Auteur/autrice : Lexane Sirac

J'ai grandi au Québec puis à Grenoble. Après avoir obtenu mon bac à 15 ans, j'ai arrêté mes études pour faire du sport à haut niveau jusqu'à ce qu'une blessure me renvoie sur les bancs de l'école. J'ai fondé Réussir Mes Études en janvier 2012, avant d'intégrer l'emlyon et de décider de faire de l'écriture mon métier.

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Vivez votre objectif (5/5)

Dans les articles précédents, nous avons vu l’importance d’un but ultime dans une vie, ce qui le caractérise et comment trouver quel est le vôtre. Voici le tout dernier article dans la série « Quel est votre but », qui vous présentera comment vivre en accord avec l’objectif que vous vous êtes fixé suite aux articles précédents.

Maintenant que vous avez trouvé votre véritable objectif, pensiez-vous avoir terminé ? Mais bien sûr que non ! Il vous reste encore à le réaliser, et à fixer les objectifs de votre vie par échelon pour l’atteindre sûrement !

Votre vie actuelle est peut-être complètement à l’opposé de ce qu’il vous faut pour atteindre l’objectif de votre vie. Peut-être que votre but était de sauver les droits des animaux et que vous travaillez chez Hippopotamus pour financer vos études. Peut-être que vous voulez créer de la richesse pour tous, mais que vous étudiez en fait la comptabilité, ce qui serait plutôt adapté pour celui dont le but est d’assurer l’équilibre fiscal du monde du commerce. Plutôt que de vous sentir heureux en trouvant votre objectif, vous remarquez donc le paradoxe dans votre situation actuelle – c’est assez décourageant, n’est-ce pas ?

N’ignorez pas cet objectif que vous avez trouvé. Tant pis pour les circonstances, elles s’adapteront à vos choix et pas le contraire. Certes, atteindre votre objectif sera difficile, mais ce n’est jamais impossible, si vous persévérez et que vous acceptez de fournir des efforts. Et plus vous prenez des risques, plus grande est la récompense, c’est bien connu ! Peut-être n’avez vous pas les compétences nécessaires pour suivre votre objectif, peut-être qu’il ne vous rapportera rien au début. Tant pis, créez une passerelle entre là où vous êtes et là où vous voulez aller, et ne vous en éloignez pas ! Trouvez ce qui vous facilitera la tâche, et fixez-vous des objectifs au mois, à la semaine, voire même à la journée. Prenez en compte vos capacités et le contexte, et faites un plan d’action avec des petites choses simples que vous pourrez faire de jour en jour ou de semaine en semaine. Ne perdez jamais vos objectifs de vue !

La série « Quel est mon but ? » se termine donc avec cet article. N’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux, et à laisser un commentaire pour nous dire comment vous avez l’intention de l’atteindre vous-même ! La communauté Réussir Mes Etudes vous permettra de bénéficier de soutien et des conseils de personnes qui pourront vous aider !

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Vrais et faux objectifs (4/5)

Vrais et faux objectifs (4/5)

Vous êtes peut-être persuadé d’avoir un but final tout à fait acceptable : être brillant en sciences, être en bonne santé, être riche ou encore vous marier avec la bonne personne. Très bien. Mais cet objectif n’est pas le vôtre ; c’est celui de la société.

Quel que soit ce que vous considérez comme votre véritable objectif, quel rôle avez-vous joué dans sa détermination ? Probablement aucun. Quelque part, certaines personnes qui ne sont pas vous ont décidé que vous devriez vivre votre vie ainsi, sans vous demander votre avis avant. Votre rôle est de vivre cet objectif, pas de le remettre en question.

Ces objectifs vous sont imposés. On vous les a tellement répétés que vous avez fini par les approprier, mais ce n’est pas vous qui les avez créés. Vous les considérez comme des vérités à ne jamais mettre en doute, des grandes propriétés universelles, et la société vous en a convaincu d’autant plus, car la plus grande partie de la société a les mêmes objectifs que vous. Vous voulez gagner de l’argent, avoir du succès, être un bon croyant (ou un bon athée), et être un bon citoyen de la société. C’est bien, mais vous ne trouvez pas ça un peu conformiste ?

