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Organisation

Utilisez le meilleur secteur de votre chambre pour étudier

Après avoir rectifié la disposition de votre chambre, et avoir ensuite donné un coup de boost à vos études en activant le Sud-Est le 13 avril dernier, je vous propose aujourd’hui de nous intéresser aux autres secteurs académiques pour cette année.

Car l’activation du 13 avril dernier était un One Shot. Ce que nous voulons aujourd’hui, c’est utiliser tout au long de la période des examens les bons secteurs pour prolonger l’action bénéfique de l’activation précédente.

Mais vous pouvez également l’utiliser si vous n’avez pas procédé à l’activation du 13 avril!

Petit rappel: comment identifier les secteurs de ma chambre?

C’est tout simple: il vous faut une boussole (la boussole native de votre téléphone portable fera parfaitement l’affaire). Vous vous positionnez au centre de votre chambre, vous repérez la porte d’entrée, vous tournez pour lui faire face, et vous lisez la direction indiquée sur la boussole. Il vous suffit ensuite de reporter les directions sur le plan de votre chambre. Pour vous aider, voici une infographie que je vous invite à partager sur Pinterest.

Comment identifier les secteurs en Feng Shui avec une simple boussole?

Le meilleur secteur académique cette année est…

Cette année, et cette année seulement, car ces secteurs changent tous les ans, le secteur à utiliser pour favoriser l’acquisition de connaissances ou de compétences est le Sud. Personnellement, bien que je sois diplômée depuis un petit temps déjà, j’use et j’abuse de ce secteur.

Car quand on y réfléchit bien, tout ce que nous voulons faire, entreprendre, mettre en place, dépendant de comment nous allons nous y prendre. Et ce “comment s’y prendre” se résume à savoir comment faire, à identifier quelles sont les bonnes choses à faire pour y arriver.

Apprendre, et apprendre encore, voilà le véritable secret de ceux qui réussissent!

Comment faire pour utiliser le Sud?

C’est d’une simplicité enfantine: il vous suffit de vous y installer aussi souvent que possible pour étudier, réviser, résumer, ou même dormir! Car en Feng Shui, ce qui est important, c’est de s’imprégner de l’énergie présente dans le secteur. Imaginez que vous prenez un bain: plus vous vous y prélassez, plus vous avez la peau ridée. Eh bien, c’est pareil lorsque vous occupez le secteur Sud, même en dormant. Comme vous y passez beaucoup de temps, vous vous imprégnez de l’énergie qui s’y trouve.

Facile, le Feng Shui, n’est-ce pas?

La prochaine fois, nous parlerons des carrières les plus appropriées en fonction de votre date de naissance. Car oui, réussir ses études, c’est avant tout étudier un sujet qui nous passionne ou qui est taillé sur mesure pour nous, qui utilise naturellement nos compétences natives. Et le Feng Shui peut nous aider à le découvrir!

A très bientôt,

Virginie de Zéfirs

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Sport et Santé

Accro au smartphone : combattez l’addiction avec ces 4 conseils

Êtes-vous accro à votre smartphone ? Le déverrouillez-vous en permanence par réflexe, ou « juste pour voir » si des notifications seraient arrivées pendant les 5 secondes écoulées depuis l’allumage précédent ? La simple idée de ne plus avoir de batterie vous fait-elle hyperventiler ?

Pas de panique.

Pourquoi l’addiction au smartphone est dangereuse pour vos études

Un téléphone, c’est une stimulation constante. Des jeux, Internet, Twitter, Snapchat, un like sur Instagram, une notification pour une réduction ASOS, un message Facebook sans intérêt qui vous coupe en pleine activité… ça ne s’arrête jamais.

Et parce que ça ne s’arrête jamais, vous ne pouvez jamais être pleinement productif-ve. Vous passez une journée entière à regarder des notifications ou des posts qui arrivent en permanence… et vous ne vous concentrez pas sur ce qui importe. D’un coup, c’est déjà la fin de la journée !

L’université du Texas a découvert que le simple fait d’être près de votre smartphone vous rend moins intelligent. Incroyable, non ?

 

Heureusement, vous pouvez faire beaucoup de choses pour guérir de votre addiction au smartphone.

Première astuce : loin des yeux, loin du coeur

Evidemment, la distraction vient très souvent des notifications. Quand vous entendez votre téléphone sonner ou vibrer, votre cerveau hurle : « REGARDE VITE ! ». La solution la plus simple ? Ne pas se laisser tenter.

Désactivez vos notifications. Mettez votre téléphone en mode silencieux, et éloignez-le physiquement de vous : dans une autre pièce, ou dans un tiroir auquel vous n’avez pas accès sans vous lever. Il faut plus de 10 secondes pour prendre votre smartphone, que ce soit à cause d’un cadenas, d’un changement de pièce ou de la fouille d’un sac à main.

De cette façon, avec le mode silencieux et sans avoir le téléphone sous les yeux, vous n’aurez pas la tentation de regarder en permanence.

