)
- Contact ludique
- Être reconnu pour ses convictions
- Action et excitation
- Temps et espace libre pour penser sans contrainte
Je vous épargnerai les détails de mon test, parce que le rapport final fait une bonne trentaine de pages, mais d’après ce test, comme d’après moi, ces deux points sont mes priorités au quotidien. En effet, j’ai l’amour du travail bien fait (donc la volonté que mon travail soit reconnu pour sa qualité) et je veux « aimer et être aimée ». Cela ne signifie pas que je suis fan de travail en équipe, loin de là : par contre, je suis très encouragée dans un projet si je peux y créer des amitiés durables.
Réussir Mes Etudes m’a fait faire des rencontres extraordinaires, et vous avez peut-être déjà croisé quelques-unes des personnes dont j’ai l’honneur d’être devenue l’amie au fil des articles invités du blog. Un blog, par définition, est aussi un projet personnel, pour lequel je reçois régulièrement l’assurance que le contenu est utile aux autres (donc non seulement j’aide les autres, ce qui est un lien, mais en plus on me dit que mon travail est bon !). C’est pour cette raison que plus de trois ans après la création du site, je continue à rédiger autant d’articles et à y mettre autant d’attention.
Côté études, c’est pareil : des bonnes notes et des vrais amis dans ma promo, je n’en demande pas plus. Et dans ma vie professionnelle, tant que je saurai que je suis responsable, au moins en partie, des résultats de mon entreprise, et que j’aurai des collègues avec qui je m’entends bien, je me sentirai à ma place et je donnerai le meilleur de moi-même.
Ensuite, il y a des projets plus personnels, et c’est là que ça se complique.
J’aime bien participer à des concours étudiants, parce que c’est l’occasion de travailler avec quelqu’un sur un projet et que forcément, à côté du travail (reconnaissance), on ne va pas être 100% business et on va passer du temps à discuter de nos passions ou de ce qui compte vraiment pour nous. Résultat, non seulement mon travail sera reconnu parce qu’on sait qu’on ne participe pas à ce défi pour rien, mais en plus, je suis doublement motivée parce que je me rapproche de la personne avec qui je travaille.
Par contre, quand je donne un coup de main au community management d’un site, par exemple, je ne vois pas forcément de résultats concrets et je ne me sens donc pas très utile, même si côté amitiés, c’est au top. Et quand je traduis des articles, j’ai des bons résultats, mais niveau lien social on repassera : je suis passionnée de traduction et je continue à en traduire, mais je ne pense pas que je pourrais m’investir dans la traduction d’articles aussi sérieusement que dans ce que je fais pour Réussir Mes Etudes, par exemple.
Voilà donc comment je reste motivée : je connais mes valeurs, je sais les associer aux projets pour savoir si je m’y épanouirai et s’ils valent la peine que j’y participe, et je sais satisfaire mes besoins de reconnaissance de mon travail et de lien social au sein de ces projets, sinon j’abandonne rapidement – rien ne sert de participer à un projet si je ne m’y sentirai pas à l’aise, et je n’ai aucun scrupule à laisser tomber quelque chose si je ne m’y sens pas à ma place.
Sachez que je propose déjà un coaching personnel pour connaître ses valeurs et besoins et les adapter à ses études et à sa future carrière pour toujours rester motivé : si ça vous intéresse, n’hésitez pas à me contacter par commentaire sur cet article ou via le formulaire de contact !
Les autres blogueurs qui ont répondu à la question « Comment restez-vous motivé ? »
Bonjour !
Je suis étudiante et c’est avec une recherche Google sur comment être excellente et gérer mon temps que je suis tombée sur votre blog. Depuis, je suis accro ! Malheureusement, après une longue journée, j’ai sommeil, donc j’ai souvent du mal à réviser sans m’endormir et je reste parfois endormie jusqu’au petit matin. Comment faire dans ce cas ?
Clara
Bonjour Clara !
