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#WhatsYourBoldIdea Concours Go Green in the City pour ingénieur·e·s

Cet article est rédigé dans le cadre d’un partenariat commercial avec Sqore.

Étudiant·e en ingénierie, vous voulez sauver le monde ? Parfait ! J’ai un concours à vous proposer. Schneider Electric organise le concours Go Green in the City, pour créer les villes de demain dans le respect de l’environnement et des personnes.

Inscription
(jusqu’à la fin du mois de février)

Les catégories

Le concours Go Green in the City est divisé en cinq catégories de participation.

  • No Boundaries
  • Sustainability & Inclusivity
  • Digital Economy
  • Smart Manufacturing & Supply Chain
  • Cyber Security

Le déroulement du concours

Inscrivez-vous pendant le mois de février 2018 et travaillez pour prévoir le pitch du siècle avant le 19 mai, sous la forme d’un tout petit document à rendre. Faites tout votre possible pour être finaliste pour présenter votre projet complet aux États-Unis en octobre, avec voyage tous frais payés à la clé !

Pendant toute la durée des demi-finales du concours Go Green in the City, chacune des 10 équipes finalistes sera accompagnée par une personne experte du domaine et faisant partie de l’entreprise Schneider Electric. C’est l’occasion d’apprendre beaucoup de choses sur le thème que vous avez choisi et d’améliorer votre réseautage professionnel !

Ce qu’il y a à la clé

Les finalistes de Go Green in the City auront droit à un voyage tous frais payés aux États-Unis pour payer leur projet, et pourront démarrer leur carrière chez Schneider Electric !

Il y a trois prix à gagner, chacun d’entre eux étant accompagné d’une récompense financière :

  • GoGreen Champs Award : classement général
  • Women in Business Award : classement féminin
  • Social Media Award : classement marketing

N’attendez plus :

Inscrivez-vous maintenant

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Réseaux sociaux et networking

Pas d’expérience pro ? Mes astuces pour être crédible quand même

Sur un de mes forums préférés, il y a une liste d’offres de stage ou d’emploi ridicules. Du stagiaire à 520€ par mois dont on attend au moins deux stages précédents dans le même domaine au développeur qui doit maîtriser parfaitement cinq langages sans aucun rapport entre eux et réparer les ordis des collègues au passage pour à peine plus du SMIC, en passant par le junior en marketing dont on exige au minimum 5 ans d’expérience, on retrouve une grande problématique commune : quand on est jeune et sans expérience, on n’est pas crédible.

Vous apprenez plus vite, vous êtes motivé·e, vous faites des efforts énormes qu’aucun senior ne ferait ? Oui, mais voilà : vous n’êtes pas crédible. Pas assez crédible pour un bon stage, où on ne prendra pas d’élèves de première année, puis pas assez crédible pour un premier emploi parce qu’il fallait un bon stage, et puis pour le deuxième, il faut au moins 5 ans d’expérience et vous n’avez travaillé qu’un an et demi… La question se pose toujours.

Voici quelques conseils pour améliorer la situation quand vous manquez d’expérience dans le domaine qui vous intéresse.

Faites preuve de détermination

Ne sous-estimez pas l’image que donne une personne déterminée, volontaire et persévérante. Si on vous donne une mission désagréable, faites-la rigoureusement : on appréciera votre bonne volonté et vous aurez une mission pour vous récompenser de votre motivation. Si quelqu’un de plus expérimenté a besoin d’un coup de main, aidez cette personne à réussir et elle vous en saura gré. Au début de votre carrière, il est important de ne pas dire “non” (sauf si c’est vraiment, vraiment foireux) et de saisir chaque opportunité de s’illustrer.

Communiquez le plus possible avec votre équipe, rendez tous vos travaux à l’heure et de qualité constante (il vaut mieux travailler toujours à 80% que parfois à 100% et parfois à 60%). Ne vous engagez pas à quelque chose que vous ne pourrez peut-être pas faire correctement, prévenez avant et permettez-vous de refuser ce qui relève de l’impossible. Si vous pensez que vous aurez une difficulté, discutez-en immédiatement avec les personnes qui sont concernées, et n’hésitez pas à poser des questions quand il vous manque des ressources.

Profitez de votre expertise académique

Vous êtes en formation, ou vous en sortez à peine : votre potentiel est énorme, et vous pouvez montrer plus d’expertise dans les sujets récents que beaucoup de personnes plus expérimentées.

Par exemple, aujourd’hui, j’ai une newsletter hebdomadaire qui recense les nouveautés et bons conseils du marketing digital, mon domaine de prédilection : elle montre ma connaissance du domaine, me prend deux heures par semaine environ, et surtout, elle compense les lacunes des autres.