Ces points-là ne sont pas des véritables objectifs ; ce sont des règles à respecter, peut-être, des objectifs parallèles à votre vie, mais pas votre but ultime. Un but ultime vous libère. Il vous motive et vous pousse à avancer avec une force que vous ne pouvez ignorer. Vous l’avez créé vous-même, et vous fixez vous-même le chemin pour l’atteindre. On ne vous l’a pas imposé, vous ne l’avez pas lu, il ne vous a pas été suggéré par d’autres personnes, par des institutions ou par la société. Il ne s’associe pas à une peur (« si je ne suis pas riche je ne vivrai pas dans une belle maison »), et vous avez le plein pouvoir sur les choix que vous prenez pour vous en rapprocher ou, au contraire, vous en éloigner.

Voyez-vous bien la différence entre les deux ? Réfléchissez à vos buts actuels – pensez-vous qu’ils soient les vôtres uniquement, ou imposés ? Vous libèrent-ils, ou au contraire, sont-ils une contrainte pour vous ? Je vous invite à partager votre réflexion dans les commentaires ci-dessous, ils pourront être matière à débat et inspirer d’autres lecteurs ! N’hésitez pas non plus à partager cet article sur les réseaux sociaux de votre choix !

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Fixez votre objectif (3/5)

Dans les trois derniers articles, nous avons examiné la nécessité d’un but ultime et ce qui le caractérise. Aujourd’hui, nous verrons (enfin !) comment trouver votre véritable but avec un peu de réflexion et suivant une méthode très simple et facile à mettre en oeuvre.

Votre but final devrait faire écho à la personne que vous êtes : être un reflet de vos passions, de vos désirs, de vos valeurs, de tout ce qui vous représente. Si vous deviez faire une seule chose pour le reste de votre vie, sans être payé un centime, qu’est-ce que ce serait ? Le but doit également ne pas être ancré dans le temps, dans l’espace ou par rapport à une personne : tout peut disparaître. Si votre objectif ultime est de servir votre nation, et que vous devez déménager et qu’entre temps une guerre a lieu et raye ce pays de la carte (très crédible, n’est-ce pas ? j’aurais dû choisir un autre exemple, peut-être.), vous n’aurez plus d’objectif.

Votre but est une fin, et pas un moyen. L’argent, par exemple, est un moyen pour vivre dans une grande maison, la grande maison est un moyen pour avoir un immense espace de vie, qui lui-même est un moyen d’atteindre une certaine liberté : voilà un objectif. Ne soyez pas spécifique, gardez les détails pour des plans et des objectifs plus proches, qui vous permettront simplement d’atteindre ces grands objectifs.

N’hésitez pas à être ambitieux, à imaginer des grands destins, à vouloir aider le monde et sauver la Terre, et pourquoi pas l’univers ! Vous pouvez étirer les limites de votre imagination – et ensuite, vous n’aurez plus qu’à étirer les limites de votre intellect, de votre résistance physique et de tout ce qui va rentrer en jeu pour atteindre votre grand objectif. Ne fixez pas d’objectif exact, mais restez bien dans un concept abstrait sans limite. Les objectifs précis ne sont que des étapes sur le chemin du succès (si ça continue, je me ferai pousser une longue barbe et je deviendrai un Maître Zen). Devenir professeur, c’est un objectif précis. Eduquer le monde, c’est un but ultime, qui peut aussi être atteint en étant un chanteur engagé ou un président. Vous êtes encore étudiant, vous n’avez pas à trouver ce que vous devez faire plus tard – simplement à comprendre pourquoi vous le ferez.

Avez-vous trouvé votre objectif ultime ? Racontez-nous votre réflexion dans les commentaires, que vous l’ayez fixé ou non, pour faire partager l’expérience avec d’autres lecteurs et démarrer une discussion qui pourrait vous éclairer encore un peu plus ! N’hésitez pas non plus à partager cet article sur les réseaux sociaux de votre choix pour permettre à d’autres personnes de prendre conscience de leur objectif. Le prochain article de cette série sera le dernier, et traitera de comment vivre votre objectif.