As-tu essayé de te lever tôt pour travailler avant d’aller en cours plutôt que de réviser le soir alors que tu as sommeil ? J’avais à une époque le même problème que toi : à 20h, j’étais complètement hors-service pour réviser. Du coup, j’ai pris l’habitude de me coucher vers 21h : avec 8h de sommeil, ça faisait un réveil à 5h du matin, donc deux heures de travail efficace ou de sport avant de me préparer pour aller en cours. C’était très efficace !
Le mieux reste de tester cette méthode pendant au moins 3 semaines (21 jours d’affilée, week-end inclus) pour voir si elle fonctionne. En général, on est beaucoup plus efficace le matin dès le réveil que le soir après une longue journée de cours, quand on a sommeil et qu’on n’a qu’une envie, aller se coucher. Je pense que tu travaillerais beaucoup mieux tôt le matin, et donc qu’en 2 ou 3 heures, tu pourrais autant travailler le matin que le soir en plus de 5 heures.
Si tu as peur de ne pas tenir ce rythme, tu peux aussi continuer à te coucher plus tard et t’efforcer de mieux résister au sommeil : de la musique relativement énergique (mais sans paroles, sinon ça déconcentre !), beaucoup d’eau froide à boire (pas de café, ça te fatiguerait encore plus en détruisant ton rythme de sommeil) et un bureau bien éclairé devraient t’aider à lutter contre le sommeil. Une sieste de 15 à 20 minutes en début d’après-midi devrait aussi beaucoup t’aider !
Évidemment, j’en profite pour te rappeler qu’on ne travaille jamais dans son lit !
Lexane
Ma vie de lève-tard
À une époque, je me levais systématiquement très tard. J’étais toujours en retard parce que je me réveillais trop tard pour bien me préparer, que je courais partout dans la maison pour me préparer, partais de chez moi en courant et devais prendre un taxi parce que je n’avais plus le temps de prendre les transports en commun si je voulais être à l’heure. En général, j’avais 5 à 10 minutes de retard, et parfois je dépassais la demi-heure, voire une heure de retard. Quand je travaillais, je dormais de deux heures à neuf heures du matin environ (à mon travail, nous avions des horaires adaptables). Pendant le week-end, je me levais plutôt vers midi.
Je ne me suis jamais dit qu’il faudrait que je prenne l’habitude de me lever tôt. Pourquoi ferais-je une chose pareille ? Je n’ai jamais compris quel intérêt les gens pouvaient trouver au réveil matinal. Si je rencontrais quelqu’un qui se levait tôt de son plein gré, je le regardais avec des yeux ronds. Je considérais un réveil matinal comme une privation : si on peut faire la grasse matinée, ne devrions-nous pas laisser notre organisme se reposer plutôt que de se forcer à se lever à une heure fixe ? C’était limite masochiste.
Comment je me suis intéressée aux réveils matinaux
Un beau jour, je suis tombée sur des témoignages en faveur d’un réveil le plus tôt possible. Des témoignages convaincants, nombreux, du monde entier. Des sites de développement personnel m’encourageaient à me lever tôt. Des livres de développement personnel proclamaient que la méditation et le réveil matinal étaient les deux habitudes les plus importantes qui soient. Des interviews avec des célébrités et des entrepreneurs qui affirmaient se lever à 5 heures du matin et être bien plus productifs.
La première fois que j’ai lu ce type de témoignages, je me suis dit que c’était juste valable pour ces personnes-là. La deuxième fois, j’étais curieuse, mais je les ai ignorés quand même. Et puis il y en a eu d’autres. J’ai compris que c’était une vraie tendance. Il y avait un vrai lien entre le fait d’être matinal et le succès rencontré. Je veux atteindre l’excellence dans ma vie (d’où le nom de mon blog, Personal Excellence). Si c’était quelque chose qui m’aiderait à m’améliorer, je devais absolument l’essayer.