Transformez-vous en une source d’information inépuisable dans un domaine que les autres ne connaissent pas forcément très bien, et construisez-vous une expertise autour de ce domaine très spécifique.

Trouvez votre “avantage concurrentiel”

Dans quels domaines travaillez-vous mieux, dans quels environnements ? Dans quel cadre avez-vous reçu les félicitations du corps enseignant ou de supérieur·e·s hiérarchiques ?

Identifiez vos points forts, et servez-vous en pour vous démarquer des autres relativement facilement. Utilisez aussi votre histoire : si vous postulez pour travailler sur le marché des adolescents et jeunes adultes, par exemple, parlez de votre capacité à communiquer avec ces personnes facilement, en raison de la faible différence d’âge. En communication et marketing, c’est un atout non négligeable.

Ne vous condamnez pas à n’être bon qu’à ça et ne négligez pas vos “vraies” compétences, mais pour un tout début de carrière, il peut être très utile d’utiliser votre passé et votre appartenance à certains groupes sociaux pour trouver les offres qui vous correspondent le mieux.

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Organisation

Top 4 des meilleurs endroits pour réviser

Vous avez bien compris à quel point il est important d’avoir un bon espace de travail, confortable, bien rangé et qui vous met dans une ambiance studieuse ? Très bien ! Mais peut-être n’avez-vous pas encore trouvé où réviser. Pas d’inquiétude : dans cet article, je vous parle des quatre endroits où il fait bon travailler. L’un d’entre eux vous conviendra sûrement !

1. La bibliothèque

C’est mon choix favori, et même maintenant que j’ai fini mes études et trouvé un travail, je continue à réserver certains samedis pour y écrire mes articles.

Que vous ayez choisi un CDI, une bibliothèque municipale ou une bibliothèque universitaire, l’intérêt principal est toujours le même. Vous avez beaucoup d’ouvrages à portée de main pour vous aider à trouver les informations qu’il vous faut, et en plus vous travaillez dans le calme : on ne peut pas vraiment en demander plus pour avoir les bases d’un bon endroit de révision.

La bibliothèque présente aussi d’autres avantages, qu’on peut avoir tendance à oublier.

D’abord, elle est souvent grande : vous avez la place d’étaler vos livres, cahiers et stylos et de poser votre bouteille d’eau en plus. Elle est souvent peu fréquentée aussi : vous n’aurez pas des personnes qui passent en permanence devant vous, ce qui pourrait vous déconcentrer. Enfin, dans les bibliothèques municipales et universitaires, vous aurez presque toujours un accès au wifi.

Une astuce pour réussir : trouvez un coin complètement désaffecté de la bibliothèque. Dans ma bibliothèque municipale, c’est l’espace “politique, sociologie et religions”. Dans mon ancienne bibliothèque universitaire, je montais au dernier étage pour réviser au milieu des ouvrages d’histoire de l’art en langues étrangères. Bizarrement, le rayon n’était pas très populaire : résultat, un cadre de travail parfait pour moi.

2. Une salle de classe

Remarquez que je n’ai pas dit “un bout de couloir”.

Dans certains établissements, vous pouvez demander à investir une salle vide pour réviser au calme et dans des bonnes conditions. Dans certains endroits, on aura même des tuteurs qui assurent une permanence dans une salle, par exemple pour les matières scientifiques : profitez-en ! Réviser, ça ne se fait pas forcément dans le silence et la solitude.

Un avantage de ce type de révisions est que vous vous mettez en conditions d’examen. Votre mémoire sera stimulée par le fait d’être dans une salle de classe, et le jour de l’examen, les informations reviendront beaucoup plus facilement que si vous avez appris votre cours ailleurs.

Une astuce pour réussir : utilisez le tableau blanc, c’est plus agréable qu’une feuille de brouillon !

La bibliothèque, un des meilleurs endroits pour réviser

3. D’autres endroits du campus

J’ai trouvé, quand j’étais étudiante, une toute petite cafétéria du CROUS qui était ouverte toute la journée. Presque personne n’y mettait les pieds en dehors des repas : c’était une occasion en or de réviser au calme, avec du thé en libre accès et de quoi grignoter quand j’avais besoin d’une pause. En plus, comme c’était sur le campus, j’avais un bon accès à Internet.

Un bout de pelouse ou une salle associative feront aussi très bien l’affaire !

Une astuce pour réussir : ça ne convient pas à tout le monde, parce qu’il y a souvent plus de monde que dans les deux premières solutions. D’un autre côté, si vous arrivez à réviser au soleil, vous boostez votre santé en plus de vos notes.

