J’ai écrit un article nommé « 39 astuces pour maîtriser son budget étudiant » sur le blog La Ruche (blog du réseau social Wizbii). Si cela vous intéresse, je vous conseille donc d’aller le lire sur leur blog. Mon article porte sur les différentes façons d’économiser et de gagner de l’argent en étant étudiant : gérer son budget, limiter ses dépenses en boisson et nourriture, s’occuper de son ordinateur à moindre coût ou encore trouver un job étudiant adapté à votre emploi du temps et à vos compétences !
Note de juin 2020 : cet article est toujours pertinent en 2020, mais n’hésite pas à jeter un œil au guide complet du sommeil pour encore plus de conseils.
Le matin, je vous l’accorde, il est parfois difficile de ne serait-ce que ramper jusqu’à la tasse de café le plus proche. Quant à se lever tôt et être performant en cours de bon matin, ce n’est même pas envisageable. On perd donc une bonne partie de chacune des journées qui passe, juste parce qu’on n’est pas une personne du matin. C’est dommage, non ? Voici quelques avantages de se lever tôt, et quelques conseils qui vont avec.
La plainte qu’on entend si souvent, « je suis trop fatigué », n’est pas qu’une excuse pour pouvoir faire la grasse matinée. Des recherches ont prouvé qu’il existe des différences d’ordre biologique entre les lève-tôt, qui se réveillent à la même heure tous les matins et sont à leur plus haut potentiel de productivité à neuf heures, et les couche-tard qui préfèrent travailler la nuit tombée. Les changements de notre horloge biologique rendent de plus le fait de se lever à l’aube bien plus facile avec l’âge.
Mais il semblerait que l’avenir appartienne vraiment à ceux qui se lèvent tôt. Des études faites sur des étudiants américains ont montré que ceux qui se lèvent plus tôt sont globalement plus optimistes et plus efficaces que ceux qui se lèvent tard. D’autres études ont montré que les gens dits « du matin » travaillent plus dur et sont plus consciencieux que les couche-tard, et qu’ils ont en moyenne des notes plus élevées. C’est peut-être parce qu’ils ont moins tendance à être fatigués durant les premiers cours de la journée, ou parce qu’ils font moins de soirées, cela dit. Mais la science a prouvé que le sommeil aidait la mémoire et la concentration ; se coucher tôt pourrait donc vous aider à mieux réussir vos examens aussi !
En plus de cela, se lever tôt pourrait aussi être bon pour notre santé : des recherches britanniques ont remarqué que ceux qui se lèvent après neuf heures le week-end sont plus souvent stressés, en surpoids et déprimés que ceux qui se lèvent vers 7h.
Mais les couche-tard ont encore une chance de s’en sortir ! Il est assez simple de changer ses habitudes, en particulier en suivant ces quelques astuces :
Dormez assez. Cela peut paraître évident, mais si vous avez moins de sept heures de sommeil par nuit, vous ne vous reposez pas assez et forcément, votre réveil est plus compliqué.
Éteignez ordinateur et téléphone portable, et tout ce qui est électronique en général, au moins un quart d’heure avant de vous coucher. Lisez donc un livre à la place ; pourquoi pas un roman que vous vouliez lire depuis longtemps, mais pour lequel vous n’avez jamais eu le temps ?
Gardez le même rythme. Si votre alarme sonne à la même heure tous les matins, week-end inclus, ce sera plus facile pour vous que de déranger votre horloge biologique deux fois par semaine en vous levant plus tard.
Ne faites pas tout d’un coup. Levez-vous chaque jour 5 minutes plus tôt que la veille, jusqu’à atteindre votre objectif.
Laissez tomber le bouton « snooze ». Une fois que votre réveil a sonné, levez-vous, et c’est tout.
Habituez-vous à vous lever à l’instant où votre alarme sonne. On pourra pour cela s’inspirer du truc de Sylvain sur son blog, en prenant un créneau pour répéter la séquence suivante : se mettre en pyjama, se coucher, faire sonner son alarme moins de trois minutes plus tard, se lever immédiatement, effectuer sa routine matinale (douche, salle de bains, s’habiller, quelle que soit la chose que vous faites en premier en vous réveillant, c’est cela que vous devez commencer). En répétant assez ce geste, cela deviendra une habitude machinale et votre cerveau sera conditionné à suivre ce comportement au moment où votre réveil sonne.