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Pourquoi avoir un but ? (2/5)

Pensez-vous que Gandhi, Martin Luther King, Mère Theresa, Winston Churchill, Bill Gates ou Napoléon avaient un but dans la vie ? Bien sûr ! Des objectifs grandioses, visionnaires, que d’autres n’avaient jamais osé imaginer ou poursuivre. Et c’est cela qui les a démarqués, qui les a rendus si extraordinaires vis-à-vis du reste de l’humanité. Le succès, la reconnaissance, la richesse ne sont que des conséquences de cet objectif – et votre réussite scolaire aussi !

Vous pouvez être apathique et croire que vous n’avez pas besoin de but, paresseux, trop cynique pour croire aux grandes causes… Si votre vie n’a aucun sens, aucun but, pourquoi êtes-vous donc sur Terre ? Pourquoi vous levez-vous tous les matins, pourquoi respirez-vous, pourquoi êtes-vous en train de lire ce site ?

Si vous n’avez pas de but, vous vous laissez emporter par le courant et vous ne pouvez pas être pleinement satisfait et heureux. Regardez ceux qui vous entourent. En avez-vous déjà rencontré certaines qui étaient véritablement pleines de vie ? Quand elles parlent, elles ont des étoiles dans les yeux et un grand sourire, et on peut sentir leur passion dans tout ce qu’elles disent. Elles sont positives et joyeuses ; ces personnes-là savent ce qu’est leur objectif dans la vie, et ont commencé à s’en rapprocher activement. De l’autre côté, il y a des gens vides, mous, qui ne s’intéressent à rien, négatifs et pessimistes, jamais satisfaits. Ceux-là se contentent de ce qui vient à eux et ne font pas le choix de se fixer un objectif ultime.

A quel groupe souhaitez-vous donc appartenir ?

Le succès est une conséquence du fait que vous ayez trouvé votre but final et que vous l’ayez mis en oeuvre, pas un objectif en lui-même. Si vous avez une ligne de conduite clairement définie, la réussite viendra avec quelques efforts – mais si vous ne savez pas où vous allez, vous n’arriverez nulle part, c’est certain.

Dans le prochain article, nous verrons quelques idées d’objectifs finaux, et comment différencier les objectifs qu’on essaie de vous fixer et celui qui vous concerne vraiment. En attendant, n’hésitez pas à partager cet article sur vos réseaux sociaux préférés et à laisser un petit commentaire pour partager vos expériences avec la communauté Réussir Mes Etudes !

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Quel est votre but ? – Introduction (1/5)

Quel est votre but ? - Introduction (1/5)

Ceci est le début d’une série d’articles sur comment trouver son véritable objectif dans la vie et l’atteindre. Un nouvel article de cette courte série paraîtra tous les deux jours sur le blog.

Comment savoir si vous vivez vraiment le sens de votre vie en ce moment ? C’est très simple : si le matin vous rechignez à vous lever, si vous n’avez pas le sourire la plupart du temps, si vous ne vous sentez pas parfaitement heureux, vous ne vivez pas à votre maximum. Alors, quel est le but de votre vie ?

Selon l’éducation et le passé que vous avez, vos réponses différeront à cette question. Vous pouvez vouloir vous marier et avoir des enfants charmants, ou vouloir être un grand PDG, ou être reconnu pour vos pains au chocolat divins. Si vous cherchez un but, si vous vous demandez si vous en avez un, si vous ne croyez pas aux objectifs ultimes ou si vous n’êtes pas sûr que votre but actuel soit le bon, ça tombe bien, cette série est faite pour vous. Et même si vous êtes certain de ce que votre vie doit être, n’hésitez pas à la lire ! Vous pourrez y penser plus en détail et découvrir de nouvelles choses à propos de vous-même.

Dans le prochain article publié le 2 mars, nous verrons pourquoi il faut absolument avoir un objectif dans la vie. En attendant, je vous invite à faire partager cette introduction sur les réseaux sociaux de votre choix, et à laisser un petit message dans les commentaires pour parler de vos ambitions et de vos envies avec la communauté de Réussir Mes Etudes !