4. Ailleurs, mais toujours pas chez vous

Dans certains cas, vous préférerez peut-être étudier complètement ailleurs. Par exemple, si vous habitez loin du campus et qu’il n’y a pas de bibliothèque à proximité, peut-être vaut-il mieux trouver un café pas trop peuplé ! Je vous conseille de rester à l’extérieur de votre appartement pour deux raisons :

  • Avoir l’impression d’aller “au bureau”, ça vous met directement dans l’ambiance nécessaire pour vous concentrer

  • Rester chez vous toute la journée, c’est moyen pour votre moral et pour votre santé.

Cela dit, si vous y tenez vraiment, vous pouvez au moins lire cet article pour limiter les dégâts.

Comment bien réviser chez soi ?

Vous avez l’occasion de vous déplacer un peu, de prendre un peu d’air frais en marchant, et en plus, il y a des endroits très agréables pour travailler comme vous voulez, comme on l’a vu !

Quel est votre endroit préféré pour réviser ?

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Administration

Réussir Mes Études a besoin de vous pour ses prochains articles !

Je cherche des personnes qui voudraient partager leurs expériences et leur expertise avec la communauté de Réussir Mes Études. Que vous soyez en train d’étudier (à partir de la quatrième) ou vouliez partager vos conseils avec plus de recul (quel que soit votre secteur), votre profil m’intéresse !

Les personnes contributrices s’engagent à participer au programme de février à juillet 2018. Pendant cette période, je vous demande d’écrire un article par mois.

-> CANDIDATEZ ICI ! <-

Nos sujets principaux

  • Réussir sa vie
    • L’actualité du monde étudiant
    • Gestion du stress
    • Organisation, rangement
    • Gestion du temps
    • Bien-être psychologique
    • Santé et sport
    • Garder la motivation
    • Gérer son budget
  • Réussir ses examens
    • Méthodologie
    • Conseils de révisions
    • Méthodes de prise de notes
    • Prise de parole en exposé et en oral
  • Réussir ses premiers pas professionnels
    • Réseautage
    • Personal branding
    • Recherche de stage
    • Recherche d’emploi
    • Petit boulot à côté des études
  • Des sujets spécifiques à votre filière, par exemple :
    • Réussir ses études de médecine
    • Réussir sa prépa
    • Réussir le bac
    • Choisir ses études après le bac
    • Comprendre ParcoursSup et optimiser son dossier
    • Étudier à l’étranger

Et bien sûr, si vous voulez parler de quelque chose qui n’est pas dans la liste, n’hésitez surtout pas !

Comment ça fonctionne

Les personnes sélectionnées seront mises en avant dans une page dédiée de Réussir Mes Études. Chaque personne enverra six articles, soit un article par mois, de février à juillet 2018. Les articles peuvent être au format texte, infographie (image) ou vidéo.

Les personnes sélectionnées auront :

  • Leur profil mis en avant sur le site Réussir Mes Études
  • Leur biographie et leur photo, avec liens vers les réseaux sociaux voulus, sur chaque article publié
  • La mise en avant des articles sur Facebook, LinkedIn et la newsletter du blog
  • Une belle expérience pour peu d’efforts, à présenter à vos futurs employeurs !

Ça vous intéresse ? N’hésitez pas à envoyer votre profil avant le 31 janvier et je vous recontacterai le premier février.

Des questions ? Contactez-moi.

-> CANDIDATEZ ICI ! <-

Vous avez jusqu’au 31 janvier 2018.

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Réseaux sociaux et networking

Deux emails par jour pour un réseau en béton

Envie de réussir votre future carrière, de vous distinguer dès vos études dans le domaine qui vous passionne ? C’est souvent difficile de se détacher du lot quand on est encore étudiant et qu’on manque d’expérience. Heureusement, il n’y a pas de secret à la réussite personnelle : tout dépend du réseautage que vous faites.

Mon astuce ? Envoyer deux emails par jour. Pas besoin de plus pour des résultats impressionnants !

À qui ?

Faites une liste de personnes qui peuvent vous apporter quelque chose. En voici dix pour commencer :

  1. Vos professeur·e·s du passé et d’aujourd’hui
  2. Des camarades de classe qui ne sont plus dans votre promo
  3. Des personnes rencontrées pendant les événements de networking auxquels vous avez participé
  4. Des expert·e·s du domaine qui vous intéresse (l’objectif n’est pas d’avoir une réponse, mais bien d’en chercher une !)
  5. Des personnes dont vous avez lu une interview intéressante récemment
  6. Des personnes qui font un métier qui vous intéresse, trouvées par exemple sur LinkedIn
  7. Des anciens tuteur·ice·s de stage
  8. Des personnes qui vous ont donné de l’inspiration, des informations, de la motivation, dans un livre ou un article de journal par exemple
  9. Des personnes qui font de la recherche dans un domaine qui vous intéresse
  10. Des personnes trouvées au hasard dans l’annuaire des alumni de votre établissement
  11. Allez, un bonus : moi !