Mettez une alarme agréable. Ne vous écœurez pas de votre chanson préférée comme ça, ce serait dommage – mais évitez toutes les sonneries par défaut franchement horribles qu’on vous propose généralement ! La radio fait un très bon réveil, en particulier si vous vous branchez sur une chaîne qui propose un point actu à chaque heure et que vous la réglez à XXh58, pour commencer la journée avec les informations.
Laissez entrer la lumière. Par exemple, dormez avec les volets ouverts. Votre corps réagira à la lumière naturelle et vous serez bien plus en forme que si vous êtes dans le noir total. Une autre idée ; commencez la journée en faisant un petit tour sur votre balcon ou à votre fenêtre pour vous réveiller agréablement et, nous l’espérons, au soleil !
Ne sautez pas le petit déjeuner. Une tasse de café ne suffit pas à vous réveiller, il faut manger aussi : une tartine, un yaourt, une pomme suffisent, mais prenez le temps d’avaler quelque chose avant de partir.
Faites du sport. Un peu de sport le matin, rien de mieux pour se réveiller. On vous conseille des abdos ou, si vous êtes motivé (encore une fois, il suffit de prendre l’habitude !), un petit footing pour que votre corps se mette en marche.
D’autres astuces ? N’hésitez pas à les partager avec la communauté Réussir Mes Etudes dans la section des commentaires, ci-dessous !
Vous en avez peut-être entendu parler, de cette fameuse « power nap » censée régler, comme par magie, tous vos potentiels problèmes. Merveilleux, n’est-ce pas ? Eh bien, aujourd’hui, parlons-en plus en détail. Et commençons par apprendre son nom français : la sieste éclair.
M’ouais, power nap, c’était plus classe, je vous l’accorde. Mais comme nous avons décidé, dans le dernier article de Réussir Mes Etudes, d’étendre notre vocabulaire et d’utiliser un français correct, il faudra continuer à utiliser l’expression « sieste éclair ».
Commençons donc par définir le concept de sieste éclair, avec notre cher ami Wikipédia, qui nous explique qu’il existe « plusieurs types de sieste : la micro-sieste, qui dure moins de 5 minutes, la sieste éclair, qui dure généralement entre 10 et 30 minutes, et la sieste royale, à partir d’une heure ». Alors ce qui définit la sieste éclair, c’est tout d’abord sa durée : entre 10 et 30 minutes, et surtout pas plus.
Mais attendez… J’oublie le plus important : pourquoi faire une sieste éclair ? Eh bien, si les petits enfants font la sieste l’après-midi, ce n’est pas très bien vu dans le monde adulte ; pourtant, même ceux qui dorment assez la nuit, et plus encore pour ceux qui manquent de sommeil, bien des gens sont victimes d’une augmentation naturelle de leur fatigue l’après-midi, environ 8 heures après s’être réveillés. Des études montrent que vous pouvez être plus alerte, réduire le stress, et améliorer vos réflexes et vos capacités intellectuelles, en faisant simplement une sieste en début d’après-midi. Voilà ce qu’on appelle une sieste éclair : une pause de moins d’une demi-heure pour plus de patience, moins de stress, un meilleur temps de réaction, une mémoire plus efficace, une plus grande productivité et une santé améliorée. Bref, la sieste éclair est une solution miracle pour se sentir mieux au quotidien !
Le sommeil est cumulatif : si vous dormez moins une nuit, vous le sentirez non pas le jour même, mais le lendemain. Et si c’est le cas plusieurs nuits d’affilée, vous créerez un déficit de sommeil, très négatif sur le plan physique autant que d’un point de vue psychologique. Cependant, il a été scientifiquement prouvé que 20 minutes de sommeil l’après-midi ont un effet plus bénéfique que 20 minutes de sommeil supplémentaires le matin. Il semblerait que le corps humain soit programmé pour une sieste, ce qui explique ce coup de barre vers 14h.
Pourquoi ne pas dormir plus d’une demi-heure ? Parce qu’au-delà de vingt-cinq minutes, vous entrez dans les phases de sommeil profond : le réveil est plus difficile, et il sera complexe de bien dormir la nuit suivante. Cependant, je vous conseille de régler votre réveil pour une demi-heure plutôt que vingt-cinq minutes : on ne s’endort pas immédiatement. Si vous allez vous coucher à 13h30, mettez votre alarme à 14h : selon votre fatigue, vous dormirez 5 à 25 minutes. Si vous ne vous endormez pas, ne paniquez pas : c’est juste que votre déficit de sommeil est très faible. Vous aurez cependant eu une pause et un moment de calme, ce qui fait tout autant de bien à votre organisme qu’une véritable plage de sommeil.