J’aurais pu laisser tomber et me dire « je ne suis pas faite pour me lever tôt, je ne suis pas quelqu’un de matinal, ce n’est pas pour moi ». J’aurais aussi pu me dire « de toute façon, ce n’est qu’un truc psychologique pour avoir l’impression d’être plus efficace ». Mais je ne pouvais pas en tirer de vraies conclusions tant que je n’avais pas essayé de me lever tôt pendant au moins 21 jours d’affilée, la durée nécessaire pour prendre une habitude. Il fallait que j’essaie. Et certes, j’avais toujours été lève-tard, mais peut-être que ça ne voulait rien dire.
Un essai pour être matinale
En 2009, j’ai décidé de me réveiller à 5 heures du matin pendant 21 jours de suite. Je me suis dit que si ça marchait, j’aurais gagné une habitude extraordinaire, qui m’aiderait énormément. Si ce n’était pas le cas, je pouvais laisser tomber et me remettre à me lever tard.
L’essai n’était pas facile. J’ai réalisé que me lever tôt est très difficile parce que c’est un changement de mode de vie, pas seulement d’heure de réveil. Plusieurs fois, j’ai eu beaucoup de mal parce que je m’étais couchée tard la veille : j’avais travaillé tard, j’étais sortie, j’avais discuté avec un ami au téléphone, j’avais fait du sport… C’était comme essayer de résister à un fort courant qui essayait de me faire tomber.
Je n’ai jamais arrêté d’essayer. Quand j’étais obligée de me lever plus tard, je me débrouillais pour comprendre pourquoi j’avais fait cette faute, et je changeais mes habitudes en conséquence. Me réveiller tôt est devenu de plus en plus facile, de plus en plus naturel.
Et j’ai découvert que se réveiller tôt est une habitude bien plus efficace que de se lever tard, pour moi aussi.
Voici 9 raisons pour lesquelles je dis ça :
1. Commencer avant les autres
Quand on se réveille à 5 heures du matin, on commence sa journée avant à peu près tout le monde – et on prend de l’avance sur sa journée. Du coup, on se sent mieux, d’où un ensemble d’effets positifs (comme on pourra le voir dans les deux points suivants). Après tout, rien ne sert de courir, il faut partir à point. Être matinal vous motivera à garder votre avance pour maintenir ou augmenter votre avance.
Par exemple, quand je travaille tôt, je travaille sur mes tâches les plus importantes d’abord, plutôt que sur les tâches faciles et courtes, mais sans grand impact. Je pense et je travaille efficacement, et je termine ma journée plus tôt pour bien dormir, me lever tôt le lendemain et continuer à avoir cette « avance ». Dans l’ensemble, je suis plus active et plus organisée – puisque je suis en avance sur ma journée, je pense tout naturellement à comment être en avance sur mon travail aussi.
De l’autre côté, quand je me réveille tard, j’effectue mes tâches urgentes mais pas très importantes d’abord. Comme je me suis levée tard, je me dirai aussi qu’il faut que je passe plus de temps au travail pour rattraper mon retard, travaillant donc jusqu’au milieu de la nuit. Mon comportement n’est plus proactif, mais réactif ; je réfléchis à comment rattraper mon retard et à comment atteindre mes deadlines immédiates.
Travailler jusqu’au petit matin me pousse à dormir tard, donc à me lever tard. Ce cycle est donc un cercle vicieux, avec un schéma global négatif sur le long terme : je travaille tard, je sacrifie mon sommeil, je me lève tard. Évidemment, c’est loin d’être bon pour ma santé.
Bien sûr, on peut dire que c’est très subjectif : se lever tôt ne garantit pas d’être plus productif, et se lever tard ne résultera pas en une productivité inférieure. C’est vrai. Mais cet effet psychologique d’être en avance est très important. Je l’ai ressenti, et j’en suis certaine.
2. Être plus productif
Ma productivité explose quand je me lève tôt. C’est un avantage qui vient du fait d’avoir de l’avance dès le début de la journée (cf. le premier point). Cette avance nous motive à la garder, donc on s’applique et on fait plus de choses, plus rapidement, au cours de la journée. Ceci s’applique même si finalment, je suis réveilée le même nombre d’heures que si je m’étais couchée et levée très tard ! Quand je me lève tard, je passe plus de temps engoncée dans ma routine. Pour comprendre de quoi je veux parler, faites une to-do list quotidienne et comparez vos listes selon votre heure de réveil.