Deuxième astuce : un bon vieux réveil

Pour beaucoup d’entre nous (oui, j’en fais partie !), le smartphone sert de réveil. Du coup, la première chose qu’on fait le matin, c’est regarder son téléphone. Et puis bon, on l’a dans la main… Allez, ça ne coûte rien de regarder ses notifications au passage, pas vrai ?

Si.

Ca vous coûtera rapidement cinq ou dix minutes de votre journée, et surtout, des minutes précieuses, où vous n’êtes pas encore assez réveillé-e : ça peut avoir un vrai impact sur votre subconscient, et casser votre productivité pour la journée entière. Tout ça pour cinq minutes le matin !

Troisième astuce : désinstaller, désinstaller, désinstaller

 

Vous vous ennuyez, alors vous prenez votre smartphone. Pas de notifications, bon. Allez, dans le doute, vous ouvrez Instagram. Il y aura sûrement des jolies photos à regarder.

C’est machinal.

Désinstallez toutes les applications sur lesquelles vous allez « quand il n’y a rien de mieux à faire ». Oui, ça demande plus de discipline que les deux astuces précédentes. Mais ça a aussi un bien plus grand effet ! Je suis bien plus productive depuis que j’ai désinstallé Twitter et Facebook de mon téléphone. (Bon, ça, c’est un mensonge : avant, je lisais mes fils d’actualité en allant au travail, maintenant, je me connecte depuis l’ordinateur du travail. Ne le dites pas à ma supérieure.)

Dernière astuce : acquérir une brique

Vous n’y arrivez toujours pas ? J’ai encore mieux pour vous. Faites l’acquisition d’une « brique », un téléphone pas du tout smart avec un clavier en T9 et un écran qui fait la taille d’un timbre. Pas d’accès à Internet, pas d’appareil photo, pas de jeux, RIEN.

 

Et en plus, vous aurez de la batterie pendant des jours et des jours et des jours. C’est bizarrement agréable !

Quand j’ai passé mes concours d’école de commerce, en 2013, j’ai eu la chance de perdre mon smartphone : j’ai dû me débrouiller pendant 3 semaines avec un vieux téléphone en noir et blanc dépanné par ma mère. Je n’ai jamais été aussi productive, mais aussi sereine. Personne ne me dérangeait. Plus de notifications inutiles, plus de pubs intrusives, plus de « oh non, j’ai plus de batterie ! », plus de « je vais faire un petit tour sur Twitter, ça fait 3 minutes que je révise, j’ai bien mérité une pause… ». C’était génial. Je pense sincèrement que je n’aurais pas aussi bien réussi les concours si j’avais eu mon téléphone habituel.

Encore maintenant, je garde ce vieux téléphone tout pourri chez moi. Quand je dois partir plus de trois jours, je préfère le prendre avec moi, comme il a une semaine de batterie. Quand je suis en vacances, ça me fait du bien de ne pas pouvoir regarder LinkedIn, mon blog et mes emails.

Il y a beaucoup de personnes accro à leur smartphone. La bonne nouvelle, c’est que vous n’avez pas à en faire partie. Vous pouvez vous libérer des smartphones et réussir vos études et votre vie avec les quatre conseils ci-dessus.

Avez-vous des conseils à partager sur l’utilisation des smartphones ? Peut-être une application qui, au contraire de tout ce que j’ai dit, peut aider les gens à réussir leurs études ?

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Organisation

Comment améliorer sa productivité en période de concours ?

Je voulais partager aujourd’hui des petites astuces qui me sont bénéfiques dans la vie en général, mais surtout dans les périodes plus intenses de révisions pour des concours ou examens.

Travailler consciemment

Pour moi c’est une étape essentielle quand on commence à réviser, et qui permet de ne pas foncer dans le tas au hasard. Travailler consciemment, c’est d’abord se rappeler pourquoi on entame ces révisions, pour quel objectif, pour quelle(s) école(s)… Ça parait bête mais se recentrer sur soi-même et sur ce qu’on veut accomplir redonne un regain de motivation, et permet de voir au-delà du travail intense des révisions. A partir de là, on peut établir un planning de révisions, qui doit être ni trop strict, ni trop ambitieux. Il faut être également conscient qu’on ne pourra jamais tout revoir en profondeur, et accepter de devoir faire des concessions. Essayez de vous y tenir au maximum même si vous le réadapterez au fur et à mesure.