Vous avez déjà testé la sieste éclair – et vous avez réussi à vous lever après 25 minutes plutôt que de vous rendormir quatre heures ? Venez en parler dans les commentaires !
La productivité, c’est faire le plus de travail possible en y passant le moins de temps possible. Mais attention ; on ne parle pas de faire beaucoup de travail, mais de faire le travail avec l’impact le plus important. Par exemple, si vous pouvez recopier au propre dix pages de cours en une heure, c’est bien – si vous pouvez écrire une dissertation en une heure, même si elle ne fait que trois pages, c’est mieux. Voilà la productivité qui devrait être prioritaire, pas celle de la vitesse, de la résistance, ou de la discipline : sachez tout d’abord ce qui est productif et ce qui ne l’est pas véritablement !
Oubliez ce qui n’est pas important, sans culpabiliser
La première chose à faire, c’est de séparer ce qui est important de ce qui ne l’est pas. Le matin, je fais toujours une liste de choses à faire dans la journée, puis j’entoure ce que je dois absolument faire aujourd’hui pour enfin faire un classement par priorité de ce que je vais faire ce jour-là. Si j’ai du temps en plus, je ferai ce que je n’ai pas entouré. Mais je commence toujours par le premier point de ma liste, puis je passe au deuxième, et à chaque tâche je fais quelque chose d’un peu moins important, pour enfin finir par le superflu. Voilà comment je m’assure de ne jamais avoir de priorités laissées à l’abandon et de travail paniqué de dernière minute !
Il est très important de savoir dire ‘non’ pour ne pas s’encombrer de tâches sans importance, qui ne vous apportent rien de bon mais vous prennent beaucoup de temps. Pour tout ce que vous faites, demandez-vous s’il est vraiment important d’effectuer cette tâche, et surtout, de le faire maintenant. Et comment avoir si quelque chose est vraiment important ? Eh bien, c’est très simple : il vous suffit de savoir s’il vous permettra de vous rapprocher de votre objectif.
On peut diviser le travail en quatre sections différentes :
On remarque sur ce petit schéma que ce qui doit vous prendre le plus de temps, ce sont les tâches de la section 2, qui ne sont pas urgentes, mais mènent à des résultats importants. Les tâches de la première catégorie étant urgentes et importantes, il est logique qu’elles soient placées en premier. Ensuite, si et seulement si vous avez encore du temps libre et de la motivation, lancez-vous dans des tâches qui ne peuvent pas attendre, mais qui n’ont pas une grande importance !
Ne vous laissez pas non plus déconcentrer par des petites tâches qui arrivent pendant la journée. Au lieu de les faire immédiatement, demandez-vous si elles vous prendront moins d’une minute. Si oui, alors foncez. Si non, ajoutez-les à votre liste de choses à faire, à la bonne place, et concentrez-vous à nouveau sur ce que vous faisiez.
Faites des pauses au bon moment
La productivité, ce n’est pas travailler non-stop, comme une machine. Au contraire, quand vous faites cela, vous perdez rapidement de votre efficacité. Vous avez l’impression de réussir à effectuer de plus en plus de tâches, mais c’est tout à fait l’opposé : pour chaque heure supplémentaire que vous passerez à travailler, vous perdez un rendement important.
Le repos, c’est vital. Quel que soit votre objectif de travail, il y a des domaines de votre vie qu’il ne pourra pas combler : l’amour, la famille, la santé… Par « repos », j’entends donc tout domaine de votre vie qui n’est pas relié à votre travail et à vos études. Prenez des pauses dans vos études – voyez cela comme une méthode de « reculer pour mieux sauter ».
Si vous travaillez sans faire de pauses, votre productivité va diminuer progressivement, jusqu’à approcher zéro. Par contre, si vous faites des pauses, vous pourrez reprendre au plus haut niveau ensuite, et rester toujours efficace. Il vous suffit de savoir doser vos temps de travail et de divertissement ! Pour cela, je vous conseille en particulier la technique Pomodoro.