On arrive rapidement à une bonne base de données de personnes intéressantes : il suffit de se creuser un peu la tête. Je vous rappelle qu’il ne vous faut que deux emails par jour, ce qui ne fait même pas deux personnes, parce que vous pourriez vous lancer dans une conversation suivie avec certaines !

Avec l’habitude et avec ces conversations, vous pourrez passer d’ici quelques mois à une personne inconnue et une “habituelle” chaque jour au lieu de deux premiers contacts. Mais ne passez jamais à deux conversations suivies sans vous tourner vers d’autres gens, on perdrait tout l’intérêt de cette méthode de réseautage.

deux emails par jour pour un networking parfait

Envoyer quoi ?

L’objectif de ces emails est d’améliorer votre réseautage, vous l’avez compris. Vous voulez vous distinguer dans un domaine ?

Posez des questions sur ce domaine.

Attention, pas n’importe quelle question !

L’objectif n’est pas de faire perdre du temps à la personne que vous contactez. Vous devez poser une question qui montre votre engagement personnel, vos réflexions, et dont on ne trouve pas la réponse dans une recherche Google.

Si vous voulez tester des choses différentes, vous pouvez essayer de :

  • Poser des questions sur la personne, par exemple en proposant de faire une interview pour un blog auquel vous participez.
  • Envoyer un article intéressant à la personne, dans un domaine différent du sien, en expliquant comment vous faites le lien entre les deux et comment la personne peut apprendre de l’article que vous lui envoyez.
  • Poser des questions sur le travail de la personne. En général, tout le monde se fait un plaisir d’accompagner un·e étudiant·e qui se pose des questions sur son orientation en parlant de son quotidien au bureau, donc profitez-en pour démarrer la conversation.
  • Commencer en parlant de cet article et en expliquant que chaque jour, vous trouvez deux personnes intéressantes à qui envoyer un mail. C’est une très bonne technique pour briser la glace, mais bien sûr, ne vous contentez pas de ça, enchaînez sur quelque chose d’intéressant !
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Motivation

Réussir vos études en 2018 avec une évaluation annuelle

Non seulement l’année 2018 a commencé, mais en plus, je suis de retour de vacances. Je n’ai donc plus aucune excuse pour attendre : il faut que je fasse mon évaluation annuelle de 2017.

Et vous aussi.

Pourquoi évaluer son année ?

Vivre la vie de jour en jour, pourquoi pas ? C’est même plutôt bien, et je peux le recommander à la plupart des étudiants que je commence à accompagner, qui sont un peu trop angoissés par leurs notes pour penser à profiter de la vie.

Mais je pense sincèrement qu’il est très bon de se poser devant un cahier une fois par an, et de faire une belle évaluation de votre année. On n’y parlera pas que d’études, loin de là, et je vais d’ailleurs vous raconter pas mal de choses sur plusieurs aspects de ma vie, personnelle comme professionnelle. C’est mon choix que de rendre ça (en partie) public : à vous de voir si vous faites le même choix (sur votre blog, sur un réseau social comme LinkedIn ou simplement dans les commentaires de cet article) ou si vous préférez vous exprimer seulement pour vous-même. Dans tous les cas, s’il vous plaît, ne vous censurez pas dans vos réflexions. Faites une version publique et une privée, si vous tenez à poster une partie en public.

N’hésitez pas non plus à poser vos questions, à partager des leçons apprises ou à donner des conseils aux quelques milliers de lecteurs de Réussir Mes Études qui pourront partager beaucoup plus avec vous et avec l’ensemble de la communauté !

Pourquoi on ne parle pas de résolutions ?

Là, j’ai volontairement évité de parler de bonnes résolutions, plannings quotidiens et autres trucs destinés à échouer quand on s’y met début janvier.

Sur le modèle de Chris Guillebeau, qui l’a fait pendant 10 ans d’affilée sur son blog, mon évaluation annuelle consiste à savoir ce qui a bien marché et ce qui ne s’est pas bien passé cette année, et à me fixer 4 objectifs pour 2018 : un par trimestre.

Le passé : points positifs et négatifs de 2017

Trouvez 6 à 8 points positifs et négatifs à votre année écoulée. En voilà quelques-uns des miens :

Points positifs de 2017

Points négatifs de 2017

  1. Avoir commencé à être très active sur Wikipédia
  2. Avoir rejoint l’équipe SheOwnsIt
  3. Être mentorée
  4. Avoir dépassé les 1000 followers Twitter
  1. Quelques problèmes de santé
  2. Le manque d’énergie qui m’a fait négliger mes blogs
  3. Le fait de ne pas avoir repris le sport

C’est la première fois que je suis ce modèle d’évaluation, et je suppose que vous aussi : Chris propose de reprendre la liste des objectifs de 2017, et de voir ce qui a été atteint et ce qui ne l’a pas été.