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Réussir les oraux du bac

Note d’avril 2020 : si le bac a beaucoup changé, les conseils pour réussir ses oraux restent les mêmes.

Le bac blanc vient de se terminer pour la plupart des élèves de Première et de Terminale. Voici quelques conseils pour réussir vos oraux à tous les coups cet été !

La première impression compte autant, voire plus, que tout le reste de votre exposé. N’oubliez jamais que le langage non-verbal constitue 70% de ce que votre interlocuteur retiendra de vous ; à ce sujet, je vous invite à attendre la publication d’un prochain article sur l’importance des apparences.

Mais la première impression, c’est aussi l’introduction, qui doit être soignée. N’hésitez pas à la rédiger en entier si vous avez peur de faire des phrases qui n’ont aucun sens, tout comme la conclusion – évidemment, le reste de votre exposé ne doit surtout pas être rédigé sur une feuille, sinon vous donnerez l’impression de lire un texte appris par coeur ! Votre introduction doit donc être parfaite, ainsi que votre conclusion, pour laisser une première et une dernière impression mémorables à votre interlocuteur.

Quant au contexte, n’oubliez pas qu’il doit absolument contenir des transitions et ne pas passer d’une partie à une autre sans la moindre préparation. L’examinateur sera pris par surprise et n’appréciera pas du tout que vous passiez d’un sujet à un autre sans résumer la partie précédente en quelques mots et annoncer la suivante !

N’hésitez pas à faire réagir l’examinateur, à lui poser des questions (auxquelles vous répondrez bien sûr vous-même..), à insister sur un point en le répétant, à utiliser vos mains pour faire passer votre message plutôt que de rester planté sur votre chaise. Travaillez avec un partenaire en dehors des examens, il n’est pas obligé de vous écouter, mais vous aurez ainsi la possibilité de voir quand votre partenaire s’ennuie manifestement ou, au contraire, est intéressé par ce que vous dites.

Si cet article vous a plu, je vous invite à le partager sur les réseaux sociaux pour vos collègues étudiants. Un commentaire pour discuter de la réussite aux examens oraux sera également le bienvenu !

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Quelques règles essentielles pour les mails

Quelques règles essentielles pour les mails

Note d’avril 2020 : je vous recommande, si vous voulez spécifiquement parler à vos enseignant·es, l’article Comment envoyer un email à son professeur.

Ma boîte mail est parfaitement organisée. Tout a un dossier précis et mes messages non lus ne s’accumulent pas. En plus, je ne perds pas mon temps à les gérer, et j’envoie toujours des messages qui font également gagner du temps à leurs destinataires. Mais quel est mon secret ?

Voici quelques règles qui vous permettront de ne pas perdre votre temps avec vos mails, ainsi que de donner l’occasion à leur destinataire de faire de même.

Respectez votre destinataire

C’est vous qui envoyez le mail. Si vous faites gagner du temps à votre lecteur, il vous sera reconnaissant et aura tendance à, lui aussi, minimiser le temps qu’il vous faut pour répondre.

Créez des templates

Si vous recevez des emails en masse pour un même sujet, vous devriez faire un mail-type que vous pourrez ensuite adapter rapidement. Par exemple, je gère en ce moment un concours de créations graphiques pour Noob et reçois une centaine d’emails par jour ; je les lis tous mais ne peux pas me permettre de rédiger une réponse pour chaque entrée. J’ai donc écrit un petit message (du type « merci de votre participation, nous l’avons bien prise en compte, vous aurez les résultats le XX ») pour ne pas passer des heures à répondre, tout en n’abandonnant pas complètement celui qui m’a envoyé la participation.

Prenez votre temps

Non, il n’est pas impoli de répondre après quelques jours, et il n’est pas non plus impoli de répondre en quelques phrases sans faire de roman. Ne vous sentez pas coupable, et ne vous sentez pas non plus visé quand on ne vous répond pas immédiatement !