En plus, le matin est une occasion idéale de bien travailler, grâce au calme qu’il implique (voir la raison n°5).
3. Être ponctuel
Vous êtes-vous déjà réveillé tard et avez-vous déjà dû partir en courant, à moitié préparé, pour un rendez-vous ? Être à l’heure est quelque chose de très important pour donner une bonne première impression et montrer que vous respectez vos interlocuteurs. Au travail, par exemple, être ponctuel n’est pas superflu. Plutôt que de vous fatiguer à courir partout le matin, être matinal vous donne le temps de bien vous préparer et d’être à l’heure à vos rendez-vous.
Fixer des heures limites à votre coucher et à votre lever structure également vos journées, et vous rend plus conscient de comment vous choisissez de passer vos journées. Ceci aide beaucoup à améliorer votre ponctualité.
4. Discipline et volonté
Être matinal, c’est seulement une question de volonté. Comme je l’ai dit plus haut, bien des raisons m’empêchaient de me lever tôt au début : travailler tard, sortir le soir, faire mon sport le soir plutôt que le matin, être au téléphone longtemps… ces raisons étaient une conséquence directe du manque de maîtrise de moi. Si je voulais me lever tôt, il fallait que j’apprenne à gérer ces activités, donc à être plus disciplinée et organisée.
Un exemple est celui de travailler jusque tard. Si vous sortez souvent tard du travail, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi ça n’arrête pas de vous arriver ? On pourrait croire qu’il y avait beaucoup de travail ce jour-là, ou beaucoup d’activités urgentes qui vous ont empêché de faire votre travail correctement – mais si vous creusez un peu, vous trouverez que la seule cause du problème est votre incapacité à gérer votre temps et vos priorités. Plutôt que de maîtriser vos actions, vous les laissez vous dominer. Parce que vous n’avez pas assez de discipline. Prendre de l’avance, s’organiser, être discipliné – voilà une volonté vraiment forte.
5. Tranquillité
Le calme du matin est indescriptible. Cette tranquillité existe à deux niveaux : premièrement, la sérénité physique. Vous êtes seul, sans être dérangé. Personne dans la rue, pas de voitures, même pas encore d’oiseaux qui chantent ! Pas de SMS ni d’appels pour vous déconcentrer non plus.
Et puis il y a la sérénité mentale. Êtes-vous déjà rentré dans une salle d’examen en sentant immédiatement la tension vous envelopper ? Personne ne parle, mais le stress des autres vous contamine immédiatement. Ici, c’est le même principe. Tôt le matin, quand tout le monde dort encore, vous n’êtes pas influencé par l’humeur des autres. Et il n’y a pas seulement ça : au réveil, on est toujours plus calme qu’en journée. Ce calme ne dure que si vous êtes matinal.
6. Temps de trajet
Si vous prenez des transports pour aller à votre établissement de formation, vous pouvez faire le trajet en dehors des heures de pointes – gagner du temps en évitant les bouchons si vous êtes en voiture, et vous assurer une place assise sans voisin malodorant et mauvaise humeur générale si vous préférez les transports en commun.
7. Petit déjeuner
Bien des gens se réveillent tard et sautent le petit déjeuner, parce qu’ils n’ont pas faim dès le réveil ou parce qu’ils n’en ont simplement pas le temps. Pourtant, comme on dit, le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée. Après 5 à 8 heures sans manger, il est important de prendre un repas : une de mes amies décrivait le petit déjeuner en expliquant que « le petit déjeuner, c’est le démarrage de votre moteur. Tant que vous ne l’avez pas pris, votre cerveau et votre corps ne sont pas allumés. » Quand je me réveille tôt, j’ai le temps de me préparer des tartines, un smoothie ou une salade de fruits – et en plus, je peux manger tranquillement.