Soigner et varier son espace de travail

Ranger m’aide clairement à clarifier mon esprit : le fait de le faire premièrement, et ensuite créer un espace de travail propre et pas trop encombré permet de faire place nette pour le travail, un espace qui reste aussi agréable au regard, et personnel. Avoir une phrase inspirante en face de soi n’est pas non plus si stupide. Adaptez bien la luminosité, et si vous travaillez beaucoup sur un ordinateur, activez le mode « éclairage nocturne » pour soulager vos yeux de la lumière bleue. Après, à vous de choisir si vous aimez travailler en silence, avec de la musique, avec des ambiances sonores…

Ne pas s’isoler

Quand on révise intensivement, seul-e, le risque est de vite tourner en rond face à son bureau. Pour l’éviter, ne vous isolez pas (à part si cela vous convient évidemment), restez en communication avec vos amis proches, votre famille et surtout les camarades qui sauront vous comprendre et avec qui vous pouvez trouver de l’aide et du soutien. Accordez-vous des pauses aussi pour sortir, rien que dehors déjà, pour marcher et vous aérer la tête. Si vous travaillez mieux en groupe, organisez des séances de révisions communes en bibliothèque, ou si vous ne pouvez pas, cherchez des « working sessions » sur Youtube, où vous pouvez travailler de concert avec quelqu’un, même si ça reste virtuel, cela reste motivant.

Entretenir un mode de vie sain

Je ne suis évidemment pas la première à le dire, mais prendre soin de son corps et de ses besoins fait un bien immense à l’esprit, particulièrement quand on lui en demande plus que d’habitude. Essayez d’instaurer des habitudes qui vous détendent et vous reboostent. Prenez le temps, le matin, de vous réveiller, de vous étirer, de faire une petite séance de yoga, d’aller courir… Le sport aide beaucoup à retrouver un équilibre et se reconnecter avec son corps. Pour les repas, prenez également le temps de cuisiner un peu plutôt que de vous rabattre sur un plat préparé. Privilégiez votre sommeil la nuit, mais également n’hésitez pas à faire des micro-siestes (de 20 minutes par exemple), quand vous vous sentez fatigués ou lassés de travailler. Les micro-siestes m’ont énormément aidée à être plus efficace en prépa et pour mes concours. En résumé, ne vous sentez pas coupable à prendre un peu de temps pour vous et à en faire des habitudes appliquées quotidiennement !

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Motivation

Donnez du temps au temps

Qu’est-ce que c’est que ce titre ? Qu’est-ce que ça veut dire ?

Est-ce que vous avez déjà eu cette sensation d’impatience ? Que les études n’avançaient pas assez vite ? Que vous ne compreniez plus pourquoi vous étiez là ? Que votre vie (sur les bancs de l’école) était ennuyante ? Que vous ne progressiez pas assez vite ?

Tout n’arrive pas du jour au lendemain. Les résultats, les réussites, la reconnaissance. Je pensais que si. Ou plus exactement, je pensais que, pour moi, si. Ce que les autres ont mis des années à apprendre et à réaliser, je peux, moi, le faire en 6 mois. D’ailleurs, en 6 mois de stage, c’est bon, je connais tout d’une boite, et je ne veux pas y rester, j’ai déjà fait le tour. Certaines études estiment qu’une personne de notre génération (en gros, génération Y et Z), en moyenne, va travailler dans 13 entreprises différentes dans sa vie professionnelle. Soit une différente tous les 3 ans. Mon père, lui, il en a fait une en… 25 ans.

Revenons au sujet. Prenez du temps. Prenez votre temps. Alors oui, on se met la pression pour avancer plus rapidement, faire des doubles ou triples licences, enchainer, parce qu’on veut tout voir et tout savoir. C’est très bien de faire plein de choses différentes, à deux conditions :

  1. savoir se poser régulièrement pour savoir où on en est
  2. savoir se poser régulièrement pour savoir où on va

Sans rigoler, posez-vous. Prenez ce moment pour faire le point. Savoir ou vous en êtes. Vous rappelez cette conversation avec telle personne, les envies que vous aviez en début d’année, ce que tel prof vous a dit, ce que telle émission, telle vidéo vous a appris. 2h, rien que pour vous, au moins une fois tous les 3 ou 4 mois, ce n’est pas de trop.

Pas la peine de réinventer l’eau chaude, de tout remettre en cause, se faire des plans sur la comète. Prenez simplement rendez-vous avec vous-même, avez votre vous d’aujourd’hui et celui de demain.

Voici quelques questions qui peuvent vous aider :

  • Quelles sont les personnes que j’ai rencontrées et qui peuvent m’aider dans mon développement étudiant et professionnel ?
  • Quelles sont les personnes que j’aimerais rencontrer pour mon développement étudiant et professionnel ?
  • Qu’est-ce que j’ai appris ces derniers mois sur mes volontés futures ?
  • Est-ce que j’ai ressenti une émotion ou une sensation particulière en m’imaginant dans telle ou telle situation plus tard ?
  • Pourquoi je fais ce que je fais aujourd’hui ?
  • Pourquoi suis-je dans cette école, ce stage ?
  • Pourquoi est-ce que j’étudie ce que j’étudie ?
  • Est-ce que quelque chose me plait de faire lorsque je me projette ?

Et puis pour ceux d’entre vous qui rentrent dans la vie professionnelle, je vous conseille de lire cet article que j’ai écrit sur comment réussir à se démarquer en entreprise quand on est jeune !

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Gestion du stress

Comment faire pour trouver un métier qui vous rend heureux ?

Qu’est-ce qui vous tient à coeur ?