Vraiment, l’objectif est de ne pas chercher d’explications, d’excuses, de jugement : notez juste ce qui va bien et ce qui ne va pas bien, n’allez pas chercher plus loin que ça. Une fois que c’est fait, il devient intéressant de vous exprimer sur les causes et conséquences de chaque point. Prenez le temps d’y réfléchir plus sérieusement avant de passer à la deuxième partie de cette évaluation.

Le futur : trouver ses objectifs de 2018

Maintenant que vous savez ce que vous avez fait de mieux et de moins bien cette année, passons aux objectifs de l’année prochaine !

Trouvez les catégories qui comptent pour vous. Personnellement, voilà ce qui compte pour moi :

  1. Emploi principal
  2. Réussir Mes Études
  3. Personal branding et partenariats
  4. Amis et famille
  5. Communautés
  6. Santé
  7. Apprentissage
  8. Finances

Evidemment, ça change pour chaque personne, donc prenez aussi le temps de regarder votre évaluation précédente pour voir quelles catégories s’en dégagent.

Une fois vos catégories créées, on va se fixer 3 à 5 objectifs dans chaque catégorie. Attention, il s’agit d’objectifs SMART, sinon vous n’irez pas loin :

  1. Spécifiques (“gnagna être plus en forme”, c’est non)
  2. Mesurables (“gnagna gagner plus d’argent”, c’est non)
  3. Atteignables (“gnagna être major du concours de Polytechnique”, c’est souvent non)
  4. Réaliste (“gnagna courir douze fois par semaine”, c’est non, et oui c’est pareil que le précédent)
  5. Temporellement défini (“gnagna commencer une nouvelle langue”, c’est non, parce que vous ne dites pas quand).

Voilà mes objectifs :

  1. Emploi principal
    1. Avoir des responsabilités plus étendues (je reste volontairement vague ici, mais ma version perso est plus détaillée !)
    2. Pouvoir prendre deux semaines de vacances d’affilée en juillet sans prendre de retard dans mes articles produits, donc prendre de l’avance sur la rédaction d’ici là
    3. Lancer un projet interne à l’entreprise, qui montre mes compétences, avant juin
  2. Réussir Mes Études
    1. Atteindre 50 000 visiteurs au dernier trimestre de l’année
    2. Déplacer mon business model pour faire payer les entreprises plutôt que les étudiant·e·s
    3. Gagner un revenu stable en dehors des périodes de vacances scolaires
  3. Personal branding et partenariats
    1. Honorer mon partenariat avec SheOwnsIt et être contributrice régulière d’un autre blog pour la deuxième moitié de l’année
    2. Poster du contenu qui a de la valeur au moins une fois par semaine sur LinkedIn
    3. Rédiger un article toutes les deux semaines sur mon blog d’inbound marketing
  4. Ami·e·s et famille
    1. Rentrer voir ma famille une fois par trimestre
    2. Faire une “grande” sortie avec des ami·e·s une fois par trimestre
    3. Rencontrer des nouvelles personnes en allant à des permanences de projets qui me plaisent
  5. Santé
    1. Sortir au moins une fois par semaine pour une activité sociale (la santé n’est pas que physique !)
    2. Commencer un nouveau sport avant la fin de l’année
    3. Préparer mon repas du midi pour que les options “pas chères” soient quand même équilibrées
    4. Perdre XXkg et sortir du surpoids
  6. Apprentissage
    1. M’inscrire en sociologie à l’université
    2. Continuer à créer des pages Wikipédia régulièrement, et organiser des ateliers mensuels
    3. Continuer ma formation sur le thème de l’inbound marketing pour continuer à me former
    4. Lire 75 livres
  7. Finances
    1. Mettre XXX€ de côté chaque mois pour commencer à épargner
    2. Limiter les petites dépenses (restaurant en particulier) pour partir en voyage et me payer un nouvel ordinateur
    3. Embaucher un·e assistant·e personnel·le

Ok, tout ça est fait ?

Impeccable. Maintenant, passez le tout sous forme de tableau et ajoutez une nouvelle colonne.

Et concrètement ?

Comment ?

Vous aviez vos objectifs, maintenant, il faut décider de comment les atteindre. Chris prend l’exemple de “courir un marathon”, qui était dans ses objectifs en 2015 (je crois) : “pour courir un marathon, je dois commencer par courir 5 kilomètres 3 fois par semaine, puis 10km, puis 20km, etc.”