Débarrassez-vous des distractions
Les distractions, évidemment, vous empêchent d’être très productif. Il peut s’agir d’une musique, d’un ordinateur trop lent, d’appels indésirables sur votre téléphone, de Facebook, de Twitter… Comment éviter d’être distrait ? C’est tout bête, mais il n’existe qu’une seule solution : ôtez les distractions, ou débrouillez-vous pour qu’elles ne puissent plus vous déranger. Par exemple, quand je travaille sur une traduction, pour ne pas me laisser déconcentrer par ma musique (que j’écoute uniquement sur Spotify, ce qui signifie que j’ai toujours besoin d’une connexion Internet) ou des mails entrants, je coupe Internet sur mon smartphone et sur mon ordinateur le temps d’atteindre l’objectif que je me suis fixé pour cette période.
Soyez moins joignable
Le monde d’aujourd’hui est magique : il suffit d’un SMS, d’un appel, d’un message Facebook, d’un email pour joindre quelqu’un. Conclusion, il est presque impossible de se concentrer sans qu’on veuille vous contacter. Quand vous travaillez, par exemple, placez une liste blanche sur votre téléphone pour n’être joignable qu’en cas d’urgence (par vos parents et une personne fiable de votre classe par exemple) tant que vous devez vous concentrer sur ce que vous faites. Fermez votre boîte mail et ne vérifiez vos messages qu’une fois par jour. Vos interlocuteurs s’habitueront vite au délai de réponse, ne vous inquiétez pas !
Automatisez et filtrez tout
Je vais rapidement couvrir la technique que j’utilise pour être dérangée le moins possible, dans le domaine des emails en particulier. A vous de l’adapter pour qu’elle vous convienne !
J’ai une liste blanche de quatre adresses (ma famille, mon petit ami, mon partenaire de TD et mon boss) dont je reçois les emails immédiatement. Tous les autres sont directement triés dans des dossiers adaptés (si aucun dossier ne correspond à un mail reçu, il part dans un dossier « Divers ») sans passer par la boîte de réception. Il faut donc que je me connecte à Gmail et que j’ouvre la page pour voir si j’ai reçu des messages, qui apparaissent comme non lus dans les libellés concernés. Si je regarde le libellé « Université » chaque jour, le dossier « Chaînes Drôles » reçoit à peine une visite par mois : je peux donc gérer très efficacement mes mails et ne les voir que quand je décide que j’ai le temps de les regarder et d’y répondre.
Avez-vous d’autres habitudes à partager avec nous pour gagner en efficacité quand vous travaillez ? Nous vous écoutons dans les commentaires ! Si vous avez trouvé cet article utile, merci de le partager avec d’autres personnes qu’il pourrait aider. Tweetez-le, aimez-le sur Facebook, partagez le lien, il vous suffit d’un clic sur les images ci-dessous et ça rend un grand service à vos amis et au blog !
Régulièrement, les revues étudiantes et autres journaux d’élèves publient des articles sur la malbouffe des étudiants. En fait, en anglais, il existe même une expression spécifique, « Freshman 15 », pour désigner les sept kilos pris en moyenne par les étudiants de première année dans les universités américaines. L’étudiant moyen, au budget très limité, préfère le dépenser pour se faire plaisir que pour acheter des légumes ; il se nourrit de pâtes, et quand il sort, de pizza ou de hamburgers.
Selon une étude des universités de Paris, 71% des étudiants interrogés (environ 2000 personnes) mangent trop de calories par jour et 19% n’en mangent pas assez. 10% seulement de la population étudiée dans cet article ont un apport calorique équilibré, soit 2400 calories par jour (avec une marge de plus ou moins 10%).
Conclusion ? La plupart des étudiants mange mal, et vous aussi, très probablement. Pourtant, un étudiant qui se nourrit bien aura des meilleurs résultats, sera moins souvent malade, sera de meilleure humeur… Que de bénéfices pour un peu de temps passé à cuisiner et d’argent dépensé en fruits et légumes plutôt qu’en pâtes et pizzas surgelées.
La plupart des étudiants invoquera le sujet de l’argent pour expliquer le fait de ne pas bien se nourrir. Manger bien, ça coûte beaucoup – ou en tout cas, c’est ce que beaucoup de personnes pensent, et un petit budget équivaut généralement à de la nourriture de basse qualité pour des étudiants. Mais est-ce vrai ? J’ai souvent vu des étudiants manger un Mars entre deux cours ; ce n’est pas cher et ça ne demande aucune préparation. Bon. Mais un Mars, ça coûte 1€ (du moins, aux distributeurs de ma fac). Et il y a bien d’autres alternatives, beaucoup plus bénéfiques pour la santé et délicieuses, pour beaucoup moins cher. Pour un euro, vous pouvez acheter un bon kilo de bananes ou de pommes, de quoi vous offrir un goûter tous les jours pendant environ une semaine. En passant des produits tout prêts à des fruits pour vos collations et vos petits déjeuners, vous ferez déjà d’importantes économies et pouvez également vous passer de pas mal de compléments alimentaires, vitamines, et cafés, puisque vos fruits vous apportent de l’énergie (je pense en particulier aux oranges et pommes vertes) et des vitamines.