Trouver un travail qui nous permette de nous épanouir demande en tout premier lieu de réaliser une introspection pour savoir ce que nous adorons faire. Adorons-nous prendre la parole de manière improvisée devant un public ? Ou encore, attendons-nous avec la plus grand impatience le moment de cuisiner le repas ?

Je parle ici de réelle passion ! De quelque chose qui vous fait frissonner, perdre la notion du temps, dont l’idée vous met en joie, vous motive au plus haut point.

Quel est le lien entre épanouissement personnel et professionnel ?

Maintenant que vous savez ce que vous aimez faire, je dois vous faire part de la citation suivante de Jim Rhon :

Votre niveau de succès dépassera rarement votre niveau d’épanouissement personnel car le succès est une chose que vous attirez selon la personne que vous devenez.

Aussi, je vous encourage à lire et à mettre en application le livre d’Hal Elrod qui vous donne une méthode pour réussir à se développer personnellement et à prendre le contrôle de sa vie.

Connaissez-vous vos croyances limitantes ?

Dernier point et non des moindres, sachez qu’il existe plein de choses que vous ne connaissez pas ! Par exemple, le Docteur Bob Childs exerce à la fois les métiers de luthier et de psychologue. Vous pouvez donc exercer plusieurs métiers à la fois.

Dans la même veine, le métier idéal n’existe pas ! Il existe plein de métiers qui peuvent vous correspondre. Plein de métiers dans lesquels vous pourrez faire ce que vous adorez. À ce sujet, je vous conseille vivement de regarder le TEDx talk de Celeste Headlee.

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Cliquez-ici pour découvrir ma carrière en main, un super blog qui donne des astuces pour bien s’orienter professionnellement et réussir à obtenir un emploi qui nous plaît !

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Motivation

Les deadlines, un mal nécessaire

“Il n’y a qu’une seule chose de sûre, à la fin, la mort l’emporte. Je vais mourir, et vous aussi.”

Jean d’Ormesson, auteur de ces mots nous rappelle une fatalité universelle, la vie est une tragédie car nous sommes condamnés à nous éteindre tôt ou tard. Et pourtant, nous sommes bien là, insouciants, naïfs, bref vivants. Alors pendant ce laps de temps, – trop court – qu’est l’existence, exploitons chaque instant au service de notre bonheur.

Le bonheur, ce sentiment de pleine satisfaction issu de réactions chimiques de notre cerveau est atteignable. Mais qui dit atteignable ne dit pas qu’il est à portée de main, ni même une évidence pour tous. À mon sens, une partie du bonheur se trouve dans la réalisation d’objectifs.

Se fixer des objectifs est la clé pour avancer dans la vie et s’accomplir, que ce soit sur le plan personnel ou professionnel. Si vous n’avez ni but ni rêve, vous êtes condamnés à subir votre vie. Et si vous lisez cet article, c’est que vous ne voulez pas de ça.

Intéressons nous au cycle de vie des objectifs, qu’ils soient à court, moyen ou long terme, le schéma reste similaire : détermination (de l’objectif), analyse des possibilités, prise de décision et accomplissement – ou non. Avec toujours des ajustements liés à un environnement évolutif, et deux variables : le temps et le volume de travail, selon le degré d’ambition de l’objectif.

Sur le papier la recette est simple, mais dans les faits nous faisons face à un mal invisible, qui nous retarde et dans lequel nous nous complaisons avec plaisir : la procrastination.

La procrastination, ou l’art de remettre à plus tard ce qui peut être fait maintenant est pour le moi le talon d’Achille de l’Homme du 21ème siècle. Certes il n’a pas commencé à procrastiner il y 20 ans, néanmoins avec l’ascension du tandem internet – high tech, cette tendance n’a cessé de progresser car nous sommes sollicités à chaque instant (stratégie des notifications). Sans motivation profonde, il devient difficile de reprendre le contrôle et se dégager du “temps de cerveau disponible” dédié à la réalisation de nos objectifs.

Fact : selon l’étude britannique de Tecmark, nous “checkons” notre smartphone en moyenne 221 fois par jour.

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C’est pourquoi il est essentiel de se fixer des deadlines. Une deadline, où date butoir en Français est une échéance à laquelle vous devez avoir accompli une mission, un travail précis. Écrite noir sur blanc ou dans votre tête, elle peut être de deux natures :

  • Imposée par les autres : Je dois rendre tel devoir maison avant telle date.
  • Imposée par vous-même : Je dois terminer mon CV pour le 03/10/N.

Ces deadlines, vous les côtoyez déjà au quotidien et elles n’ont sûrement pas une place chère à votre coeur vu qu’il s’agit de contraintes. Elles sont d’autant plus détestables dès lors qu’elles vont sont imposées, car pouvant déboucher sur des sanctions. (Si ce n’est pas fait, alors…)

Pourtant, si vous ressassez votre passé et les deadlines que vous avez tant bien que mal respectées, je suis sûr qu’avec le recul vous vous dites que c’était un mal nécessaire. Certes dans l’instant, cette pression peut être facteur de tensions, de difficultés. Mais au final vous avez gagné : expérience, connaissances, compétences, autant de retombées positives qui vous serviront toute votre vie à atteindre vos objectifs.