Soyez précis

L’objet de votre message devrait être très clair, selon la forme Sujet-Priorité, par exemple « Exposé de droit – Pour samedi ». Ainsi, on sait immédiatement quoi en faire ! Si votre mail dure plus de 5 phrases, vérifiez que la première dise déjà de quoi va parler le message. Faites des phrases très courtes, évitez les couleurs et polices illisibles.

Faites des QCM

Plutôt que « comment puis-je aider ? », envoyez « je peux appeler, y aller directement ou ne rien faire, que préfères-tu ? » Votre destinataire n’aura même plus besoin de réfléchir et répondra donc bien plus rapidement !

Supprimez les CC

Ne répondez pas par défaut avec « Répondre à tous ». En général, vous n’avez besoin d’envoyer votre mail qu’à une ou deux personnes, et les 20 autres vous seront reconnaissantes de ne pas polluer leur boîte de réception.

Ne répondez pas « ok »

Non, sérieusement, c’est juste très frustrant. Ne le faites pas. Si vous n’avez rien d’utile à écrire, passez à l’email suivant !

Cet article vous a-t-il été utile ? Je vous invite à discuter d’autres astuces pour gérer ses mails dans la section Commentaires ci-dessous. N’hésitez pas non plus à partager ces conseils sur les réseaux sociaux – plus il y aura d’adhérents à cette « charte », plus votre boîte mail vous sera reconnaissante !

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Éteignez votre télévision

Eteignez votre télévision

On regarde rarement la télé en journée, et voilà le handicap premier qu’elle apporte : elle nous bouffe nos soirées avec des programmes souvent de qualité médiocre. On vous a probablement assez parlé des défauts de la télévision, mais un petit récapitulatif ne fera pas de mal pour atteindre ma conclusion : nous devrions tous nous débarrasser de notre télévision.

Vous savez probablement qu’il y a mieux à faire pour votre santé que d’être assis devant un écran. Et puis de toute façon, vous avez l’ordinateur et Réussir mes Études, pour ça, pas vrai ? En plus, on vous a probablement aussi bien assez rabattu les oreilles avec les problèmes de vue que la télévision peut entraîner, les problèmes de santé dus au fait de rester assis sur votre canapé… Je ne vous ferai pas un résumé complet, vous pouvez en trouver plein avec une petite recherche sur Internet.

Il y a toutefois un point sur lequel j’aimerais mettre l’accent : l’écoute passive. Sur Internet, vous faites au moins l’effort de cliquer, de sélectionner les pages qui vous intéressent. Devant votre télévision, l’activité maximale que vous fassiez est de changer de chaîne. Voilà pourquoi la télévision n’apporte rien de bénéfique à ceux qui la regardent.

J’ai moi-même arrêté de regarder la télé il y a près d’un an. J’ai regardé quelques films en famille depuis, mais c’est tout. Et comme je suis du genre à ne plus décrocher une fois installée sur le canapé, j’ai beaucoup plus de temps pour moi sans la télévision ! Si je veux regarder un film, je le télécharge loue sur un site de VOD. Et une émission ? En général, elles sont disponibles en replay sur Internet. L’avantage de cette méthode est la sélection : je ne vais pas traîner dans mon canapé à 15h devant Amour, Gloire et Beauté parce qu’il n’y a rien d’autre à la télé (arrêtez ce regard faussement innocent, nous l’avons tous fait un jour). Non, je ferai l’effort de sélectionner à l’avance ce qui m’intéresse, de choisir, de planifier, et toute cette démarche me fait gagner du temps et détruit un peu moins mon intellect que de comater devant l’écran.

Enfin, vous pouvez gagner une quantité impressionnante d’argent en abandonnant la télévision : 125€ de taxes par an, plus votre abonnement télévision, plus les éventuelles chaînes payantes, et je ne parle même pas de la consommation électrique de l’ensemble. Je vous accorde le prix de l’écran : vous pourrez brancher votre ordinateur dessus pour mieux profiter des films, si vous le souhaitez. Mais les économies seront immenses si vous vous décidez à enfin abandonner la télévision !