Un autre problème pour les étudiants, ce sont les apports en fer et en protéines. Pour éviter les carences en viande (puisqu’on a tendance à confondre viande rouge et protéines), les étudiants vont se faire un steak haché. Cuit avec beaucoup de matières grasses, et accompagné de ketchup, histoire de gâcher tout ce qui pouvait être bon à la santé dans ce steak. Alors certes, il y a des protéines et du fer dans la viande rouge, mais il existe d’autres solutions tout à fait viables. L’absorption du fer d’origine non animale est principalement augmentée par la vitamine C (multiplication de l’assimilation par 3 si vous mangez une orange en plus de votre repas) et la cuisson (elle passe de 6 à 30% pour les brocolis cuits à la vapeur, par exemple). Quelques solutions bon marché et riches en fer, par exemple, seront les algues (en particulier la spiruline), les graines de tournesol et de sésame, les lentilles, les épinards, les noix, la menthe… Vous pouvez donc trouver des substituts très intéressants et pour tous les goûts pour le fer comme pour les protéines (pour lesquels on conseillera en particulier les sardines, le brocoli, la spiruline à nouveau, et l’association céréales-légumineuses (ex. des lentilles et du riz).
N’oubliez donc pas qu’aller à la fac et devenir étudiant, ce n’est pas forcément dire adieu à la moindre notion de diététique. Vous pouvez continuer à bien manger et à rester en forme sans avoir à prendre un crédit sur vingt ans pour faire vos courses ! Une nourriture saine peut coûter moins cher que des plats tout prêts, et est souvent facile à conserver longtemps. Mieux encore, beaucoup de fruits et légumes n’exigent aucune préparation !
Plus que cinq articles dans la série des trente Fandom Workouts que je vous propose au mois d’octobre ! Il vous faudra parfois des haltères pour certains des exercices ; si vous n’en avez pas et que vous n’avez rien non plus pour les remplacer, je vous conseille de remplacer l’exercice par 5 pompes.
Aujourd’hui, un film culte, qui dure beaucoup trop longtemps et où on est bien d’accord, Jack avait la place de tenir sur la planche (ou alors, il aurait pu balancer Rose dans l’eau, on n’aurait pas plus souffert, en toute honnêteté.) : Titanic.
N’hésitez pas à en discuter, à donner votre ressenti sur l’entraînement ou à proposer des variantes dans les commentaires en bas de page !
Quand quelqu’un dit que Jack est en troisième classe : 30 secondes de planche
Quand on voit une chambre : 15 fentes côté
Quand Rose a une nouvelle robe : 15 fentes avant
Quand on voit le bateau de l’extérieur : 10 squats
Quand on voit les parents de Rose : 5 pompes
Quand Rose et Jack s’en vont d’un endroit en secret : 20 abdos
Quand on voit le grand escalier : 20 levers de haltères
Quand on voit le collier : 30 sauts en étoile
N’hésitez pas à tester et à nous dire dans les commentaires le total que vous avez atteint pour ce film – et félicitations, vous avez largement la force nécessaire pour balancer Rose dans l’eau et prendre sa place sur la planche. Ca fait partie des choses qu’il faut savoir faire dans la vie, on ne sait jamais.
Voici le vingt-cinquième article de la série des trente Fandom Workouts que je vous propose au mois d’octobre. Il vous faudra parfois des haltères pour certains des exercices ; si vous n’en avez pas et que vous n’avez rien non plus pour les remplacer, je vous conseille de remplacer l’exercice par 5 pompes.
Aujourd’hui, une série qui règne sur Tumblr : Supernatural !
N’hésitez pas à en discuter, à donner votre ressenti sur l’entraînement ou à proposer des variantes dans les commentaires en bas de page !