Soyons d’accord : Ne rien faire parfois, c’est génial. Mais ne rien faire du tout, c’est être condamné à se réveiller un jour et se dire “Merde, j’aurais dû le faire”.

Tout est question de mesure, de motivation et de prise de conscience. Vous en êtes capable !

Pour aller plus loin, je vous recommande vivement cet article sur “l’économie de l’attention”.

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Organisation

Comment utiliser le Feng Shui pour booster ses études

Nous avons vu dans l’article précédent comment organiser votre chambre d’étudiant. Mais le Feng Shui, ce n’est pas que ça! Bien utilisé, le Feng Shui est comme le dopage: il vous donne un avantage (un peu déloyal, c’est vrai) sur vos pairs. Sauf qu’il n’y a pas de contrôle, qu’il ne nuit pas à la santé et que vous pouvez vous en servir tant que vous voulez pour atteindre vos objectifs!

Entre là où vous êtes aujourd’hui, et là où vous voulez être dans 5, 10 ou 15 ans, il y a tout ce que vous allez faire (ou ne pas faire) et qui va vous rapprocher (ou pas) de votre but. Le Feng Shui peut vous aider en attirant à vous les personnes qui vont pouvoir vous y aider ou en vous amenant les meilleures opportunités pour façonner votre futur.

Mais attention: le Feng Shui ne vous dispense pas de fournir un effort! Vous pouvez avoir le meilleur Feng Shui du monde, il ne vous sert strictement à rien si vous restez assis chez vous à vous tourner les pouces.

L’acuponcture de nos maisons

Si vous voulez réussir vos études, y’a pas de secret, il faut bosser!

Mais certains devront probablement bosser plus que d’autres. En effet, si vous avez du Singe dans votre date de naissance, c’est-à-dire si vous êtes né l’année du Singe (1992, 2004) ou le mois du Singe (en août), ou le jour du Singe, ou à l’heure du Singe (entre 15 et 17h), alors vous êtes gâtés par les étoiles académiques cette année! Vous aurez la capacité d’assimiler de nouvelles connaissances et de développer de nouvelles compétences. Profitez-en, car apprendre est le meilleur investissement qui soit!

Pour tous les autres, voici un secret exclusif que je vous livre ici: le vendredi 13 avril 2018, entre 15h30 et 16h30 précisément, activez le secteur Sud-Est de votre chambre. C’est l’équivalent d’un shot de produit dopant! 😉 Prenez ensuite bien soin de rester le plus longtemps possible dans la pièce, pour bien vous imprégner de cette énergie… et pourquoi pas commencer à étudier?

Comment activer le secteur Sud-Est?

Il vous suffit d’y placer un grand vase, attention il doit soit être tout droit, soit évasé au-dessus, de minimum 70cm de haut et de le remplir au ¾ d’eau à l’heure de l’activation. Et c’est tout!

Tout comme l’aiguille d’acuponcture que l’on retire à la fin de la séance, vous pourrez retirer le vase au bout de 2 à 3 semaines.

Maintenant que les fondations sont correctes, et que vous avez pu booster votre “chance académique”, je vous parlerai dans le prochain article des meilleurs secteurs à utiliser pour étudier cette année-ci.

A très bientôt!

Zéfirs

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Motivation

Comment je suis devenu bon en cours

Ma motivation

Mon parcours scolaire jusqu’au bac est moyen. J’ai eu des difficultés en 6ème et en 5ème, beaucoup de difficultés en 4ème et en 3ème, un redoublement en seconde et un bac sans mention. Et pourtant, 2 ans après mon bac, j’intégrais une des meilleures universités de France en Finance, l’Université Paris Dauphine. Que s’est-il passé pendant ces deux années ? Est-ce que je suis subitement devenu un génie tête de classe ? Ou les autres sont-ils devenus moins bons ?

Aujourd’hui, je partage avec vous les facteurs clés qui m’ont aidé à passer d’élève « très moyen » à élève « tête de classe ». Je réalise finalement que la solution pour moi (et qui malheureusement ne convient pas forcément à tout le monde), a été d’apprendre une méthode.

Vous êtes tous capables d’augmenter de façon très significative vos notes

Je ne dis pas que c’est facile, mais c’est possible. Et souvent il ne faut pas passer plus de temps à travailler que ce que vous faites déjà. C’est là que ça devient très intéressant. Il s’agit d’apprendre à travailler pour être plus efficace. Apprendre à apprendre.

La méthode, il n’y en a pas une qui corresponde à tout le monde de la même façon. Votre propre méthode va évoluer, et vous ne travaillerez pas de la même façon cette année et dans 2 ans.