Cet article vous semble-t-il utile ? N’hésitez pas à en discuter via commentaire et à le partager sur vos réseaux sociaux préférés !

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Les 3 avantages de la feuille de brouillon

Les trois avantages de la feuille de brouillon

J’ai sur mon bureau un classeur rempli de feuilles imprimées d’un seul côté. Ordonnances périmées, sujets de contrôle du dernier semestre, enveloppes ouvertes, tout y est. C’est ma réserve essentielle de feuilles de brouillon, mon support d’écriture préféré (et le seul que ma petite sœur a le droit d’utiliser pour dessiner). Voici 3 raisons pour lesquelles vous devriez, vous aussi, vous convertir à la feuille de brouillon.

C’est écologique.

Sauvez les arbres, arrêtez d’utiliser des feuilles neuves et d’écrire deux phrases dessus. Maintenant, vous pouvez regarder votre pile de papiers (d’ailleurs, en les conservant, vous vous rendrez compte de la quantité astronomique de papier que vous gaspilliez jusqu’à aujourd’hui !), et en prendre un pour prendre rapidement des notes, au lieu de gâcher une nouvelle page. N’oubliez pas non plus de recycler vos feuilles de brouillons utilisées pour une empreinte écologique parfaite !

C’est économique.

Vous seriez surpris si vous décidiez de calculer votre budget papier sur un an, alors qu’en utilisant les polycopiés les plus inutiles de vos professeurs, les enveloppes déchirées et les tracts, vous avez une réserve entière de supports gratuit. Pourquoi gâcher votre argent à acheter du papier neuf alors que la société vous offre tout cela ?

Ça vous fait gagner du temps.

Sur un cahier ou sur une feuille neuve, on a le réflexe de faire attention à comment on écrit, parce que cela va rester un moment dans nos archives. On écrit forcément avec plus d’application… et on perd notre temps à mettre en forme un texte qu’on ne regardera qu’une ou deux fois par la suite. Une feuille de brouillon ne porte pas cette connotation de durabilité, et vous ne perdrez pas de temps à la présenter correctement.

Voici donc pourquoi vous devriez utiliser du papier brouillon pour le plus de tâches écrites possibles, plutôt que d’acheter des stocks de feuilles ou un cahier. Qu’en pensez-vous ? N’hésitez pas à exprimer votre opinion dans les commentaires ! Je vous invite également à partager cet article avec les plus pollueurs de vos amis, par le biais des réseaux sociaux et sans l’imprimer !

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N’ayez plus peur d’en faire trop

On vous parle de burnout, de stress, de surmenage… Allons, oubliez toutes ces craintes infondées, et n’hésitez plus à charger votre emploi du temps pour profiter un maximum de vos études !

On vous dit que vous allez craquer si vous prenez trop d’options et d’activités extra-curriculaires. N’oubliez jamais que bientôt, vous travaillerez 35h par semaine, au minimum (et encore, on n’est pas certains que les 35h soient encore d’actualité quand vous entrerez dans le marché du travail !). N’ayez plus peur de vos vingt malheureuses heures de cours, prévoyez vos heures de devoirs (une heure par jour devrait toujours être suffisante), casez vos repas et vos heures de sommeil, et il vous reste toutes les heures que vous pouvez mettre à profit pour faire ce que vous voulez !

Alors au lieu de traîner devant votre ordinateur, faites du sport, ou une option (avez-vous songé à apprendre une nouvelle langue ?), ou allez vous promener en ville ! Vous pouvez également faire comme beaucoup de vos collègues, et trouver un travail à temps partiel.

Une fois votre emploi du temps bien rempli, je vous conseille tout de même de garder une demi-journée parfaitement libre pour bien vous reposer… Ou terminer vos devoirs, selon votre efficacité !

N’ayez plus peur de poster trop de commentaires non plus : d’autres pourront s’inspirer de vos aventures si vous nous racontez ce que vous faites de votre temps libre ! Je vous encourage également à partager cet article sur vos réseaux sociaux préférés pour en faire profiter vos proches et faire taire tous ceux qui brandissent la menace du surmenage à tout va !