C’est pareil pour vous. Quels que soient vos objectifs, vous devez définir les grandes étapes nécessaires.

Quand ?

Prévoyez tout de suite de bloquer un quart d’heure par mois et une demi-heure par trimestre dans votre calendrier : vous pourrez vérifier chacun de vos objectifs et vous assurer de n’en négliger aucun.

Et le reste ?

Je ne l’ai pas fait, mais c’est une habitude chez Chris Guillebeau : il ajoute à sa liste une liste d’objectifs qu’il aurait pu y intégrer. Comme ça, à la fin de l’année, il peut les réutiliser s’ils sont toujours pertinents.

Quels sont vos objectifs pour 2018 ? Comment allez-vous les atteindre ? Discutons-en dans les commentaires de cet article !

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Actualité

Quoi de neuf ? – Décembre 2017

Décembre ! Noël ! La neige peut-être ! Le chocolat de l’Avent ! Les vacances ! Et surtout : LES JOURS QUI ARRÊTENT DE RACCOURCIR !

Bonne année à toutes et tous !

Les commentaires

Utilisez les commentaires de cet article pour poser toutes vos questions sur vos études, sur le blog, sur votre bien-être… Tout ce qui vous vient. Répondez aux questions des autres personnes et trouvons des solutions ensemble !

Les événements

  • Les vacances. Profitez !

Les lectures

  • My Hero Academia ([amazon_link asins=’2355929483′ template=’PriceLink’ store=’lexi05-21′ marketplace=’FR’ link_id=’76effbe6-cdf5-11e7-bbb1-236b4de8c69a’], tome 1, 11 tomes sortis pour l’instant) : j’ai lancé l’anime un vendredi soir, j’ai enchaîné sur les mangas, j’en étais au tome 12 dimanche soir (et j’avais eu le temps de finir Westworld au passage, étant une personne particulièrement efficace).
  • Pas une lecture à proprement parler, mais le Pack Réussite IELTS contient 1 livre, 2 livrets et 5 CD MP3, et il est très complet !
  • Et si je croyais en mon pouvoir de séduction, ce n’est pas qu’une histoire de flirt, c’est un vrai outil pour prendre confiance en vous et montrer cette confiance en vous. Et un entretien de recrutement, ce n’est pas si éloigné du speed dating…
  • Trouver le bon job grâce au réseau ([amazon_link asins=’2212568134′ template=’PriceLink’ store=’lexi05-21′ marketplace=’FR’ link_id=’49459d62-cdf5-11e7-a0c0-013c9a7562c3′]) dont le titre est assez parlant.
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Budget Formations à l'étranger

Départ à l’étranger : quel compte ouvrir quand on est étudiant ?

Cet article est écrit dans le cadre d’un partenariat commercial avec HSBC.

Quand je suis partie en Chine, pour mon échange, je ne pouvais pas utiliser ma carte bleue pour autre chose que des retraits. Et puis ensuite, j’ai perdu ma carte bleue et je ne pouvais plus rien acheter. Et ma banque a mis un mois à m’en renvoyer une. Un mois entier.

J’avais fait confiance à ma banque régionale, sans vraiment regarder les conditions. 4 retraits par mois sans frais ? Super ! Sauf que quand on arrive et qu’on découvre qu’il faut payer 3 mois de loyer en cash à l’arrivée, et que les distributeurs sont plafonnés à 300€ par retrait, c’est déjà moins super.

Ne faites pas les mêmes erreurs que moi : choisissez bien la banque et les options de votre compte bancaire avant d’aller étudier à l’étranger.

Quels frais bancaires à l’étranger ?

Le plus important, c’est d’éviter les frais bancaires sur vos transactions à l’étranger.

Les frais, ça inclut un certain nombre de coûts plus ou moins évidents. D’abord, les commissions sur les retraits en liquide. Faut-il passer par une banque partenaire ? Y a-t-il assez de banques partenaires dans le pays où vous partez ? Avez-vous un certain nombre de retraits par mois autorisés même en dehors des banques partenaires ? Les mêmes questions se posent sur les paiements par carte bancaire.

Ensuite, il y a les coûts un peu moins évidents. Par exemple, le coût de la carte bancaire elle-même : quels sont les frais associés, votre établissement a-t-il un partenariat spécial avec une banque, qui vous permettrait d’avoir une meilleure carte pour un prix plus bas ? De même pour les frais de tenue de compte.

Assurez-vous bien que votre carte est assurée correctement. Souvent, c’est inclus avec les cartes Visa (j’ai une Visa Premier que je recommande !), je ne connais pas les modalités des autres types de cartes bancaires.