Le premier élément fondamental pour progresser en classe, c’est de trouver une bonne raison d’être là. Quelle est votre motivation ? Qu’est-ce qui vous pousse à passer 5 jours par semaine assis à écouter des professeurs ? Et là, je vois bien la réponse que vous voulez me donner :

« Je n’ai pas le choix » « c’est obligatoire, si je pouvais je ne serais pas ici » « je ne sais pas du tout pourquoi je suis là et je n’ai pas de motivation ». Oui, ok, vous avez raison. C’est aussi ce que je me disais.

Maintenant réfléchissons différemment. Changeons notre manière de voir les choses.

Dans TOUS les cas, vous allez étudier pendant encore plusieurs années. Vous n’avez pas le CHOIX. En France, c’est comme ça. C’est très bien d’ailleurs, même si ça vous embête un peu 😉

Alors, soit vous subissez encore pendant des années, le train assis sur une chaise, sans comprendre pourquoi vous êtes là ;

Soit vous vous trouvez une bonne raison d’être là, une raison qui vous motive, et qui n’appartient qu’à vous. Ce n’est pas la raison de vos parents, ni de vos amis, ni de votre grand-mère. C’est votre propre motivation, et elle n’appartient qu’à vous.

Je vais en cours tous les jours car je veux ouvrir le champ de mes possibles

Voici des exemples :

  • J’étudie car je suis curieux et que je veux apprendre des nouvelles choses toutes ma vie
  • J’étudie car je souhaite travailler dans tel domaine et que cela me permettra d’obtenir les diplômes nécessaires
  • J’étudie pour gagner de l’argent plus tard
  • J’étudie car j’aime être reconnu
  • Je vais en cours tous les jours car je veux ouvrir le champ de mes possibles
  • Je vais en cours car je veux connaître ce qui me plaît

Je vous propose par la suite un tout petit exercice, qui pourrait vous aider. Personnellement, je le fais régulièrement et il m’aide beaucoup !

Prenez 10 minutes pour vous. Plutôt en silence, ou avec une bonne musique.

  1. Prenez une feuille blanche et noter en gros le titre de la feuille : Mes motivations pour étudier en février 2018.
  1. Ecrivez tout ce qui vous motive, sans réfléchir si c’est bien ou pas. Ecrivez les mots auxquels vous pensez. Ecrivez les phrases auxquelles vous pensez. Ne cherchez pas à écrire bien, mais écrivez beaucoup. Apprendre, s’amuser, découvrir, j’aime les personnes avec qui je suis en cours, cours de sport, avoir de bonnes notes, comprendre comment fonctionne le monde, résoudre tous les problèmes…
  1. Classez ce que vous venez d’écrire, pour essayer d’en sortir 2 ou 3 idées clefs, en faisant des phrases

Mes motivations personnelles pour étudier cette année sont… (À vous de jouer !)

Si cet article vous a plu, vous pouvez également lire celui que j’ai écrit sur Découvrir ses passions plus rapidement.

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Organisation

Le Feng Shui dans ma chambre

La chambre à coucher est le deuxième endroit le plus important de la maison, après la porte d’entrée. Car nous y passons beaucoup de temps lorsque nous nous y reposons – en moyenne 8h par jour – et que, par conséquent, nous sommes longtemps soumis à l’influence de l’énergie (Qi) qui y réside. En Feng Shui, nous portons donc une attention toute particulière à la qualité du Qi présent dans une chambre..

Imaginez que vous prenez un bain: plus vous vous y prélassez, plus vous avez la peau ridée. Eh bien, c’est pareil dans votre chambre. Comme vous y passez beaucoup de temps, vous vous imprégnez de l’énergie qui s’y trouve. Il vaut donc mieux qu’elle soit positive!

Avoir une chambre avec un bon Feng Shui, c’est prendre une longueur d’avance… en ne faisant rien d’autre que … dormir! Le rêve quoi!

Voici quelques conseils simples à mettre en place dès aujourd’hui pour y améliorer votre Feng Shui.

Disposition

Il est très important que votre tête de lit soit adossée à un mur plein. Donc pas devant une fenêtre, ni au milieu de la pièce, ni dans un coin. C’est la règle d’or. Et si vous ne pouvez appliquer qu’un seul conseil, c’est celui-ci.

S’il y a des poutres apparentes au plafond, ou bien un endroit où le plafond est plus bas, il vaut mieux éviter de dormir dessous. Si votre chambre se situe dans les combles, je vous conseille de mettre votre tête de lit sous l’endroit où le plafond est le plus haut. De même, dormir sous une mezzanine n’est pas non plus recommandé.

feng shui dans ma chambre : ne pas dormir sous une mansarde

La circulation du Qi

Pour la visualiser, imaginez un courant d’air: le Qi entre par la porte et ressort par les fenêtres. Etre exposé sur ce trajet peut entraîner des problèmes de santé, parfois assez sérieux. Naturellement, votre lit ne doit pas se trouver sur ce trajet non plus, ou alors vous risquez de souffrir de problèmes qui touchent les endroits de votre corps qui se trouvent sur ce chemin: maux de têtes, jambes lourdes, maux d’estomac, etc. J’ai récemment fait changer l’emplacement du lit d’une petite fille qui se plaignait assez souvent de maux de tête. Son lit se situait pile entre la porte et la fenêtre. Mais depuis qu’on l’a déplacé, elle ne se plaint plus de rien..