8. Faire du sport
Est-ce que vous déplacez votre sport vers la fin de la journée ? Est-ce que votre programme sportif est modifié en permanence à cause de changements de dernière minute ? Vous réveiller tôt vous donne le temps de faire du sport avant de commencer votre journée, et vous aurez donc moins besoin de déplacer votre entraînement. En plus, rien de tel qu’une bonne séance de sport pour booster votre journée !
9. Voir le monde se réveiller
J’adore courir le matin et voir la ville entière se réveiller devant mes yeux. Je commence vers 6 heures du matin, quand il fait encore nuit et qu’il n’y a personne dans la rue. Alors que je cours (en général, je cours entre 6 et 11km, ce qui me prend une à deux heures), je vois le monde commencer sa journée. Plus de gens sur les trottoirs, plus de voitures dans les rues. Le ciel commence à s’éclaircir – d’abord bleu marine, puis virant au violet, au rouge, à l’orange, au jaune, et enfin le soleil qui vient illuminer le paysage. C’est beau, et c’est quelque chose qu’on ne voit évidemment pas à un autre moment de la journée.
Vous aussi, devenez matinal !
Si vous n’êtes pas encore matinal (réveil vers 5-6 heures du matin), essayez à votre tour (honnêtement et pendant au moins 21 jours d’affilée) et voyez les résultats.
Je pars dans neuf jours à Shanghai. Je voyagerai sûrement beaucoup, ne serait-ce parce que de là où j’habiterai à mon bâtiment de cours, j’en aurai pour plus d’une heure de trajet. Après la fin des cours, je ferai un road trip – je n’aurai plus cours, mais je devrai encore gérer Réussir Mes Études et continuer mon travail de traductrice freelance.
Cet article s’applique à ceux qui voyagent vraiment, mais s’adaptera facilement à ceux qui ont des longs trajets quotidiens.
Fixez les bons objectifs
Quand on fait beaucoup de trajets, on a vite tendance à lire ou à écouter de la musique en regardant par la fenêtre plutôt qu’à travailler. Se fixer des objectifs dès le départ vous permet de vous y tenir, tout simplement – vous pourrez donc limiter le stress de ne pas assez travailler et la déception de ne pas avoir assez profité du voyage.
Il est tout aussi important que les personnes avec qui vous travaillez sachent à quoi s’attendre. Si vous êtes absent deux jours, prévenez vos camarades et vos professeurs ; un simple mail pour prévenir vos coéquipiers, dans un projet de groupe, que vous mettrez longtemps à répondre et que vous serez en voyage, donc que vous n’aurez pas forcément Internet, vous assurera de ne pas vous faire détester de tout le monde – et vous permettra aussi de mieux planifier les choses à faire avant et après votre départ.
Préparez votre voyage à l’avance
Préparez-vous bien pour votre voyage et tout se passera bien : trouvez d’abord si vous aurez un accès facile à Internet (n’oubliez pas que certains bars et chaînes de fast-food vous fournissent un wifi gratuit, mais relativement lent et bloquant plusieurs sites parfois utiles) et sous quelles conditions, puis adaptez votre charge de travail en conséquence.
Évidemment, plus vous prenez d’avance sur votre travail avant votre voyage, mieux c’est – mais a-t-on vraiment besoin de le préciser ?
Communiquez
Non seulement il faut parler du voyage que vous allez faire aux personnes qui pourraient être concernées et s’inquiéter de votre baisse de productivité pendant ce temps si vous ne vous justifiez pas, mais il faut aussi bien intégrer la communication à votre voyage en général. Par cela, j’entends qu’il faut choisir les voies de communication qui seront les plus simples à utiliser dans chaque contexte : si vous passez beaucoup de temps en train ou en covoiturage, par exemple, les emails seront mieux que le téléphone, alors que si vous êtes seul en voiture, vous serez probablement plus efficace au téléphone (avec un système adapté pour la conduite, bien sûr !). Enfin, si vous allez à l’étranger, prévenez vos contacts éventuels qu’il faudra vous appeler via une application du type Viber, Whatsapp ou Skype plutôt que par la voie classique.