Enfin, assurez-vous de ne pas devoir payer un supplément pour gérer vos comptes sur Internet – c’est la base, mais quelques banques ne le font toujours pas. Vous n’allez pas pouvoir vous rendre au guichet de votre banque à Chailles-les-Eaux pour faire un virement !

Un compte bancaire qui limite les frais à l’étranger

Vous l’avez compris, choisir sa carte bleue et le compte bancaire qui va avec, c’est tout un parcours du combattant (avec moins de barbelés et plus de pourcentages).

Certaines banques font une offre spéciale de compte bancaire pour étudiant à l’étranger. C’est le cas de HSBC, que j’ai mis en lien.

Avec ces offres, vous bénéficiez d’un tarif spécial étudiant, mais vous avez le même niveau de service qu’une personne diplômée avec des revenus stables. La banque porte une attention particulière à votre plafond de retrait, pour pouvoir survivre si on vous demande trois mois de loyer en avance (je sais que je me répète, mais c’est un vécu très douloureux) ou une hospitalisation surprise, que je ne vous souhaite pas. Les virements sont accélérés pour certaines devises, pour les personnes qui partent dans un pays hors zone euro.

Si vous restez à l’intérieur de la zone euro, voyez aussi s’il est pertinent d’ouvrir un compte spécifique pour le départ à l’étranger ou si votre banque ôte toutes les restrictions – chez HSBC, c’est le cas.

Quelle banque avez-vous choisi pour votre voyage à l’étranger ? Avez-vous des histoires d’horreur à nous raconter, ou au contraire, est-ce que tout s’est très bien passé ? Racontez-nous tout ça dans la section commentaires de cet article !

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Gestion du temps

Cette astuce de to-do list va changer votre vie

Vous êtes une personne organisée ? Vous fonctionnez avec un système de to-do list ?

C’est bon, cet article est bien fait pour vous. Félicitations !

J’accompagne actuellement un étudiant très organisé. Avant de commencer à travailler avec moi, il faisait une belle to-do list tous les matins. Le matin, il est très productif, en général, surtout depuis qu’il a adopté une bonne routine matinale pour être en forme dès le réveil. Et il suivait plutôt bien sa to-do list, mais quand même, ça le frustrait un peu. Il a l’impression de gâcher le moment de la journée où il est le plus efficace, en la passant à faire sa liste plutôt qu’à travailler. Alors on a testé un nouveau truc.

Depuis début octobre, au lieu de faire sa to-do list au réveil, après sa routine matinale, il la fait le soir, une heure avant d’aller se coucher. Nous avons mis en place ce système pour plusieurs raisons, et ça marche du tonnerre !

Vous n’oublierez plus de tâches

« Je me souviens bien qu’il fallait absolument que je fasse quelque chose ce matin, mais quoi ? » Toutes vos petites tâches de la journée s’accumulent, et vous pouvez les oublier en près de 24 heures d’attente. Il est bien plus facile de vous en souvenir le soir en écrivant votre to-do list plutôt qu’en attendant d’avoir dormi toute la nuit et commencé une nouvelle journée.

Vous ne pensez pas à votre to-do list avant de dormir

« Il faut absolument que je me souvienne de faire ça. » Vous vous retournez dans votre lit, angoissé-e par l’idée d’oublier ? Ou plus simplement, vous avez un peu de mal à dormir, parce que ça peut vous stresser un peu ?

C’est normal, c’est ce qui arrive quand on passe la soirée et la nuit à penser à quelque chose de la veille. Si vous prenez simplement quelques minutes pour faire votre liste de choses à faire le soir, vous pouvez vraiment vous permettre de décompresser et de consacrer toute votre attention aux loisirs que vous faites. C’est bien plus agréable, et ça servira vraiment votre bien-être mental.

Vous ne paniquez pas le matin

Quand vous faites des listes à rallonge, il peut vous arriver d’avoir un moment de panique. Avez-vous vraiment tout ça à faire ? En serez-vous capable ? Ça peut vous tétaniser pour la journée, si vous êtes sujet-te à une certaine anxiété.

C’est beaucoup plus facile de vous y prendre la veille, parce que vous saurez déjà, au réveil, ce que vous attendez de vous-même et dans quel ordre vous allez vous y prendre.

Pour mon étudiant, ça a marché. Et pour vous ? Testez cette astuce, c’est la seule façon de le savoir !