Mais tout le monde n’a pas le luxe de pouvoir changer ainsi la disposition de sa chambre. Donc, si vous ne pouvez pas vous permettre de changer votre lit de place, alors je vous conseille de vous « protéger » en plaçant un paravent qui va détourner le flux de circulation du Qi.

Télé, ordinateurs, miroirs

L’ordinateur est devenu un élément indispensable de nos vies, et en tant qu’étudiant, on le met souvent dans sa chambre. C’est tellement plus pratique! Hélas, télévisions, ordinateurs et miroirs ne sont pas des accessoires appropriés dans une chambre. Ils sont à bannir de nos zones de repos, car ils sont trop Yang (le Yang, c’est l’activité), or dans une chambre, on a besoin de repos et donc de Yin. Dans ce cas, je vous conseille de les couvrir avant de vous endormir. Vous pouvez utiliser un essuie, ou un drap, ou tout autre joli morceau de tissu… peu importe, l’essentiel est de cacher l’écran ou le miroir.

C’est d’ailleurs ce que je fais lorsque je dors dans une chambre d’hôtel, car j’ai remarqué que j’avais beaucoup plus de mal à m’endormir si je ne couvrais pas la télé.

Voilà pour les conseils de base. Le Feng Shui fonctionne en réalité par strates. Les fondations doivent être correctes avant de pouvoir aller plus loin.

Dans les prochains articles, je vous donnerai des conseils plus spécifiques pour personnaliser d’avantage le Feng Shui de votre chambre, de votre bureau ou de votre appartement.

A très bientôt!

Zéfirs

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Motivation

Les bonnes raisons de faire du bénévolat lorsque l’on est étudiant.e

Les études universitaires sont très différentes du secondaire. À la fac, les licences comptent pour la plupart beaucoup moins d’heures obligatoires que le lycée. Ça peut être déboussolant, mais c’est aussi une formidable opportunité d’avoir enfin le temps de faire plein de choses !

Et pour ça le mieux et le plus simple c’est souvent de les faire à plusieurs, par exemple en rejoignant une association. Quels que soient tes centres d’intérêts, il y en a pour tout les goûts : jeu de rôles, informatique, AMAP, Bureau Des Étudiants, associations caritatives, de lutte contre les discriminations, de théâtre, musique, dessin, sport, pour faire la fête, aider les plus démunis… Tu as le choix !

Il n’est pas rare qu’en début d’année la ville et l’université organisent des forums des associations pour que celles-ci puissent présenter leurs activités. C’est le meilleurs moment pour découvrir celles qui t’intéresse, et en même temps en jauger l’ambiance. Tu verras, en général c’est très convivial et les bénévoles seront très content.e.s si tu leur poses des questions, donc n’hésite pas 😉

Ceci dit, soyons clairs, simplement payer ta cotisation ne t’amènera pas des dizaines d’ami.e.s, des compétences et connaissances, un changement de point de vue et de l’émulation personnelle. Non, pour ça il va falloir t’investir. S’investir, ça ne veux pas forcément dire prendre un poste au bureau décisionnaire de l’association immédiatement hein -quoi que si tu en as envie essaye- mais tu peux t’investir dans une association de dizaines de manières différentes. Par contre, toutes demanderont au minimum de prendre connaissance du fonctionnement de l’association, ainsi que de ses membres.
Je te laisse maintenant découvrir pourquoi l’engagement associatif c’est vraiment un truc cool !

Rencontrer de nouvelles personnes

Ça paraît peut-être évident, mais ça ne l’est en fait pas pour tout le monde. Les associations ce sont avant tous des lieux où l’on peut trouver d’autres personnes qui ont un centre d’intérêt en commun avec nous !

Il devient alors beaucoup plus facile d’engager la conversation et d’échanger à ce sujet. Si tu es timide pas de panique, tu as tout ton temps, rien ne presse. Viens une fois ou deux aux activités proposées, observe les gens et soit quelqu’un.e t’adressera naturellement la parole, soit il te faudra aller vers l’un.e d’eux. Je te recommande l’un.e des animateur.rice.s ou des habitué.e.s, qui sauront te mettre à l’aise. Iels pourront te renseigner et te présenter aux autres quand tu te sentiras prêt.e.

Si tu n’oses toujours pas, tu peux proposer ton aide, elle sera toujours la bienvenue ! Il y a des centaines de choses à faire et si toutes sont importantes, certaines ne nécessitent pas forcément une grande connaissance de l’association et/ou de compétences particulières… Juste du temps et de la motivation. Tu peux par exemple proposer ton aide pour ranger le local, distribuer des flyers, ou toute autre activité dans laquelle tu te sens à l’aise. Faire est une bonne solution pour passer outre la timidité, et en plus les gens te seront reconnaissants de donner un coup de main !