Quand un Winchester est au téléphone : 30 secondes de planche
Quand les Winchester ont un moment digne des pires films d’adolescentes : 15 fentes côté
Quand Dean boit : 15 fentes avant
Quand Dean parle de tarte : 10 squats
Quand quelqu’un croit que les frères Winchester sont un couple gay : 5 pompes
Quand un des frères porte un uniforme : 20 abdos
Quand Dean dit « son of a bitch » : 20 levers de haltères
Quand un des frères couche avec un personnage quelconque : 30 sauts en étoile
N’hésitez pas à tester et à nous dire dans les commentaires le total que vous avez atteint pour un épisode, voire une saison. Et si vous avez tenu tout le long, félicitations, vous avez une résistance à la peur que je n’ai jamais réussi à obtenir !
Voici le vingt-quatrième article de la série des trente Fandom Workouts que je vous propose au mois d’octobre. Il vous faudra parfois des haltères pour certains des exercices ; si vous n’en avez pas et que vous n’avez rien non plus pour les remplacer, je vous conseille de remplacer l’exercice par 5 pompes.
Aujourd’hui, un dessin animé dont vous avez forcément au moins entendu parler : Bob L’Eponge !
N’hésitez pas à en discuter, à donner votre ressenti sur l’entraînement ou à proposer des variantes dans les commentaires en bas de page !
Quand Carlo pleure : 30 secondes de planche
Quand Bob fait une obsession sur quelque chose : 15 fentes côté
Quand quelqu’un va se coucher : 15 fentes avant
Quand Carlo part au travail : 10 squats
Quand Bob fait cuire un pâté de crâbe : 5 pompes
Quand Mr Krabs parle d’argent : 20 abdos
Quand Patrick fait quelque chose de bête : 20 levers de haltères
Quand Spongebob va à l’auto-école : 30 sauts en étoile
N’hésitez pas à tester et à nous dire dans les commentaires le total que vous avez atteint pour un épisode. Et si vous avez tenu pour tous les épisodes de Bob L’Eponge… Eh bien, j’étais sur le point de vous féliciter, mais vous êtes sûrement trop vieux pour lire ça, maintenant.
Voici le vingt-troisième article de la série des trente Fandom Workouts que je vous propose au mois d’octobre. Il vous faudra parfois des haltères pour certains des exercices ; si vous n’en avez pas et que vous n’avez rien non plus pour les remplacer, je vous conseille de remplacer l’exercice par 5 pompes.
Aujourd’hui, un de mes films préférés et à voir d’urgence si ce n’est pas déjà fait : Scott Pilgrim VS The World !
N’hésitez pas à en discuter, à donner votre ressenti sur l’entraînement ou à proposer des variantes dans les commentaires en bas de page !
Quand Scott se bat : 30 secondes de planche
Quand les Sex Bob-ombs jouent : 15 fentes côté
Quand Ramona ou Stacey est sarcastique : 15 fentes avant
Quand Stacey est censurée : 10 squats
Quand Ramona fait du roller : 5 pompes
Quand Wallace trouve un nouveau partenaire : 20 abdos
Quand on parle de gay ou de lesbienne : 20 levers de haltères
Quand Scott et Ramona s’embrassent : 30 sauts en étoile
N’hésitez pas à tester et à nous dire dans les commentaires le total que vous avez atteint pour le film. Et si vous avez tenu tout le long, félicitations, vous êtes capable de combattre sept ex maléfiques !
Voici le vingt-et-unième article de la série des trente Fandom Workouts que je vous propose au mois d’octobre. Il vous faudra parfois des haltères pour certains des exercices ; si vous n’en avez pas et que vous n’avez rien non plus pour les remplacer, je vous conseille de remplacer l’exercice par 5 pompes.
Aujourd’hui, un grand classique de la série télé : NCIS !
N’hésitez pas à en discuter, à donner votre ressenti sur l’entraînement ou à proposer des variantes dans les commentaires en bas de page !
Quand Gibbs donne une calotte à quelqu’un : 30 secondes de planche
Quand Tony et Ziva flirtent : 15 fentes côté
Quand Tony se moque de McGee : 15 fentes avant
Quand Ziva prononce mal un mot : 10 squats
Quand Gibbs fait un bisou à Abby : 5 pompes
Quand Abby se comporte comme une petite fille : 20 abdos
Quand Tony se fait attraper en train de mentir : 20 levers de haltères
Quand quelque chose de techniquement improbable se passe : 30 sauts en étoile
N’hésitez pas à tester et à nous dire dans les commentaires le total que vous avez atteint pour chaque épisode, ou une saison. Et si vous avez tenu sur toute la série, bravo, vous êtes prêt à sauter d’un bâtiment à l’autre, vous aussi !