Saviez-vous que je me ferai un plaisir de vous mentorer pendant un trimestre ou un semestre, gratuitement ? N’hésitez pas à me contacter en me parlant un peu de vous. J’offre très peu de places, donc ne passez pas trop de temps sur votre message, on aura l’occasion de mieux faire connaissance par la suite 🙂

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Étudier à Harvard quand on est français

C’est marrant, je vois de plus en plus de questions sur comment étudier à Harvard dans les requêtes qui vous mènent à Réussir Mes Etudes. En général, vous visitez directement l’article sur le coût des universités américaines, d’après les statistiques du site. Je me suis donc dit que vous voudriez peut-être un peu plus d’informations, et ça tombe bien, parce que c’est le bon moment pour commencer les démarches si vous voulez étudier à Harvard l’année prochaine.

Une vue de côté de Massachusetts Hall, un dortoir en brique rouge aux fenêtres très régulières. Sur le côté droit de l'image, un groupe de personnes discute dans une allée.
Massachusetts Hall, le plus ancien bâtiment de Harvard. Photo par Mario Roberto Durán Ortiz pour Wikimedia Commons.

Les démarches pour entrer à Harvard

S’il est bien une chose qu’il faut absolument savoir au sujet des démarches nécessaires pour entrer à Harvard, c’est bien que le processus de recrutement est le même pour les étudiants à l’étranger que pour les étudiants américains. Pas de quotas, pas de dates limites propres.

Il existe deux tours de sélection : l’early action et la regular decision. L’early action se déroule avant le premier novembre, et vous recevez des nouvelles vers mi-décembre. Le processus d’admissions classique se termine le premier janvier. À vous de voir si vous voulez prendre le temps de penser à votre dossier ou si vous avez déjà eu le temps de faire tout ce qu’il vous faut pour intégrer l’école.

Au niveau du prix, on en a déjà parlé, donc je vous invite à (re)lire cet article sur le coût réel des universités américaines. Notez que si vos parents gagnent moins de €65,000 par an, vos études sont censées être entièrement gratuites et payées par l’école !

Pour intégrer Harvard, il faudra passer par quelques étapes :

  • Passer un test standardisé, soit deux sujets de SAT et le SAT classique
  • Scanner vos notes de lycée, les faire traduire, inclure la version originale et la version traduite qui inclut le nom de la personne l’ayant traduite
  • Demander une lettre de recommandation à deux de vos professeurs
  • Si vous avez passé le TOEFL, l’ajouter à votre candidature
  • Répondre aux questions posées par Harvard dans le dossier de candidature, par exemple en présentant vos motivations, votre plus grande fierté… ce genre de questions un peu bateau qui peut en dire beaucoup (ou pas du tout) sur vous.

Vous enverrez ces documents et un paiement de 75 dollars pour pouvoir vous inscrire. Si le coût est trop élevé pour vous et votre famille, ne vous inquiétez pas : un petit mail poli au service des admissions suffira pour que votre candidature soit gratuite. Ce sera de même pour les bourses : ne vous embêtez pas à en chercher, Harvard vous accompagnera dans votre recherche si vous êtes pris.

Vous pouvez aussi passer un entretien si vous le souhaitez, avec un ancien élève qui est en contact avec le service des admissions. Harvard a certains de ces élèves en France, donc retrouvez les instructions sur le site des admissions pour organiser une rencontre ! L’entretien n’est pas obligatoire, donc si vous ne pouvez pas vous déplacer, ne vous inquiétez pas. Cependant, il est toujours bon d’avoir fait une bonne première impression à quelqu’un du service des admissions avant d’envoyer votre dossier.

Un grand bâtiment en brique rouge typique à Harvard et à Boston. Devant le bâtiment, quelques personnes marchent sur le trottoir.
Un bâtiment de Harvard. Photo par John Phelan pour Wikimedia Commons.

Les alternatives à Harvard

Tout le monde n’étudie pas à Harvard, et le monde ne s’en porte pas plus mal. On pense souvent à Harvard quand on réfléchit à l’excellence américaine, mais elle existe ailleurs. Voyons quelques alternatives pour étudier aux États-Unis dans un environnement prestigieux, sans intégrer Harvard elle-même.

Autres universités américaines prestigieuses

Si vous ne connaissez pas l’Ivy League, c’est le moment de vous renseigner. Ces quelques écoles américaines sont les plus reconnues du pays, et vous avez tout intérêt à vous y intéresser autant qu’à Harvard (qui en fait partie).

Un peu d’avance ? Aller au lycée aux USA

Vous êtes en train de réfléchir à intégrer Harvard après le lycée, mais vous en êtes encore au collège ou à la classe de seconde ? C’est super de s’y prendre à l’avance ! Et si vous essayiez d’aller au lycée aux États-Unis, pour améliorer votre anglais et vous habituer à ce qu’on attend de vous ? Vous ne seriez ni le premier,  ni le dernier à tenter l’aventure. Renseignez-vous vite !