Ayez un emploi du temps
En prévoyant bien votre emploi du temps, vous pourrez gérer votre quantité de travail. Par exemple, j’ai tendance à me lever tôt, mais en voyage, je prévois de travailler (via email en particulier, en évitant donc le contact direct afin de maximiser ma productivité) en fin de journée, quand personne ne viendra me déranger et que j’aurai fait toutes les activités dont j’ai envie pour la journée. J’essaie également de rester disponible une heure environ dans la matinée pour les appels importants, qui nécessitent un contact « direct » avec mon interlocuteur.
Essayez cependant de pouvoir vous adapter à tout changement d’emploi du temps ! En voyage, il est très important de savoir gérer l’imprévu.
Gérez bien votre retour
Pendant la journée qui suit votre voyage, vous aurez sûrement beaucoup de choses à rattraper avant de vous remettre au travail de la même façon que d’habitude. Prévoyez donc une demi-journée, voire une journée entière, dédiée à ce travail de rattrapage pour bien reprendre, plutôt que de passer la semaine à vous rendre compte que vous avez oublié de répondre à tel mail ou oublié de faire telle chose sans grande importancejusqu’à avoir l’impression d’être débordé de petites choses en plus de votre travail normal.
Avez-vous quelques conseils à partager avec la communauté de Réussir Mes Études pour mieux travailler sans avoir un bureau fixe ? Alors, postez-les dans les commentaires de cet article !
Comment apprendre sans cours
Si vous venez sur Réussir Mes Études, vous êtes probablement étudiant. Mais vous n’aimez pas forcément ce que vous étudiez, vous ne voulez pas nécessairement en faire votre carrière, et vous pensez peut-être aussi que les cours ne vous suffiront pas à atteindre l’excellence et à devenir un expert demandé par les entreprises. Voici donc quelques conseils pour améliorer votre profil et apprendre mille choses intéressantes en dehors des cours !
Cours en ligne
Les MOOC sont vos amis : Coursera est la plateforme dédiée la plus connue, mais vous pouvez aussi vous pencher sur Unow, Khan Academy ou encore FUN (France Université Numérique). Vous pouvez aussi trouver un peu plus spécialisé et tout aussi intéressant, par exemple en suivant des cours de langue (Duolinguo est votre ami) ou en apprenant à programmer (pour cela, je vous recommande l’excellent Codecademy). Enfin, vous pouvez écouter des podcasts : je vous conseille ceux du Collège de France pour un apprentissage varié et de qualité. Il vous suffira de comprendre comment bien apprendre avec des ressources en ligne.
Vous pouvez ensuite ajouter les MOOCs à votre CV.
Conférences, séminaires et compagnie
Rien de tel qu’assister à un débat ou une conférence pour apprendre sur un sujet donné : pour parfaire votre culture générale, n’hésitez donc pas à vous inscrire à ce type d’événement. Les CCI font beaucoup de conférences de ce type, et l’entrée en est gratuite. Des établissements d’enseignement organisent aussi des événements gratuits avec des intervenants de qualité sur des sujets intéressants, n’hésitez pas ! (En plus, des fois, il y a un cocktail à la fin.)
Le site Meetup vous permettra aussi de faire des rencontres avec des experts dans votre domaine, donc profitez-en bien !
Lisez, écoutez, regardez
Vous n’avez pas toujours à sortir de chez vous et à faire un effort pour apprendre : un bon documentaire, un podcast de qualité, un livre bien écrit vous apprendront beaucoup de choses aussi ! Vous pouvez aller au musée, ou vous pouvez regarder un épisode du Dessous des Cartes ; vous pouvez voir un concert, et vous pouvez l’accompagner d’un ouvrage sur votre genre musical préféré. Vous en tirerez peut-être des grandes leçons de vie, qui sait ?