Une fois la glace brisée, tu verras que c’est plutôt facile d’échanger et de te faire des ami.e.s ; vous partagez tou.te.s au moins un intérêt commun. Certain.e.s trouvent même l’amour dans des associations 😉

Apprendre des choses

Eh oui ! C’est l’avantage des associations : ce sont des lieux où tu vas pouvoir apprendre plein de choses, Que ce soit aux travers des discussions avec les autres membres, par l’expérience, lors de recherches pour un projet ou bien de formations, tu vas forcément découvrir des choses.

Bon, si tu as déjà la science infuse ce paragraphe ne te concerne pas, mais pour tous les autres c’est l’un des gros bonus de ce temps que tu donnes. Et comme tu apprends en contexte, les informations que tu obtiens resteront plus facilement dans ta mémoire. Pour comprendre quelque chose, rien ne vaut d’en faire l’expérience.

Et puis au sein des associations tu peux apprendre des choses que tu ne verras jamais dans tes études, mais qui te serviront dans le monde professionnel ou dans ta vie de tous les jours. Le truc c’est d’y réfléchir et de te demander régulièrement « qu’est-ce que j’ai appris ? ».

Acquérir des compétences professionnelles

J’en parlais un peu plus haut : rien ne vaut l’expérience. Et justement, dans une association tu vas acquérir tout un tas de compétences allant de la prise de parole en public, à la gestion d’équipe en passant par l’organisation d’événements, le démarchage ou encore la diplomatie.

Quelque soit l’association choisie, à partir du moment où tu participes aux activités, tu vas pouvoir faire différentes choses. Tu n’es d’ailleurs pas obligé.e de savoir faire ces choses avant de proposer ton aide, et même au contraire ! Je te conseille de diversifier au maximum tes expériences en essayant de trouver des tâches et activités qui sortent de ta zone de confort. Parce qu’il ne faut pas que tu oublies que tu es bénévole, ce qui veut dire que tu as tout à fait le droit de ne pas savoir et/ou de faire des erreurs.

Par contre, je te conseille tout de même de prévenir que tu ne sais pas faire quelque chose et que tu as envie de découvrir, plutôt que de te lancer tête la première. Ça sera plus confortable pour tout le monde et on pourra te montrer toutes les subtilités de la tâche. De la même façon, si tu fais une erreur ou te retrouves bloqué.e n’hésite pas à demander de l’aide.

Une fois ces savoir-faire et savoir-être acquis naturellement en faisant les choses et en posant des questions, arrive le plus difficile : il va falloir que tu identifies ces compétences et la façon de les valoriser. Je sais que cette étape est souvent très compliquée car on a du mal à être objectif.ve avec soi-même, et qu’on a souvent tendance à se dévaloriser. C’est pour ça que j’y consacrerai le prochain article, histoire d’en parler plus longuement.

Sortir de sa zone de confort

Nous avons tou.te.s une certaine zone de confort autours de nous. Nos petites habitudes, notre café favori, nos ami.e.s de toujours… toutes ces choses qui rassurent mais aussi qui font qu’une certaine routine s’installe. S’engager dans une association, c’est sortir de sa routine transports, fac, BU, maison, et mine de rien c’est super important.

Sortir de sa zone de confort c’est rencontrer de nouvelles personnes qui ne pensent pas forcément comme nous, vivre de nouvelles situations, apprendre à faire face à l’inconnu, voire se confronter à ses limites. Et tout ça le monde associatif le favorise. Bien sûr vous pouvez tout à fait le faire en vous inscrivant en Erasmus par exemple, ou d’un milliard d’autres façons, mais là on parle de l’engagement associatif et c’est un excellent terrain d’aventures.

Tu verras qu’entre tes relations avec les membres, celles avec les autres associations et les structures administratives rien ne se passe jamais comme prévu… et c’est tant mieux ! Car ça nous oblige a faire preuve d’initiative, à coopération pour trouver une solution ou contourner la difficulté.

Et puis il y a aussi le fait qu’une association c’est avant tout un groupe de personnes, d’individualités avec chacune ses objectifs propres, ses contraintes et sa façon de voir le monde. Certaines seront idéalistes, d’autre fatalistes, d’autres encore voudront se mettre en avant ou au contraire se cacher et puis toutes auront une façon différente de penser. De la confrontation de ces individualités vont naître des idées et des réflexions nouvelles. Parfois allant dans le sens des personnes, parfois à l’opposé, mais c’est aussi ce qui fait la richesse d’une association : c’est un lieu de débat.

Il reste encore des tas d’autres bonnes raison de faire du bénévolat lorsqu’on est étudiant,e, comme pour se rendre utile tout simplement, mais je pense que celles que j’ai développées sont vraiment celles qui m’ont le plus motivée à m’investir dans des associations. J’espère que mon article vous aura plu, et n’hésitez pas à me faire part en commentaire des raisons qui vous ont motivé.e.s en tant que bénévole !

Le mois prochain nous parlerons de comment valoriser cette expérience dans un contexte professionnel, afin de trouver un débouché concret à tout ce temps que l’on consacre aux autres, à une passion ou à une cause.